Témoignage de :

DÉJOUEZ LA CONTRAINTE !

2 octobre 2021

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Pamphlet en deux parties

 

I - Un discours unissant ou uni-sonnant ?

 

Se rebeller, c'est se défendre des errements de chefs délétères.

Défense d’être ensemble !

Ces gens empêchent les enchevêtrements des êtres. C’est dément !

Les gens de presse, serfs et serves empressés des mêmes [chefs],

servent des prétextes, perpètrent des pertes de repères et emmêlent

les éléments.

Des télés se mettent en cent sept et l’épellent sans cesse :

RESPECTEZ LES DÉFENSES!

Et mettent en exergue des vedettes décédées…

Les ferventes révérences de ces clercs envers de véhéments experts

en vente de remèdes (et de règles éthérées…) révèlent des

préférences secrètes !

Perplexes, les gens stressent, tremblent (perdre des êtres chers

blesse), s’empêtrent l’entendement, s’enferment et revêtent des

vêtements d’étêtés cerbères : des effets de nez, espèces de

chèches en crêpe vert…

Des sergents zélés (décérébrés ?) les empêchent de s’exercer !

Et enflent les revêches et les énervés de dépenses nettes

extrêmement élevées.

Enfermés les pères et mères [de bébés sevrés ?], les pépères et

les mémères, les éphèbes grêlés, les mégères celtes, belges et

helvètes, les berbères grecs et les bergers serbes, enfermées les

Eve, les Sélène, les Hélène hellènes, enfermés les éméchés

fervents, les déments, les révérends, les membres des sectes…

Le temps déferle lentement.

Des décrets défendent les messes… Le Net empêche les grèves... Des

sénescents décèdent…

Entre venelle et belvédère, c’est le désert.

Les sergents se présentent et les gens bêlent, Bee Bee…

En dessert (crêpes dentelles exceptées), les chefs resservent les

mêmes préceptes échevelés et répètent des règlements mêlés

d’éther.

Règle de fer :

Se préserver des vents et des rejets de nez grevés de germes

délétères (les sécréter c’est se ré-enfermer !).

Des éléments permettent de se déprendre de ces rets extrêmes et

générer des pensées référencées:

Des experts en recherche recentrent les évènements récents : Les

pertes réelles se révèlent pérennes. Les effets pervers des

enfermements -et des chèches [les effets de nez s’émèchent et les

germes s’en délectent]- en réservent de sévères [pertes].

Censément, des mets selects, (des entrées vertes exemptes de sel, des

crevettes pelées, des fèves zestées de cèpes et de ventrèche, des

chèvres cendrés, des pêches en gelée et des verres de xérès…),

des herbes séchées, et des gestes prestes permettent d’exercer ses

réflexes et de se préserver… et se présenter chez des d’êtres

chers rend décent.

Les chefs des ventes d’éléments ferrés prêchent l’excédent, ne

cessent de répéter ces règlements express éternellement

z’éphémères (défense de se mêler !!!) et prétendent espérer des

remèdes précédés de tests. Des remèdes espérés ! Des tests

déréglés !

Réellement, ces gens se servent de réserves célestes (le Net

vénéré, dégénéré ?), relèvent et segmentent les gestes, en

émettent des préceptes et régentent le sens des pensées.

Permettre cette géhenne, c’est l’enterrement des rêves et des

gestes de tendresse, l’envers de kermesse, fête, mêlée…

C’est l’étêtement révélé geste censé (!).

L’émergence de rebelles permet d’espérer le renversement de ces

excellences grêles.

Se rebeller, c'est se défendre des errements de chefs délétères.

 

II- Cherchez l’élément enlevé

 

La disparition du droit commun au nom d’un virus incapacitant

Voyons voir :

Surgi d’un Wuhan (plus ou moins dix millions d’habitants) sans

pangolin ni souris-sans poil (?) sous la main pour la population -mais

si dans un nid à laborantin-, un virus inconnu (?) nous confina quasi

tous (?) pour jusqu’à la saint glinglin.

Plus un passant sans autorisation !

L’infraction coûtant bonbon, chacun s’appliqua à sortir un par un,

puis à fournir son motif idiot ; s’habillant, par surcroît, d’un

tissu d’hôpital, d’un mouchoir imaginatif, d’un foulard bouilli

(la burqa pour tous, aussi quand on n’a pas mal du tout ?), pour

courir au turbin ou parcourir un coin durant un court instant pour la

satisfaction d’un ami canin.

L’ami canin chiant sur nos droits humains.

Tout ça sans un cri d’opposition !

