Témoignage de :

Chères amies,

6 décembre 2021

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Je vous remercie pour votre message bienveillant. Je ne sais quoi répondre à votre message.

Oui, je vais bien car je suis en sécurité physiquement, je suis dans mon appartement, je ne manque de rien. Non, je ne vais pas bien. J’ai fait dix ans d’études de médecine et je suis aujourd’hui interdite d’exercer sous quelque forme que ce soit la médecine car je refuse une injection d’une thérapie génique expérimentale modifiant le génome et contenant une nanoparticule dénommée le graphène qui est un matériau conducteur. Vous ne savez pas ce que c’est ? Je ne le savais pas non plus il y a quelques mois. Je me suis renseignée sur ces nouvelles thérapies géniques. Je me suis informée sur ce qu’on voulait nous injecter. Je veux pratiquer mon métier de manière libre et non contrainte. Je refuse qu’on muselle ma pensée, qu’on me dise quoi prescrire, dans quelle case mettre les gens, ou qu’on m’interdise de prescrire certains médicaments. Je suis grande, j’ai 35 ans. J’ai fait plus de 10 ans d’études et j’étudie encore. J’ai un esprit critique. Une capacité de réflexion. J’ai été élevée dans une famille hors norme. Je n’ai jamais eu la télévision. J’ai été dans une école catholique mais j’étais la seule (avec ma sœur) enfant non baptisée de l’école. A l’âge de 8 ans, j’ai fait un voyage d’un mois en Israël avec ma grand-mère juive pour rendre visite à sa famille qui s’était installée en Israël à la création de l’état d’Israël en 1948.

Ce qu’il se passe actuellement n’est pas normal. Regardez autour de vous. Ouvrez les yeux. Regardez tous ces gens apeurés dans la rue ou dans les transports en commun qui se cachent derrière un bout de tissu made in China et qui pensent que ce bout de tissu ou de papier ou de plastique les protège d’une maladie soit-disant mortelle. Essayez de les regarder dans les yeux. Ils baissent les yeux. Ils ont peur. J’ai fait un nombre important de vaccins dans la vie comme vous tous. Je n’ai jamais eu peur d’aucune maladie. Je n’ai pas peur d’être malade, je n’ai pas peur de mourir. Mais j’ai peur d’une chose c’est qu’on me fasse faire des choses sans mon consentement ou en extorquant mon consentement ou en me menaçant. J’ai subi une agression sexuelle à l’âge de 4 ans. Un garçon de 14 ans a mis son doigt dans mon zizi. Il m’a dit « laisse-toi faire ». Une pénétration sans consentement ça s’appelle un viol. Aujourd’hui, vous savez que je suis très impliquée dans la défense des femmes victimes de violence. Une injection expérimentale sans consentement ou avec extorsion de consentement, ce n’est pas normal. Menacer des gens de perdre leur boulot, de ne plus recevoir de salaire, de ne plus pouvoir soigner ni se soigner, de ne plus pouvoir aller se divertir, allez faire du sport, aller s’instruire ? Ça s’appelle comment ? Ça s’appelle un état totalitaire. Aujourd’hui, quand vous me demandez comment ça va, je ne sais pas quoi vous dire. Oui ça va à l’instant T. Mais une minute avant ou une minute après je peux pleurer ou être en colère car on me prive de mon travail depuis 4 mois. Je ne suis pas un moins bon médecin que bon nombre de mes collègues qui continuent à travailler aujourd’hui et qui ont le droit de travailler car ils sont injectés. C’est leur choix de se faire injecter une substance expérimentale qui modifie leur ADN. Ce n’est pas le mien. Je veux garder mon libre choix de ce qui pénètre ou non dans mon corps et ne pas céder à des menaces ou à des mensonges. Jusqu’à où cela va t’il aller ? Les prochaines victimes sont qui ? Les enfants ? Les femmes enceintes ???? Etes-vous libres quand on vous annonce que vous serez « désactivés » le 15 janvier ? Tous les combien de mois allez-vous être désactivés ? Tous les 6 mois ? Tous les 5 mois ? Tous les 4 mois ? Tous les 2 mois ? Tous les mois ?

Ouvrez les yeux. Ouvrez votre cœur.

Thelma, Un endroit dans le monde, Le 03/12/2021.

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