Témoignage de :

Expérience d’un médecin généraliste

17 février 2021

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Depuis le début de la crise, mars 2020, j'ai utilisé un protocole de micronutrition, que j'ai appris à ma formation dp 2018 : à base de zinc, vitamine D et vitamine C : utile contre toute infection virale que ce soit un coronavirus, adénovirus, rotavirus ou influenza virus et qui marche bien dp 2018.

J'ai trouvé un très bon rapport qualité/prix : avec AZINC Vitalité 2 gélules par jour avant tout symptôme.

Sur les 251 cas covid que j'ai suivis, j'en suis à 1 personne mise sous antibio, 0 hospitalisation, 0 séquelles de covid long, 0 décès, et pourtant j'avais 149 cas : bien polymorbides ou âgés de plus de 65 ans.

Les 5 patients qui ne m'ont pas appelé, sont passés par les urgences, se sont hélas tous retrouvés hospitalisés.

Je ne comprends pas pourquoi on les a laissés sortir seulement avec « du paracétamol de l'hôpital et appelez-nous quand ça va mal. »

Le renforcement immunitaire, dans mon expérience, doit commencer dans l'idéal un mois avant l'infection et ne surtout pas attendre le diagnostic test PCR... Chaque jour compte... Ceux qui tournent mal sont ceux qui ont démarré à plus de 72 h leur traitement en micronutrition.

Quand ça tourne mal : en fait… c’est sur moi-même que j'ai testé cette ascension de dose puis sur les patients (j'ai attrapé le covid en mars 2020)... à mesure que j'augmentais les doses, que mon état se stabilisait… et que j'ai pu continuer à télétravailler...

Je monte la vitamine C jusqu'à 3 g par jour en fractionné, zinc jusqu'à 60 mg- 75 mg par jour en fractionné, j'introduis le magnesium jusqu'à 1000 mg par jour en fractionné (par ex : FORMAG très bien absorbé idéal chez les constipés et dyspnéiques), j’introduis l'huile de bourrache jusqu'à 3g/j (effet "corticoïde like", idéal pour symptômes de dyspnée, toux, expectorations (un bon rééquilibrage en acide gras complet : omega 3, 6, 9).

En effet, je rappelle que hélas les patients n'ont plus du tout faim pendant leur covid... d'où l'importance de cette ascension de dose pour quand ça tourne mal.

Avec ce schéma, j'ai pu éviter la mise sous antibio chez 99,9 % de mes patients.

Pour les troubles digestifs, j'ai utilisé des probiotiques+++

Voilà mon humble expérience... ça n'a rien d'une étude universitaire. Mais je m'interroge sur la peur véhiculée par les médias avec hélas "le si peu de partage d'expériences positives" de médecins comme la mienne.

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