Témoignage de :

Courrier aux députés de Loire-Atlantique

19 janvier 2021

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Courrier aux députés de Loire-Atlantique

Assemblée nationale, 126 Rue de l'Université, 75355 Paris 07 SP

 

Madame la Députée, Monsieur le Député de la République,

 

Je m'adresse à vous aujourd'hui au sujet de la crise sanitaire qui frappe notre pays, et en particulier à propos des vaccins anti-Covid.

Depuis le début de l'année, l'exécutif a imposé sans justificatifs des mesures autoritaires, non fondées scientifiquement, appuyées sur des assertions contradictoires qui se sont plusieurs fois révélées être des contre-vérités (voir par ex. le scandale des masques).

Au lieu de renforcer le système de santé, le gouvernement a imposé des confinements successifs généraux aux très lourdes conséquences économiques, sociales, médicales et psychologiques, sans évaluation du rapport bénéfice/risque global de ces mesures, et même en contradiction avec des données scientifiques existantes.

Des centaines de milliards ont été versés en aides compensatoires au lieu de financer les hôpitaux et personnels de santé, pour un coût qui aurait été bien moindre.

Alors que des traitements existent (oxygénation, apports de vitamines, zinc, antibiotiques, plusieurs médicaments reconnus actifs par de nombreux médecins dans le monde, etc. ), les autorités sanitaires ont promu un médicament toxique dorénavant déconseillé par l'OMS (Remdesivir) , et interdit un médicament dont l’efficacité a été démontrée par de nombreuses méta-analyses et des essais cliniques randomisés.

Le précepte habituel : "tester, traiter, isoler", n'a pas été appliqué dans toute la France, alors qu'il a réussi dans d’autres pays.

Depuis le début de l'épidémie, les médias proclament que la seule issue est le vaccin, et le gouvernement a maintenant annoncé un plan de vaccination de masse, dans un premier temps par les produits des laboratoires Pfizer/BioNtech et Moderna. Ces "vaccins" à ARN messager sont des thérapies géniques expérimentales qui n'ont jamais été utilisées sur l'homme auparavant.

Nous n’avons AUCUN RECUL sur la durée de leur efficacité, leur tolérance par l’humain, leurs risques à moyen ou long terme. Le rapport bénéfice/risque ne peut donc PAS être évalué, en raison du manque de visibilité sur les risques. Le taux de létalité du COVID19 est estimé entre 0,5% et 0,7% par l'Institut Pasteur , alors que celui de la grippe serait selon Santé Publique France dans une fourchette de 0,2% à 0,5%. On n'imaginerait pas une telle vaccination de masse pour la grippe, dont la létalité est pourtant du même ordre. D'un point de vue financier, le coût d'une telle campagne vaccinale est de plus absolument prohibitif et scandaleux, sans parler des centaines de milliards que nous, nos enfants et nos petits enfants vont devoir rembourser suite à la mise en place de mesures disproportionnées et injustifiées.

Dans son discours du 24 novembre 2020, le chef de l'Etat a indiqué : "Je ne rendrai pas la vaccination obligatoire.", laissant supposer qu'il s'arrogeait le droit de la déclarer obligatoire ultérieurement, au mépris de toutes les règles démocratiques. De plus, on connait la valeur de telles promesses. D'ailleurs à peine quelques semaines plus tard, les journaux titraient : « L'exécutif renonce à imposer la vaccination obligatoire ».

En effet, M. Jean CASTEX, 1er ministre, a présenté en catimini un projet de loi le 21/12/2020, instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires, comprenant : " Section 2 " « État d'urgence sanitaire » : « 6° Le Premier ministre peut, le cas échéant dans le cadre des mesures prévues aux 1° à 5°, subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transports ou à certains lieux,

ainsi que l'exercice de certaines activités à la présentation des résultats d'un test de dépistage établissant que la personne n’est pas affectée ou contaminée, au suivi d'un traitement préventif, y compris à l'administration d'un vaccin, ou d'un traitement curatif.

Le décret mentionné au deuxième alinéa du présent article précise l'étendue de cette obligation ainsi que ses modalités d'application s'agissant notamment des catégories de personnes concernées.»

L'état d'urgence sanitaire que vit notre pays depuis un an est un moyen de court-circuiter l'Assemblée et de faire sauter tous les garde-fous démocratiques pour imposer des lois liberticides ou risquant de porter gravement atteinte à la santé publique. Jusqu’à quand les députés vont-ils accepter cette situation ? A quoi bon voter pour vous qui semblez l’accepter alors que les seuls qui s’opposent à cette loi sont dits d’extrême-droite ?

