Témoignage de :

Donner la vie librement

29 janvier 2022

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Bonjour à toutes et tous, Je suis Laure. Je vous remercie pour votre site qui me permet de rester éveillée et de ne pas sombrer dans l'hystérie, la paranoïa ou encore l'hypocondrie. Le 17 mars 2020, nous sommes officiellement entrés en "guerre sanitaire" (E. Macron, 16.03.2020). Depuis cette date, les notions de libertés fondamentales et de droits de l'homme n'existent plus. J'ai appris que j’attendais un enfant mi-avril 2020. Non, pas "un bébé Covid" comme deux médecins ont pu me dire. Lors du 1er confinement, j'ai dû me rendre à 2 reprises à la maternité en taxi car je ne pouvais pas faire appel à une amie véhiculée, sous peine de l'exposer à une peine d'amende et même de prison. A l'arrivée, les infirmières étaient vêtues comme dans un laboratoire de haute sécurité. Pour m'accompagner dans mon inquiétude lors de ces visites concernant le déroulement de ma grossesse, personne. J'étais seule, aucun accompagnant n'étant autorisé. J'ai fabriqué moi-même des masques en tissu en découpant des torchons et T-shirts, récupérant des élastiques sur des pantalons. N'oublions pas qu'il était impossible de trouver du tissu et des élastiques en vente libre. Les masques dits "chirurgicaux" ou "FFP2" étaient inutiles pour le peuple et surtout introuvables pour les professionnels de santé. Je ne vais pas faire la liste de toutes les interdictions, restrictions, privations de liberté, mesures sans aucun fondement médical mises en œuvre par le gouvernement qui se sont succédées, annulant ou surajoutant aux précédentes, la liste est tellement longue et contraire à toute Raison. Pendant toute ma grossesse, j'ai vécu sous la menace du Covid. En cas de test positif, l'accouchement se déroulerait dans une salle spéciale isolée, puis confinement dans une chambre spéciale sans visite du futur Papa. Concernant la naissance de mon enfant en décembre 2020 : - j'ai dû porter un masque durant mon accouchement, - j'ai été CONTRAINTE de subir un test PCR nasopharyngé lors de mon installation dans la salle d'accouchement alors que l'obstétricien m'avait assurée qu'aucun test Covid n'était prescrit hors accouchement programmé, - j'ai dû faire pression pour ôter mon masque avant la délivrance afin que mon bébé ne prenne pas l’obstétricien ou la sage-femme (tous deux masqués) pour sa mère, - je n'ai eu droit à aucune visite durant mon séjour à la maternité, hormis le père de mon enfant (heureusement, je n'ai pas été déclarée positive au Covid). Nous sommes en janvier 2022. J'ai cessé de porter le masque depuis juin 2020. Je ne souhaite pas que mon enfant grandisse en ne voyant pas de visages, en ne comprenant pas ce que les gens lui disent, en ne voyant pas les sourires et mimiques des personnes qui l'entourent ou qu'il rencontre. Je ne suis pas vaccinée, non pas par bêtise, mais par un consentement libre et éclairé au refus d'un traitement expérimental. Bien que n'étant pas médecin, je me renseigne grâce à de nombreux sites et publications de professionnels de santé du monde entier. Je ne souhaite pas subir de tests Covid qui font souffrir, ni être privée de la chance d'être soignée pour une quelconque maladie, sous prétexte que le test s'avèrerait positif. Je veille à soigner ma santé mentale, à m'alimenter sainement, à respirer librement dans les espaces de liberté encore existants. J'avoue avoir menti à mon médecin traitant pour lui demander une prescription de médicaments pour un prétendu voyage à l'étranger, "au cas où". Je remercie toutes les personnes, et notamment vos collectifs, qui bravent la censure et la calomnie pour nous informer et nous apporter leur soutien pour que la liberté soit un mot du présent et que l'accès aux soins ne soit pas un privilège. Bonne année et vive la LibAirté !

Laure-Amélie

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