Témoignage de :

À quand LE vaccin CONTRE la Liberté du Droit de Vivre ?

23 février 2021

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Je suis une citoyenne lambda.

Il me semble cependant que je peux affirmer qu'aujourd'hui une Histoire se répète, avec des « variants »... tout comme le virus qui nous OCCUPE. Serions-nous revenus au temps de l'occupation que mes grands-parents et parents (alors enfants) ont vécu ?...

Car tout comme sous Vichy les lois sont devenues scélérates. Comme sous Vichy la propagande fait rage et la peur insufflée paralyse la pensée.

Il est devenu difficile d'amener certains à ouvrir les yeux ! D'autres ne veulent carrément plus en entendre parler « comprenez que leur opinion est faite », ils en ont « ras-le-bol de tout ça » et vont se faire vacciner pour en sortir, retourner au restau et prendre l'avion.

Et... ils écoutent toujours le 13h, le 20h pour « savoir » où on en est.

Où se trouve aujourd'hui la liberté d'opinion ? Quand on n'a plus la faculté de juger par soi-même et pour soi-même : elle est sous perfusion.

Plus exactement sous TÉLÉperfusion . Oui, voilà une avancée médicale non soupçonnée que l'on doit un peu au covid et beaucoup à nos bons ministres : même la perf peut se faire en télétravail !

Si c'est pas une avancée technologique majeure ça ! Lois scélérates, propagande, peur : là s'arrête la comparaison. Bien sûr que ce n'est pas la même chose ! Mais les dits « complotistes » aujourd'hui ne sont-ils pas un peu les Justes et les Résistants d'hier ?

Je suis étonnée du nombre de personnes atteintes par ce martèlement médiatique.
Le seul fait d'énoncer qu'elles pourraient écouter les arguments d'autres voix afin de se forger leur propre opinion, envoie directement dans « le clan des complotistes »

Et à l'évidence ceci est fort laid, mon esprit est fort laid… J'ai été tellement surprise la première fois de ce qualificatif que je n'ai pas eu de répartie ! Je n'ai pas l'âme complotiste. Je suis réaliste et j'ai des valeurs. Ce n'est pas un crime. À la réflexion, si l'on me traite de complotiste à l'avenir, tant mieux. Je préfère être « com-plotiste » que « c..toutcourt » !! Honorer les Résistants grâce à qui je suis née libre ! Oui, cela me va très bien. Je ne suis pas vaccinable car je l'ai décidé. Mais qu'en sera-t-il des plus jeunes ? Une fois les adultes vaccinés, à qui vendre cette m...e, euh... ce miracle ...de la dénature ?

À quand le vaccin obligatoire pour mettre le petit dernier à la crèche ? Mais j'extrapole, bien entendu que cela n'arrivera pas ! Il suffira qu'il porte un masque, ne pas oublier l'industrie de ce truc imputrescible que l'on va retrouver dans les estomacs des tortues venues pondre sur les plages...mais je m'égare., c'est mon côté respect de la Vie et potager bio sur sol vivant qui se révolte !

Je ne me « bats » pas pour moi mais pour notre système de santé que l'on écartèle. Nos hôpitaux ne seront pas mieux dotés demain qu'ils ne l'ont été depuis mars. Et c'est dommage... parce que nous serons encore plus démunis la prochaine fois qu'un virus ou plus dingue un truc nouveau complètement inconnu et peut être bien plus létal verra le jour.

Parce que cela fait des années qu'aucun gouvernement n'a voulu trouver un peu d'argent pour cela ! Et avec ce qu'ils ont « trouvé » pour la « dégestion » de la « factice crise », du ccav (vacc en verlan tient d'ailleurs une petite devinette : que donne enver(s) en verlan ? ) et que l'on va devoir rembourser, nous sommes tous pauvres comme Job, dès .. ben en fait dès hier.... D'anciennes vidéos d'un professeur Raoult plus jeune et brun ("quel bel homme" comme dirait Jack Lang et Laurent Gerra, un peu de légèreté pour le moral !) ces anciennes vidéos avertissant nos élus, parlent d'elles-mêmes ! Ils étaient prévenus !!

C'est peut-être cela le pire dans cette destruction de nos droits, de nos libertés : la destruction de notre système de santé, de notre Médecine ! Ce sont les attaques visant à mettre à mal nos médecins intègres et honnêtes, qui vivent leur profession au service des gens, Et avec eux j'inclus tous les soignants, qu'elle que soit leur discipline/spécialité dans et en dehors de l'hôpital (public et privé). Et que dire de nos futurs médecins et autres soignants ? Stagiaires, Internes dans les CHU, auront-ils le choix ? Eux qui n'ont pas 30 ans et qui ont déjà passé leur jeunesse à travailler comme des fous tant la masse de connaissances à acquérir est colossale pour ces métiers. Et comment faire quand vous n'avez pas encore fini votre cursus et que l'autorité décrète que vous devez être vacciné car en contact de malades que vous vous devez de protéger ? Une énorme pensée pour eux.

