Témoignage de :

Lettre ouverte à une médecin généraliste

29 novembre 2021

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Madame,

Hier je suis venue vous voir en tant que patiente. J’avais besoin de vos lumières pour m’aider à comprendre d’où venaient mes sensations de vertiges, qui me contraignent à vivre au ralenti depuis deux mois. Je vous explique ce qui m’est arrivé, chute dans l’escalier avec impacts sur la tête. Des vertiges la nuit ont suivi et sont passés tout seul.

Puis je vous fais part du fait que je suis tombée malade un mois plus tard (maux de tête et état fébrile) et que j’ai téléphoné à votre secrétariat. Votre associée m’a rappelée et m’a dit comme si la panique la saisissait « Restez chez vous ! Ne venez pas au cabinet ! Prenez du paracétamol, il n’y a que ça qui marche ! Isolez-vous. Faites un test PCR. Si ça s’aggrave faites le 15 ».

Je me permets alors de vous dire que la conversation avec votre collègue a été loin de me rassurer, bien au contraire. Vous m’avez répondu en souriant (!) « c’est à cause du Covid ». Je n’ai rien dit. Puis je vous ai demandé s’il ne serait pas judicieux de faire une sérologie pour savoir si je l’ai eu, vous me dites sans grand enthousiasme « vous saurez si vous l’avez à un instant T ».

Entre temps je vous ai dit que je m’étais isolée dix jours pour ne contaminer personne, surtout pas ma fille qui venait me voir ensuite. Vous me dites « vous êtes vaccinée » comme une affirmation, comme si la réponse positive était évidente. « Non ».

Et là s’en est suivi un discours de votre part que je ne suis pas prête d’oublier, non pas pour vous faire plaisir en me faisant injecter votre « vaccin » mais pour la gravité de vos propos à mon endroit.

Je rappelle que je suis une patiente venue pour se faire soigner. Vous me dites cette phrase : « Quand on a un enfant greffé, ne pas se faire vacciner est criminel ». J’étais sous le choc. Je vous ai dit que ma fille ne vivait plus chez moi depuis longtemps, c’est une adulte, elle côtoie des personnes vaccinées et non vaccinées et je la vois rarement. Elle a déjà fait trois injections et devrait en faire une quatrième.

Vous me dites que les vaccins ne fonctionnent pas ou peu sur les immunodéprimés. Je suis sidérée. Ma tension est à 13/8 et quand je vous dis que c’est étonnant vu que j’ai une tension basse naturellement, vous riez sous votre masque en me disant « c’est parce qu’on a parlé du vaccin ». Cela prête-t-il à rire ?

Aujourd’hui j’ai retrouvé mes esprits et je me permets de vous répondre : Premièrement, comment osez-vous me dire que je veux tuer ma fille ? Moi qui l’ai accompagnée depuis qu’elle a deux ans et demi dans sa lutte contre le cancer, qui l’ai amenée dans ces rendez-vous avec les médecins, radiologues, cancérologues, séjours hospitaliers multiples (à 200km de chez nous) à dormir avec elle sur place en laissant ma fille aînée en garde auprès d’amies ou famille, à être présente à toutes ses séances de chimiothérapie pendant 9 mois, puis lors de l’opération (néphrectomie totale et partielle) puis tous les bilans mensuels ou bimensuels pour surveiller son taux de créatinine, ayant soin de lui faire des régimes adaptés à sa pathologie, puis pendant un an et demi à l’amener trois fois par semaines pendant 5 h à ses séances de dialyse, à tout faire pour la distraire pour que ses séances soient moins épouvantables, puis l’attente jour et nuit pendant un an que le téléphone sonne pour nous dire qu’un greffon était disponible, puis à la greffe à 300km de chez nous, puis aux nombreux rendez-vous post greffe, avec toujours la peur pour elle, peur qu’elle souffre, peur qu’elle ne survive pas à tout çà.

Cela fait 25 ans que j’ai peur pour elle, que j’ai peur qu’elle meure ! Comment osez-vous me traiter de criminelle ?! Vous me devez des excuses Madame. Je vais répondre point par point à votre proposition indirecte car vous ne vous êtes pas du tout engagée dans un débat avec moi sur le sujet mais juste avez posé une bombe dans mon cerveau en utilisant le mot criminel (bombe que je n’ai pu désamorcer que 24h plus tard en parlant avec des ami.e.s puis avec un thérapeute. Merci à eux.)

Le vaccin dont vous me parlez n’est pas efficace vu que le virus a déjà muté plusieurs fois.

Le vaccin dont vous me parlez ne protège ni n’empêche la contamination.

Le vaccin dont vous me parlez n’a obtenu qu’une autorisation temporaire de mise sur le marché.

Le vaccin dont vous me parlez est toujours en phase de TEST !

Le vaccin dont vous me parlez n’est pas un vaccin mais une thérapie génique expérimentale.

 

A ce jour nous connaissons ses effets secondaires à court terme : Entre-autre myocardite, thromboses, AVC, récidive de cancer, dérèglement de menstrues chez les jeunes filles ou femmes plus âgées et même des décès ! 27000 décès en Europe sont causés par l’injection que vous voulez que je prenne pour ne pas être une soi-disant criminelle !

A ce jour nous ne connaissons pas les effets secondaires à moyen et long terme. Permettez-moi de penser avec justesse que si nous n’en savons rien cela ne nous empêche pas d’imaginer que ce sera catastrophique pour les humains injectés.

Ma raison me fait préférer rester en vie et sans pathologies que risquerait de me causer cette injection, pour être le plus en forme possible pour mes filles, et ne pas devenir une charge pour elle. C’est mon choix.

Pourquoi préconisez-vous cette injection plutôt que l’immunité naturelle qui comme chacun sait est nettement supérieure à l’immunité vaccinale ? Pourquoi trouvez-vous normal que les immunodéprimés soient injectés puisque ça ne fonctionne pas ? Pourquoi laissez-vous les malades seuls chez eux avec du paracétamol, jusqu’à ce qu’ils n’arrivent plus à respirer et devront alors faire le 15 ? N’êtes-vous pas médecin ? Ne savez-vous pas qu’un traitement existe et fonctionne ? Oui pourquoi ? Seriez-vous sous influence ? Sinon comment expliquer votre incurie ?... Qui est criminel ?

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