Je suis régisseuse son, intermittente du spectacle ; mes employeurs me demandent un passe sanitaire, et je dois donc faire des tests à mes frais, deux fois par semaine.

Pourtant les vaccinés sont tout autant potentiellement porteurs du virus que moi. Les tests engagent des frais (au moins deux heures de travail perdues), des contraintes de rendez-vous pour faire ces tests en temps et en heure. Quand il s'agit de résidences ou de périodes de montages, la justification de contact avec le public n'est pas d'actualité. Et pourtant ce test est exigé !!!

Les autorités appellent " tests de confort" tous les tests effectués dorénavant. Or beaucoup de personnes ont besoin de réaliser ces tests pour avoir le droit de travailler, ce ne sont pas des tests de confort pour se divertir.

Au secours ! Je ne veux pas me faire injecter un vaccin expérimental, qui ne semble pas avoir de légitimité autre que pécuniaire et politique. J'ai accouché de trois enfants en bonne santé, et j'ai toujours refusé la péridurale, à cause du risque, minime certes, d'un effet indésirable. J'aimerais que l'on respecte le droit des personnes à choisir les substances qui leur sont injectées, dans ce contexte, et que l'on ne nous contraigne pas à produire un test de "négativité" pour avoir le droit de travailler, alors que les "vaccinés" n'ont pas cette obligation.

Désolée d’employer ce mot, mais "Apartheid" signifie "mise à part", et je suis victime d’un apartheid, comme beaucoup de mes contemporains. Je tenais juste à dire que le terme de "test de confort" est une ignominie, ces tests sont obligatoires pour un certain nombre de travailleurs, s'ils n'ont pas déjà plié, contraints par la pression médiatique et hiérarchique, à l'obligation vaccinale déguisée.

Les tests réalisés pour avoir le droit de travailler devraient être pris en charge par la sécurité sociale. J'y ai un large crédit en ce qui me concerne...