Vu la forte pression exercée par les pouvoirs publics, le danger d’une dérive autoritaire visant à imposer la vaccination de force par tous moyens coercitifs insidieux tels que le

« Passeport vert » (?!) est de plus en plus évident. Les conséquences de telles mesures

seraient dévastatrices et pourraient créer les conditions d’un véritable « Apartheid vaccinal » en France. La vaccination n’est pas altruiste et doit rester un choix individuel : le médecin-chef de Moderna lui-même a reconnu qu’il n'était pas prouvé que le vaccin empêchait la transmission de la maladie, et de nombreuses recherches pour le vérifier seront nécessaires. Les essais vaccinaux de Pfizer n'ont pas été conçus non plus pour évaluer l'efficacité chez les personnes âgées de 75 ans et plus (moins de 2 000 personnes testées) . Cela implique que la population des EHPAD va être utilisée comme cobayes humains, ce qui est absolument contraire à toute éthique.

A ce jour, aucune étude scientifique indépendante n'a établi l'innocuité et l'efficacité de ces vaccins, les autorités sanitaires s'en remettent uniquement aux déclarations des dossiers

des laboratoires. Considérant les innombrables scandales liés aux laboratoires pharmaceutiques (voir Dengvaxia ; la narcolepsie provoquée par le vaccin contre le H1N1 ; le vaccin contre la polio en Afrique ; le scandale du Médiator, etc.), on ne peut se fier à la morale irréprochable de ces structures, et l'inquiétude des populations est complètement légitime. De plus, des lois ont été signées en Europe pour exonérer les laboratoires pharmaceutiques de toute responsabilité en cas d'effets secondaires graves.

Le Conseil d’État lui-même estime que la possibilité du carnet vaccinal, sous sa rédaction actuelle, pourrait avoir des effets équivalents à une obligation de soin générale (et ainsi devenir illicite) : "sans être par elle-même assimilable à une obligation de soins, une telle mesure peut, si notamment elle conditionne la possibilité de sortir de son domicile, avoir des effets équivalents et justifie, à ce titre, un strict examen préalable de nécessité et de proportionnalité, dans son principe comme dans son étendue et ses modalités de mise en œuvre, au vu des données scientifiques disponibles".

Il est absolument contraire à l'éthique que des mesures qui engagent le futur des français à long terme avec un très fort impact, soient décidées sans débat démocratique.

J'estime donc qu'il est aujourd'hui de votre devoir, comme représentant du peuple, d'interpeller le Gouvernement sur la question de la vaccination et d'exiger de sa part un engagement clair et définitif sur les deux points suivants :

1 - les vaccins anti-Covid ne doivent pas être rendus obligatoires, ni de manière directe, ni de manière indirecte (par interdiction de circulation ou d'accès à des services).

2 - il faut obtenir la garantie qu'aucune forme de discrimination ne sera imposée aux personnes qui refuseront ce traitement.

 

Je vous demande donc de censurer le projet de loi n° 3714, déposé le 21 décembre 2020 par Jean Castex, pour vote en urgence par l'assemblée nationale instituant un « régime pérenne de gestion des urgences sanitaires » (Procédure accélérée).

 

Je vous remercie par avance de votre intervention et je serai extrêmement attentive à la suite que vous voudrez bien donner à ma requête.

 

Veuillez agréer, Madame la Députée, Monsieur le Député, l’expression de mes salutations distinguées.

 

 

Nom, prénom, signature

Un(e) citoyen(ne) de (département)

 

 

SOURCES

https://leaq.ca/J-20125-P-41.pdf

https://c19study.com/

https://www.aimsib.org/2021/01/03/covid-19-un-simple-changement-de-methode-et-cest-fini/

https://www.circulaires.gouv.fr/download/pdf/circ?id=45079

https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2034577

https://www.inrae.fr/actualites/CP-modele-statistique-calcul-letalite-COVID-19

https://www.bmj.com/content/371/bmj.m4037

https://www.prescrire.org/fr/203/1845/60577/0/PositionDetails.aspx

 

 

Links:

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[1] https://dbcacgh.r.bh.d.sendibt3.com/tr/cl/HOzfal-01iurB0V-5LkUI3tE7AUJehmnpzwhuEt0Wgdj7vmmCZKliuObv7nflM6_L6ANYf9iTHQOIPzaUq9gnMly9YbIV9RupC00gzqGBGEpLMBkKIHGgk28rbVL1NXnSLIwVqLZ0Ila740XA98yI-MCKzYClJntn2RC7FOAfZVPrfkkZT11JFRj9nuT8sL_ZR80kpwyrKCeHM_ZQrm_PUKA3kBa493-vA9b5wl1ukDYvlUm3Z-LHN0kY02VUQ

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