2 octobre 2021
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C'est dans le grand silence
Qui suivit le chaos
Qu'un tout petit oiseau
Ranima l'espérance,
À l'aube d'un jour nouveau.
Son chant monta si haut
Que devant cet appel,
Tous s'unirent bientôt,
Propageant la nouvelle.
Ils chantaient en écho,
À l'aube d'un mois nouveau.
Devant tant d'insistance
À penser qu'aujourd'hui
Une nouvelle existence
S'ouvrait à l'infini
Les hommes, tout endormis,
Sortirent de l'apathie
À l'aube de l'an nouveau.
La tâche était pénible,
Chaque jour dur et long,
Mais les progrès sensibles
Rappelaient qu'il est bon
De donner tout son coeur
Pour des jours bien meilleurs
À l'aube d'un siècle nouveau.
Chacun, à sa façon,
Construisait l'avenir
Pour qu'il n'y ait plus de pire,
Qu'il ne reste que le bon.
Que la vie était belle
À l'aube de l'ère nouvelle.
Et la joie retrouvée,
L'amour et l'amitié
Ouvrirent enfin les portes
D'un jeu d'une autre sorte
... Et de l'Éternité
Meyane