Un immense merci à vous tous, le courage dont vous faites preuve est exemplaire, mais à nous de ne pas penser que vous êtes là pour nous sauver, Vous risquez déjà beaucoup à vous battre pour que l'on soit informés correctement. Vous avez déjà tant à porter ! C'est aussi à nous d'agir.

Lors de la lecture d'un bon polar durant le 1er confinement j’ai découvert l'article 35 de la Déclaration de droits de l'homme et du citoyen du 24 juin 1993. Curieuse, j'avais recherché ce document.

De son introduction à ses magnifiques articles : quel texte! Hymne à la Responsabilité de la Liberté ! ! Je vous livre mes préférés, sachant que ce n'est pas cette version des droits de l'homme qui est passée à la postérité mais celle du 26 août 1789.(www.elysee.fr/la-presidence/la-declaration-des-droits-de-l-homme-et-du-citoyen) Ne vous emballez donc pas trop vite sur le « 35 » !! Quant à moi c'est l’article 9 qui me laisse songeuse d'un monde meilleur.

Constitution du 24 juin 1793

Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen

Le peuple français, convaincu que l'oubli et le mépris des droits naturels de l'homme, sont les seules causes des malheurs du monde, a résolu d'exposer dans une déclaration solennelle, ces droits sacrés

et inaliénables, afin que tous les citoyens pouvant comparer sans cesse les actes du gouvernement avec le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer, avilir par la tyrannie ; afin que le peuple ait toujours devant les yeux les bases de sa liberté et de son bonheur ; le magistrat la règle de ses devoirs ; le législateur l'objet de sa mission. En conséquence, il proclame, en présence de l'Etre suprême, la déclaration suivante des droits de l'homme et du citoyen.

Article 1. - Le but de la société est le bonheur commun. Le gouvernement est institué pour garantir à l'homme la jouissance de ses droits naturels et imprescriptibles.

Article 2. - Ces droits sont l'égalité, la liberté, la sûreté, la propriété.

Article 3. - Tous les hommes sont égaux par la nature et devant la loi.

Article 4. - La loi est l'expression libre et solennelle de la volonté générale ; elle est la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse ; elle ne peut ordonner que ce qui est juste et utile à

la société ; elle ne peut défendre que ce qui lui est nuisible.

Article 5. - Tous les citoyens sont également admissibles aux emplois publics. Les peuples libres ne connaissent d'autres motifs de préférence, dans leurs élections, que les vertus et les talents.

Article 6. - La liberté est le pouvoir qui appartient à l'homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d'autrui : elle a pour principe la nature ; pour règle la justice ; pour sauvegarde la loi ; sa limite

morale est dans cette maxime : Ne fais pas à un autre ce que tu ne veux pas qu'il te soit fait.

Article 7. - Le droit de manifester sa pensée et ses opinions, soit par la voie de la presse, soit de toute autre manière, le droit de s'assembler paisiblement, le libre exercice des cultes, ne peuvent être

interdits. - La nécessité d'énoncer ces droits suppose ou la présence ou le souvenir récent du despotisme.

Article 8. - La sûreté consiste dans la protection accordée par la société à chacun de ses membres pour la conservation de sa personne, de ses droits et de ses propriétés.

Article 9. - La loi doit protéger la liberté publique et individuelle contre l'oppression de ceux qui gouvernent.

[...] pour texte entier et plus encore www.conseil-constitutionnel.fr/les-constitutions-dans-l-histoire/constitution-du-24-juin-1793

Article 30. - Les fonctions publiques sont essentiellement temporaires ; elles ne peuvent être considérées comme des distinctions ni comme des récompenses, mais comme des devoirs.

Article 31. - Les délits des mandataires du peuple et de ses agents ne doivent jamais être impunis. Nul n'a le droit de se prétendre plus inviolable que les autres citoyens.

Article 32. - Le droit de présenter des pétitions aux dépositaires de l'autorité publique ne peut, en aucun cas, être interdit, suspendu ni limité.

Article 33. - La résistance à l'oppression est la conséquence des autres Droits de l'homme.

Article 34. - Il y a oppression contre le corps social lorsqu'un seul de ses membres est opprimé. Il y a oppression contre chaque membre lorsque le corps social est opprimé.

Article 35. - Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

 

Martine

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