Témoignage de :

Du bon sens et de l’information pour résister à la terreur

20 février 2022

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Juste un témoignage de résistance et des faits pour dire qu'on peut résister à la terreur, juste avec un peu de bon sens et d'information.

J'ai 75 ans. J'ai très rapidement compris que cette soi-disant pandémie n'était qu'une sombre mascarade. Bon sens parce que malgré les chiffres de malades, d'hospitalisés, de décès assénés par les médias, je ne voyais autour de moi aucun malade. J'ai dû me plier au port du masque pour entrer dans les magasins. Mais je n'ai jamais fait un test. J'ai juste cherché à savoir ce qu'était un test PCR et manifestement ce test n'a jamais été conçu pour diagnostiquer quoique ce soit.

A partir de là j'ai continué à vivre normalement, à m'occuper régulièrement de mes deux petits-enfants, à voir ma famille. Dans le même temps, mes amis devenaient paranos et ceux qui prétendaient ne jamais aller se faire piquer y sont tous allés. J'ai tenté de leur expliquer que ces injections étaient expérimentales et des thérapies géniques dont on ignorait tout. Sans aucun résultat.

Au contraire, car j'ai dès lors été qualifiée de complotiste et tous se sont éloignés. Bien sûr, je ne peux plus aller dans un cinéma, au resto ou prendre le train. Mais je m'en fiche. Evidemment je suis très triste pour les personnes qui ont été contraintes de se faire injecter pour conserver leur emploi.

Mais j'en veux terriblement aux médecins et aux piquouzeurs de masse qui ont injecté une population terrorisée sans recul, sans conscience, sans information préalable, donc sans consentement libre et éclairé. Ceux-là, tous ceux-là sont des criminels. SANS AUCUNE EXCUSE. Sans leur collaboration active, cette funeste comédie dont on connait la finalité, n'aurait pu prospérer.

Mais que l'on s'attaque aujourd'hui aux enfants après les avoir maltraités depuis 2 ans, me révolte. Et tout médecin qui injecte un enfant est véritablement un criminel. Alors merci d'être là, vous les vrais médecins et autres chercheurs, au détriment de vos carrières.

Merci pour tout ce que vous faites.

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