La décision d’obliger au port du masque en population générale ne répond pas aux critères caractérisant une décision de santé publique :
1. Le port du masque en population générale n’est pas justifié en santé publique, car la faisabilité pratique de la mesure est parfaitement irréaliste : les conditions d’utilisation strictes d’un masque, garantes de son efficacité, sont d’expérience déjà difficiles à tenir en milieu de soin. S’y conformer au quotidien pour toute une population est absolument impossible. Il suffit pour s’en convaincre d’observer l’utilisation et la réutilisation faite des masques par tout un chacun.
2. Le port du masque en population générale n’est pas justifié en santé publique, car nombreux effets collatéraux indésirables :
3. Le port du masque en population générale n’est pas justifié en santé publique, car aucun bénéfice en terme de prévention de la circulation virale, d’incidence de la maladie, ou de la mortalité n’a jamais été montré dans ces circonstances, notamment dans les situations de plein air.
4. Le port du masque se justifie dans certaines circonstances : contact rapproché / prolongé avec un sujet fragile, situation de soin, personne malade.
Appliquer les mesures d’hygiène bien connues de la médecine, telles qu’elles l’ont été lors de toutes les épidémies précédentes :