La raison ? Du flic à foison, alignant à loisir pour l’oubli d’un

bon manuscrit, pour sortir sans but, pour un tour au bois, aux champs,

à Longchamp, à Auchan (un par un, s’il vous plait ou pas)…

Durant sa diffusion, un virus contaminant nous aurait-il saisis

paniquant ? Il paraîtrait.

La publication d’un flux continu d’informations sur l’apparition

du moribond suivant, fut-il du Poitou, ou du Morvan, Bantou ou du

Pakistan, infibulant/distillant la paranoïa, nous aurait-il assouplis,

ahuris, produits craintifs, soumis pour toujours ?

Ou pour jusqu’à quand ?

Un puissant trust marchand (Big Pharma ? la fondation d’un grand

manitou du Big Data?), s’alliant à un magma d’abusifs fabricants

d’un normal sournois (amants du capital d’où qu’il soit…), nous

aurait-il pris pour pantins, nous laissant abasourdis, souhaitant un

vaccin soudain?

Un vaccin pour tout un chacun, garni d’un nano chip incluant un suivi

digital constant ?

Un pool corporatif s’alliant aux pouvoirs constitutifs, traçant ou

contrôlant tout un chacun, aurait-il pour but la domination d’un

individu sans droits ni raison ?

Tout ça sans conflit, jouissant d’un sauf-conduit induit par la

dramatisation d’un virus contaminant…

Un grand salut à l’anormal d’un humain au postillon fatal !

Pourtant, si nos savants loyaux partout vont publiant un bilan dissonant

! Disant qu’on pâtit d’un taux d’occis par contamination qui pour

finir parait normal ! Qu’un suivi confinant produira pis ! Qu’usant

mal sa burqa, son foulard ou son tissu d’hôpital, son poumon

s’affaiblit plus, qu’un gant salit tout autant (poncif du «

touchant/salissant »), qu’un bon tour au grand air (gratis sauf si tu

bois un coup au bar du coin) nous garantis un joli jour sain !

Alors, pourquoi tant d’affuts quand un savon suffit ? (mais sans trop

non plus !)

Pourquoi tant d’abus ? Tant d’obtus ? Tant d’injonctions à la

soumission ?

Oui, POURQUOI ?

Pour moi, sans l’avoir voulu, nous suivons un plan succinct

(d’aucuns diront : « Ouiiii… La conspiration… ! ») La

configuration du « normal » (jusqu’au vaccin promis pour tous) :

 

Ta constitution, un torchon :

Contrats d’acclimatations d’outils vigilants (Flics au cul du mutin,

fut-il pour un postillon…).

Ta maison, ton gourbi ou ton trou à rats :

Ton travail/ton salon/ton lit/ta prison/tu sortiras au diapason.

Ton horizon, la cloison du voisin :

Ou tu produis du profit constant, ou tu pourris dans un trou sans fond.

Ton droit, un canular pour rupins :

Disparu sans bruit, mutatis mutandis au nom d’un sain parti, pris par obligation.

 

Oui, POURQUOI?

Pour un profit plus grand, pour un gain infini, pour la liquidation

d’insoumis (noirs ou blancs anarchisants, opposants aux vaccins,

opposants à tous crins, populations dans un « moins-disant social »,

marginaux, viocards…).

Pour la monopolisation du vivant par l’implantation d’un big data

mondial…

Pour promouvoir un plan d’action subtil, assis sur la domination

d’un pouvoir absolu fascisant.

 

Alors, anticipant un futur si noir, si gris, si glaçant, si agaçant;

aussi laid qu’abrutissant, avilissant, pourri; qui pourrait abolir son

arroi viral ?

Toi, ou moi, ou tout individu agissant, disant, proclamant, criant :

 

NON, un virus, aussi contaminant ou nocif soit-il, fut-il introduit par

un laborantin chinois trop/pas malin ou par un gus primitif validant la

consommation d’animaux sans tampon marchand, NON [un virus] n’aurait

jamais dû avoir un pouvoir sur nos droits à sortir pour un oui ou pour

un non, à parcourir la nation sans but, sans avoir à fournir ni

justificatif ni autorisation ! (Droits garantis par la constitution !!!)

NON au plan traçant/contrôlant la population !

NON aux vaccins par obligation !

NON aux nano chips par dissimulation !

NON aux flics du distant social !

 

POUR un futur sans organisation du « normal » par un pouvoir

manipulant nos morts pour son profit.

POUR moins d’abus dans « l’information ».

POUR garantir nos droits communs.

 

Jean Defrancisco

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