Témoignage de :

Crime contre les enfants

28 mars 2021

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Bonjour,

Témoignage d'un petit animateur. J'exerce en tant que simple animateur, donc employé par une commune. Depuis 5 ans déjà, j'ai commencé à saisir certaines dérives de notre société, le piège du salariat, ce qu'est devenue l'éducation... Mais je persistais dans mon métier, tentant d'apporter quelques chose aux enfants, les entraîner à réfléchir par eux-mêmes, les intéresser à divers sujets (alimentation, dangers des réseaux sociaux, de la télévision, que je n'ai pas depuis que j'ai quitté le nid familial..., ne pas croire sur parole ce qu'on leur dit, moi y compris). Au mois d'août, j'ai découvert pendant mes recherches sur ce "virus", ce plan qui était mis en marche par nos élites, mais aussi les pires atrocités commises par ces mêmes élites (je parle surtout des réseaux de trafics d'organes, humains et surtout enfants). Je suis totalement seul lors de mes heures de travail, car le seul à toujours rassurer les enfants sur le virus, à ne jamais mettre ce masque convenablement (j'ai abandonné de convaincre les collègues). Lors du port du masque pour les enfants de moins de 12 ans, j'ai désespéré. J'ai donc été arrêté pendant 3 mois, jusqu'en mars. À mon retour, tout le monde était devenu fou. Des zones pour chaque classe dans la cour (que je nomme enclos), tous les adultes qui veillent à ce que chaque enfant ait bien son masque (que je nomme muselière, ou bâillon). Je vois des enfants en panique lorsqu'ils se rendent compte qu'ils ont oublié le masque dans la classe, des adultes tremblant de trouille dès qu'un enfant subit un test pcr "positif". De mon côté, je continue à les laisser voir mon visage lorsque je parle, certains sont soulagés qu'on les laisse respirer un peu, je les encourage à le baisser surtout en activité. Cela me retombera dessus un moment ou un autre, mais je n'ai de toute façon pas d'avenir dans ce système qui soutient des mesures criminelles et inutiles. Je ne suis pas encore assez courageux pour dire leurs vérités aux décideurs, je me contente de faire de la résistance discrète. Le jour de mon renvoi arrive certainement, et même si cela signifie ma fin (plus de revenus = décès), j'aurai au moins réussi à ne pas participer à ce crime contre les enfants, à ce crime contre l'humanité.

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