Témoignage de :

Du rôle du Doliprane dans la pandémie…

11 janvier 2021

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Bonjour ! Médecin généraliste de 56 ans installée en Savoie, ayant ajouté à ma pratique au fil des ans quelques approches alternatives (qui ne résument pas mon exercice), je suis habituée à soigner chaque année les viroses hivernales, en préventif et curatif, avec de l'homéopathie, des probiotiques, des huiles essentielles, des oligo éléments (cuivre, zinc), depuis plusieurs années, avec succès.

C'est tout naturellement avec les mêmes "outils" que j'ai abordé dès mars l'épidémie naissante, et poursuivi de la même façon cet automne, avec le même protocole préventif que les autres années, dès septembre (probiotiques, zinc, vitamines C et D). Et dès les premiers symptômes, confirmés par un test positif, j'ai adapté mon traitement à chaque patient, tout en interdisant la prise de Doliprane et en favorisant la montée thermique. Au total, même sans HCQ, pas une hospitalisation, pas un décès, même chez les plus de 80 ans, guérison sans séquelles en 5 à 7 jours, moi y compris puisque j'ai eu le virus début novembre. Bien sûr, j'ai été profondément choquée par l'interdiction de prescrire le protocole du Pr Raoult, que j'aurais appliqué sinon sans l'ombre d'une hésitation. Choquée aussi par la prescription généralisée de Doliprane, qui a selon moi constitué une authentique perte de chances pour plus d'un patient, par la baisse thermique que ce médicament
induit, parfaitement contre-productive...et passeport pour la réanimation, via une paralysie du système immunitaire induite.

Tout ceci avait été démontré dans les années 60 par le Pr André Lwoff, prix Nobel de médecine en 65, et nos anciens savaient respecter l'hyperthermie empiriquement, tout en protégeant l'extrémité céphalique par l'application de poches de glace.
Hélas, cette sagesse s'est perdue au profit de Big Pharma, et la fièvre est devenue l'ennemi public N°1 à combattre à tout prix.
Aucun de mes patients ayant respecté mes consignes n'a présenté de symptômes de détresse respiratoire, même la toux était rare, pour 48 h maximum d'inconfort fébrile. Le système immunitaire non entravé, non empêché a neutralisé le virus presque in situ au niveau de la sphère ORL, et évité sa dissémination dans les voies aériennes.
L'injonction faite par les hautes instances de prescrire du Doliprane (médicament phare de Sanofi!) m'a beaucoup questionnée: le Doliprane a-t-il été promu faute d'un autre traitement à proposer devant ce nouveau virus ?, nécessité de "faire quelque chose"? ou volonté délibérée et cynique de laisser les patients s'aggraver?
Le discrédit porté au protocole Raoult, la promotion éhontée du Remdésivir connu comme inefficace et toxique, puis des "vaccins" présentés comme salvateurs à marche forcée m'incitent à pencher de plus en plus pour la dernière hypothèse. A-t-on délibérément sapé les réponses immunitaires des patients par ces directives unanimes en matière de prescription ? Si oui, les responsabilités légales du gouvernement, de la HAS, de l'ANSM, du CO des médecins sont encore plus écrasantes que prévu.
Merci de votre attention.
Confraternellement

Dr Anne Yven

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