Témoignage de :

Liberté, j’écris ton nom teinté de colère et de tristesse…

21 janvier 2021

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Quasiment un an... Bientôt un an que les décisions prises par le(s) gouvernement(s) brisent trop de vies : faillites, licenciements, suicides, …

Me concernant, la jeune trentaine, ayant amorcé une reconversion, un changement de vie qui était censé être salvateur avec mon mari. Ce dernier a perdu en février dernier, avant le début de tout ce CoronaCircus en France, un poste dans un domaine qui lui plaisait vraiment, après avoir passé des années en souffrance dans son dernier poste, tout ça parce que la crise économique était déjà bien installée en Chine. J'ai dû repousser ma formation tant attendue après des années difficiles pour moi aussi. Nous avons bien failli devoir repousser notre départ qui a déjà été retardé du fait de la pandémie, heureusement nous avons pu déménager.

Les conséquences de tout cela, même quand on n'a pas eu le Covid, je vais vous les citer : un crédit d'un bien que nous n'avons pas encore vendu car les visites sont interdites pendant les confinements.

Messieurs les politiques, on vous envoie la facture à quelle adresse pendant ce temps : Matignon, l'Élysée, le ministère de la Santé ?, le port du masque qui nous fait hésiter quand on veut "s'aérer" : l'expression "prendre l'air" a-t-elle encore un sens ?, l'impression de renoncer à ses valeurs lorsqu'on doit porter ce fichu masque dans la rue car c'est obligatoire ; un moral démoli, des liens distendus avec son entourage du fait des divergences d'opinions, mais le pire, ces confinements, qui a inventé ce sadisme pervers qui détruit des vies, nous oblige à remplir un papier pour pouvoir sortir de chez soi à plus d'un km (nous sommes les seuls au monde avec ce 1 km, ô sadiques dirigeants !).

Prenons du recul, à partir de quand avons-nous trouvé ça normal ?

Comment dans un pays comme la France, pays des soi-disant Droits de l'Homme, on peut laisser passer ça !

J'ai l'impression de vivre en Enfer, dans un cauchemar depuis presque un an, où les troubles du sommeil reviennent, et où la seule question qui hante et qu'on ne devrait plus se poser, c'est : à quand le prochain confinement ? On se sent obligés de devoir avancer nos rendez-vous (coiffeurs, etc.) de peur que du jour au lendemain nous soyons remis au cachot tels de vulgaires criminels ! On hésite avant de faire des projets, de réserver quoi que ce soit ! C'est ça la vie ? Alors autant en finir.

Laissez-nous vivre ! Vous ruinez des tas de vies, des jeunes, des personnes âgées isolées qui ne voient plus l'intérêt et se laissent mourir de chagrin, des tas de gens qui perdent leur travail, des gens qui se suicident...

Rien ne sert de vivre si c'est pour vivre une petite mort, être morts vivants !

Battons-nous pour la LIBERTÉ !

Un cri du cœur qui risque de cesser de battre si rien ne bouge concrètement... Voici les mots, maintenant passons pour de bon aux ACTES !!!

Tenez bon, courage, et la clé est certainement la désobéissance civile, "quoi qu'il en coûte" !

Elodie

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