Les Chroniques Réinfocovid

Vous vous souvenez sûrement de cette citation Du pasteur Niemoller

« Quand ils sont venus chercher les communistes, Je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste

Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, Je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste

Quand ils sont venus chercher les juifs, Je n’ai rien dit, je n’étais pas juif

Quand ils sont venus chercher les catholiques, Je n’ai rien dit, j'étais protestant...

Puis ils sont venus me chercher, Et il ne restait plus personne pour dire quelque chose »

 

Je crois qu’elle est pleine d’actualité et qu’on pourrait tout à fait l’appliquer au délire autoritaire et culpabilisant que nous vivons en ce moment.

 

Nous avons accepté d’imposer des masques à nos enfants alors que tout notre bon sens et les données scientifiques nous disaient le contraire.

 

Nous avons accepté d’ouvrir la vaccination à nos enfants tout en sachant que cette maladie ne les touchait pas, que ce vaccin est expérimental.

 

Et maintenant, c’est la vaccination obligatoire qui est en train de s’imposer pour les soignants, ces mêmes soignants qui ont reçu les éloges hypocrites des mêmes politiques et autres pantins de la télé qui depuis des années organisaient ou laissaient faire la destruction de l’hôpital pour le transformer en ces grandes bâtisses où on ne fait plus que gérer des urgences.

 

Évidemment, la plupart des gens éclairés le pressentent bien, si ça passe avec les soignants des EPHAD, ça passera ensuite dans le public puis dans le privé puis chez les profs, puis chez toutes personnes en contact avec le public, etc.

 

Qu’est ce qui les arrêtera ? Rien ! Un soulèvement ? Une crise économique ? Rien ne les arrêtera ! « Ils » ne réfléchissent plus ! « Ils » vivent au jour le jour et s’adaptent en fonction de nos molles réactions, « Ils » préservent leurs intérêts et ceux de leurs potes avec toujours une longueur d’avance puisqu’ils organisent le chaos ! (Je sais ça fait complotiste de dire ça mais je m’en fous !)

Alors oui je n’ai pas le Covid mais j’ai la rage ! La rage contre ceux qui organisent, ceux qui laissent faire mollement et pire encore contre ceux qui sont au courant et choisissent de détourner le regard.

 

Mais la colère est mauvaise conseillère (et c’est mauvais pour la santé) mais c’est aussi un moteur.

Comment fait Louis Fouché pour rester aussi calme, aussi centré sur le combat en cours tout en anticipant le monde d’après ? J’ai vraiment une admiration sincère et fraternelle pour ce type….

Comment fait-il pour trouver toute cette énergie à dédier aux autres ?

Je crois avoir compris un de ses secrets dans une de ses anciennes interviews, certes il a un bon bagage philosophique et l’applique au quotidien (ce qui devrait être le vrai rôle de la philosophie) mais il a dit une fois qu’il avait déjà accepté de se faire virer de son boulot et donc acceptait l’effondrement en cours.

Ne pas reculer dans l’adversité, voilà ce qui s’appelle du courage !

Et bien moi je n ‘en suis pas encore tout à fait la mais j’en prends le chemin. L’acceptation.

Moi aussi, je suis un modeste pion infirmier perdu dans l’hôpital public, ce système de soin dans lequel je ne me suis jamais vraiment reconnu, trop autoritaire, trop corrompu par les labos, trop déconnecté de l’humain, qui ne fait plus que des diagnostics coûteux avec des machines hors de prix…

 

Ça fait 14 ans que je suis infirmier et depuis le début de mes études on nous apprend à être des professionnels de la maladie, géré par un ministère de la maladie lui-même géré par un grand malade ! Le tout conseillé par la Haute autorité de la maladie.

Remplacez le mot santé par maladie et vous aurez tout compris. A aucun moment on ne parle vraiment de santé on ne fait que soigner la maladie. La seule politique de prévention mise en œuvre ne rime pas avec nutrition ou harmonisation mais avec ??? Vous avez compris…

 

Alors non je ne me ferais pas vacciner, j’en sais bien trop pour fermer les yeux et tant pis si je dois changer de vie, ça sera peut-être une chance ! J’espère en tout cas que ça sera la mienne et la vôtre aussi car n’oubliez pas !

Vous êtes les prochains sur la liste si rien ne bouge

 

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