Bonjour à tous du fond du coeur : nous devons être FIER.E.S, nous sommes aujourd'hui une infime minorité, écrasés par un peuple WINNER qui a choisi de... fermer les yeux, croire aveuglement, céder à la peur, à son "confort" social et matériel, de se défouler aussi en tapant sur ces imbéciles, ces paranos, ces égoïstes qui ne pensent qu'à eux... Ce qui, au final, reflète leur propre faiblesse d'esprit, leur propre paranoïa, leur propre égoïsme.

Soyons FIER.E.S AMI.E.S, discrets, aidants, humbles, respectueux, soucieux de soi pour mieux l'être de l'autre.

Nous n'avons pas de haine, pas de leçon à donner.

Nous avons fait un choix, et nous le tenons.

Nous ne nous sommes pas résignés.

Nous n'avons pas cédé.

Nous continuerons à vivre : la tête haute, sans claironner. Mais au clair, de soi à soi.

N'est-ce pas l'essence d'une vie heureuse et libre ?

Tous ces témoignages font tellement de bien : jamais d'harangue, jamais d'invective; de l'incompréhension, de la colère, de la crainte pour soi et ses proches certes, mais non de la vie ou de la mort ; de la crainte de l'autre car seul l'autre peut nous priver de liberté. Nos droits de l'homme, nos droits humains, car je pense à toutes ces femmes en fer de lance, sont bafoués.

Et nous en souffrons en silence.

Nous souffrons de cette double peine, l'exclusion et l'humiliation.

Mes AMI.E.S, protégeons-nous, gardons la tête haute et protégeons-nous, en nous encourageant de ces MOTS.

Restons discrets et courtois, mais affûtés et intraitables.

La masse molle de la grande majorité souffre aussi, en silence, plus durement encore car cette souffrance fomente sur le lit de l'obligation et du renoncement.

Restons discrets, supportons-nous, et laissons couler la vie sous les ponts. Après la nuit vient toujours la lumière, nous le savons bien, c'est la triste histoire des humains.

Et la joie qui sera nôtre sera lumineuse et FIERE.

Merci

NOUS