Témoignage de :

Et si demain ?

12 janvier 2022

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Les non-vaccinés méritent la déchéance de citoyenneté. Les non-vaccinés sont des irresponsables. Les non-vaccinés sont égoïstes. Les non-vaccinés doivent assumer leur choix en n'encombrant pas les soins intensifs. Soit. Suivons cette logique gouvernementale délirante et inhumaine, et imaginons :

Nous sommes quelques mois, quelques années ou quelques doses de rappel plus tard...et il s'avère que les effets secondaires des injections à répétition sont légion, qu'aux décès, myocardites, péricardites, troubles neurologiques etc, déjà constatés au début de la campagne de vaccination, s'ajoutent des cancers, des maladies auto-immunes qui saturent maintenant les hôpitaux. Enfin ce qu'il en reste, car nous
avons continué à fermer des lits, mettre à pied les soignants qui au bout de la sixième dose, avec des effets secondaires croissants, ont décidé de stopper les injections. Peu à peu les médias mainstream font profil bas, surtout depuis que les enfants subissent également l'obligation vaccinale et ses effets secondaires délétères. On revoit les chiffres officiels des décès covid à la baisse, on commence à
prendre en compte ceux qui étaient déconsidérés auparavant. Les soignants non vaccinés reprennent du service pour suppléer ceux qui sont victimes des effets des injections. Ils sont désormais considérés comme ayant agi de façon responsable en les refusant, altruistes en prenant le risque de tomber malade pour faire profiter la collectivité d'une immunité de groupe naturelle. Ils sont considérés comme des citoyens modèles...mais les vaccinés ?
Les vaccinés méritent la déchéance de citoyenneté pour leur inconséquence. Les vaccinés sont des irresponsables qui ont refusé la prise en compte des avis de chercheurs, médecins, virologues, infectiologues qui, par centaines, ont tenté par tous les moyens de mettre en garde la population. Les vaccinés sont des égoïstes qui n'ont pas hésité à mettre en péril la santé de leurs enfants pour
tenter de se protéger eux-mêmes. A l'hôpital on effectue désormais un tri des patients en soins intensifs, excluant ceux qui viennent pour les effets secondaires du vaccin...les vaccinés ont fait leur choix, ils doivent en prendre la responsabilité.
Les injections ? Cela fait longtemps que plus personne n'en veut ; même ceux pour qui le bénéfice/ risque était pourtant en leur faveur. Les gens n'ont plus confiance. L'épidémie ? Bof, elle a suivi son cours puisqu'au final nous n'avons jamais trouvé de véritable vaccin qui empêche l'infection ou la contamination. De toute façon, ça fait belle lurette qu'elle a été supplantée par de nouveaux virus.

De la science-fiction ? Peut-être, mais en sommes-nous si sûrs ?
Comment peut-on refuser de prendre en compte l'avis de tous ces sachants qui nous mettent en garde contre les effets secondaires possibles, actuels et futur de ces injections ? Comment peut-on refuser à un citoyen de calculer son propre bénéfice/risque sur un produit à l’état expérimental ? Qui nous enjoint à obéir sans réfléchir ?
- Pfizer (plusieurs dizaines de milliards de dollars engrangés grâce au vaccin).
- Le gouvernement qui a réussi à faire sombrer le tragique dans les tréfonds du grotesque (manger assis mais pas debout comme moyen d'action sur une pandémie ?) et qui, à bout de non-dits et de
contradictions a fini par ne plus trouver d'autre argument exploitable qu'un « je vous emmerde ».
Seul l’avenir nous dira le taux de létalité et d’effets secondaires graves de ces injections. On sait seulement qu’ils existent d’ores et déjà, que ces injections ne sont pas anodines et que la phase de test est loin d’être terminée. Est-ce que cela ne suffit à ouvrir le droit à la réflexion ? A préférer protéger nos enfants sur le principe de précaution ?
Si pour rester une citoyenne je dois m’’interdire de penser, abandonner mon corps à l’expérimentation sans réserve, être dépossédée du droit de protéger mes enfants et petits-enfants, accepter qu’on me parle comme à une décérébrée, qu’on me donne des ordres stupides et contradictoires à répétition… alors, j’accepte avec humilité la déchéance de citoyenneté si gentiment proposée. Par contre, j’aimerais garder encore un petit peu mon humanité. Du coup je n’utiliserai pas ce passe honteux, je ne contrôlerai pas celui de mes concitoyens, je ne me soumettrai pas à l’obligation de l’abonnement vaccinal.

Geneviève, statut vaccinal privé

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