16 mars 2021
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La crise sanitaire est au centre de toutes nos discussions, elle conditionne chacun de nos actes, chacune de nos décisions. Son traitement par les autorités de l’État et la façon dont les médias en ont instrumentalisé la gestion en « fabriquant une forme de consentement », créent des divisions au sein des familles et au sein des collectifs de travail. Les individus s’affrontent voire se déchirent au nom de valeurs telles que « la santé », « la sécurité », « la responsabilité ». Il n’y a plus de liberté de pensée car il n’y a plus de liberté de croyances. Quiconque cherche à prendre un peu de hauteur et tente de confronter les raisonnements, croiser les données scientifiques, est mis à l’index, presque exclu de son cercle relationnel s’il n’a pas pris la précaution de disposer d’amis aux idées hétérogènes et prêts à réfléchir.
V.P