5 janvier 2022
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Bonjour, j'ai besoin d'un conseil. Epileptique, trentenaire, mon beau-fils, cédant à la pression des médecins qui suivent son épilepsie et à la pression sociale (privations de libertés pour les non titulaires de pass), a reçu la première dose du pseudo-v.ccin le 23 décembre. A la suite de l'inoculation, outre les douleurs souvent décrites dans les membres, il a eu quatre crises consécutives qui l'ont mis à plat. Sa petite amie (également "v.ccinée" pour pouvoir exercer en profession libérale et qui a présenté des effets secondaires avec troubles neurologiques après injection) lui a dit qu'il s'agissait de la crise la plus intense à laquelle elle eût assisté. Ce jeune homme qui a passé Noël avec nous vient de me révéler qu'il a encore des mauvaises sensations dans le bras et une (ou les) jambe(s) et sans doute aussi à la tête. Je ne l'ai jamais vu avec les traits aussi tirés. C'était un jeune sportif. Je lui ai déconseillé de pratiquer des activités physiques pendant quelque temps.
J'ai pensé qu'il pourrait être utile de prendre des compléments alimentaires (voire des médicaments bien tolérés par l'organisme) pour réduire ces effets néfastes : j'ai pensé à la N-acétylcystéine (pour synthétiser du glutathion) en alternance avec Vito-métal (un détoxifiant qui contient de la NAC, de la vitamine C, de l'hypromellose, de la L-glutamine, de l'acide alpha-lipoïque, du L-glutathion réduit et de la Chlorella, et, d'éviter si possible le paracétamol pour privilégier au besoin l'aspirine.
Auriez-vous d'autres conseils détox à me donner (ou à lui donner) ? Spiruline ? Charbon actif ? Y-a-t-il un ordre à respecter, c'est-à-dire des choses à prendre dans l'urgence et d'autres à enchaîner par la suite ? On ne peut pas se gaver de tout en même temps.
Le "gamin" (30 ans) aimerait pouvoir, compte tenu de ces effets délétères, pouvoir éviter désormais de se soumettre à une deuxième inoculation. Peut-il espérer obtenir d'un médecin un certificat le dispensant de recevoir une deuxième dose et quel serait son statut dans l'affirmative (dans le cas où il obtiendrait une dispense) ?
Pour ma part, j'ai suivi avec beaucoup d'intérêt pendant plusieurs mois vos émissions hebdomadaires du CSI (mais depuis plusieurs semaines je n'ai plus pris le temps de me mettre à jour, débordé par l'avalanche de problèmes à gérer). J'aurai bientôt 61 ans, cinq stents (donc avec risques thrombotiques) et je n'ai pas voulu me faire inoculer. Ma mère, actuellement âgée de 95 ans, est covid plus (avec quelques symptômes) en Ehpad et cela fait trois semaines que je ne peux plus la voir. Le médecin a mis plus de quinze jours avant d'aller la consulter. J'avais refusé les vaccins à ARN mais j'avais cédé il y a quelques semaines à la pression pour la faire vacciner contre la grippe. J'ai de l'ivermectine et de l'azythromycine non périmées mais je n'ai pas trouvé de médecin qui acceptaient de les prescrire (ce qui aurait permis aux infirmières de l'epahd de l'administrer) et le médecin prescripteur n'aurait pas été "dénoncé" par les logiciels puisqu'il n'aurait pas fallu aller chercher ces spécialités pharmaceutiques efficaces à la pharmacie.
Mon père, décédé, était pharmacien. Je ne sais pas ce qu'il penserait de la situation actuelle. Au début de cette folie, fin 2019 et début 2020, quand on a prohibé l'usage de l'hydroxychloroquine, j'ai pensé : on nous refait le coup de l'iode interdit de délivrance à l'époque de Tchernobyl. Je me suis dit, ça ne sent pas bon, cette histoire. Et je me suis souvenu de ce que mon père nous mettait dans les narines quand nous étions gosses pour éviter d'attraper des "saloperies" en hiver. Une substance inoffensive, déconseillée aux épileptiques ou gens souffrant de convulsions. Un petit truc efficace que je ne nommerai pas ici mais que j'utilise à l'occasion. La substance active (bactéricide et virucide), provenant des TOM, avait été découverte par un pharmacien.
Je n'ai pas peur du virus mais uniquement de cette folie de dictature sanitaire, de la sale tournure qu'ont prises les choses sur le plan politique à l'échelle planétaire.
Merci de tous conseils concernant le jeune épileptique pour limiter autant que faire se peut les effets secondaires, s'il est encore temps d'agir.
Un sexagénaire contrarié qui vous apprécie.