Témoignage de :

Courrier au président de la République

8 avril 2021

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Voici la lettre que j'ai envoyée au président de la république (adressée rue du Fbg St Honoré, 775008 Paris.
Je rêve que nous écrivions tous notre protestation à ce chef d'état qui règne aujourd'hui en despote.

« Monsieur le Président, Vous avez été élu sur la promesse, essentiellement, de remettre le pays en marche, de lui redonner un avenir. Or, à la date d’aujourd’hui, sous prétexte d’une épidémie qu’on aurait pu endiguer si les moyens pour le faire avaient été raisonnables, jamais notre pays n’a été aussi bas, jamais les Français n’ont connu pareil désespoir face à un pouvoir qui navigue à vue et semble se moquer complètement d'eux.
Il est choquant, insupportable, de voir la France s’enfoncer chaque jour un peu plus, ne plus être représentée par ses députés parce que l’exécutif légifère à coup de décrets et que les bancs de l’Assemblée sont vides.
Il est choquant et insupportable de constater une explosion totalement folle et incontrôlée des dépenses publiques, voir nos libertés muselées, la censure s’exercer sur toute personne qui exprime une opinion contraire à la vôtre.
C’est vraiment du jamais-vu en République !

Mais le pire est votre gestion catastrophique de ladite ‘pandémie’.
Depuis le début, le gouvernement, n’écoutant que lui-même et un pseudo ‘haut conseil scientifique’ qui fait la pluie et le beau temps, n’a pas d’autre réponse que les confinements, les couvre-feux, les obligations de port de masque dont l’utilité n’a pas été démontrée, et la répression.

Vous faites la sourde oreille, tandis que, ailleurs dans le monde, les malades sont traités et guéris (Inde, Sénégal, Madagascar…). En effet, le traitement ambulatoire précoce est appliqué dans de plus en plus de pays . A l'instar de l’ivermectine en premier lieu, dont les propriétés prophylactiques préventives et curatives sont aujourd’hui démontrées. Comme le déclare le Prix Nobel Satoshi Omura : « Refuser l’ivermectine comme traitement contre la Covid-19 reviendrait à ne pas accepter la pénicilline en son temps ».

En France, des personnes qui n’ont pas été prises en charge à temps et qui auraient pu être sauvées sont mortes. Votre responsabilité est engagée. Je vous demande par conséquent, en votre qualité de chef de l’Etat, d’exercer votre pouvoir afin que les autorités sanitaires autorisent les traitements précoces dans le cadre de la Covid-19 en mettant à disposition les mêmes moyens pour la promotion de l’ivermectine qu’il ne met pour les vaccins.

Le désengorgement des systèmes hospitaliers en dépend, à moindre coût, ainsi que le bien-être de la population. Ces mesures seront essentielles pour sauver des vies, permettant le retour à la vie sociale et économique que nos concitoyens attendent dans un état de droit, à un an des élections présidentielles. Je vous prie de croire, Monsieur le Président, à l’expression de mes salutations respectueuses. »

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