Témoignage de :

Infection par Omicron / non vaccinée

20 octobre 2022

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J'ai 44 ans. Je suis de nature assez prudente vis à vis des vaccins. J'ai tous mes vaccins obligatoires ainsi que ma fille de 6 ans,
mais je crois davantage à une bonne hygiène de vie, une bonne alimentation, une pratique régulière d'une activité physique (yoga)
et surtout une sérénité intérieure (joie d'être en vie) pour me maintenir en bonne santé. Pour moi, le microbe n'est rien : le terrain
fait tout. J'ai une très bonne santé. Depuis toujours je fais très attention à ce que je mange, à ce que je mets dans mon corps- et dès
le début il était hors de question pour moi de subir une injection qui est encore en phase d'expérimentation et sur laquelle nous n'avons pas de recul. Le pass sanitaire puis vaccinal a été très difficile à  vivre pour moi. Je me suis coupée de ma vie sociale, familiale,
professionnelle... J'en ai beaucoup souffert psychologiquement et j'en veux énormément au gouvernement et au président de m'avoir fait subir cela. Un lundi après-midi de début avril 2022, je suis tombée malade : des frissons comme une grippe, un mal de tête très intense, ainsi qu'un mal de ventre. J'ai pensé à un gros refroidissement, une intoxication alimentaire... Je ne me suis pas fait tester et j'ai taché de lutter contre la maladie. Une amie me déconseillant fortement l'aspirine, qui est le remède souverain pour moi, j'ai pris du Doliprane. Zéro effet sur moi. Le mercredi après-midi, soit 48 heures après le début des symptômes, souffrant énormément de la tête, j'ai décidé de prendre de l'aspirine. J'ai passé une bonne nuit. Le lendemain matin, me sentant beaucoup mieux bien qu'un peu faible, je suis allée me faire tester : positive au variant Omicron. Néanmoins je me sentais en voie de guérison. Je me suis confinée comme on m'y invitait. Le symptôme qui est apparu alors était l'essoufflement : un poids sur la poitrine, des difficultés à respirer. Rien d'autre mis à part le sentiment de relever de maladie. Dès que j'ai pu, j'ai fait une séance d'acupuncture. L'essoufflement a mis du temps à disparaître (plusieurs semaines), puis un jour il n'était plus là... Fin de l'histoire. Pour moi, ce Covid a duré moins de 4 jours, et si j'avais pris de l'aspirine plus tôt comme je le souhaitais, je suis sûre que j'aurais guéri plus vite. Dans la guérison, la conviction intérieure et l'écoute de soi sont primordiales. Voilà mon témoignage de non vaccinée qui ne regrette pas un instant d'avoir refusé de vendre son corps à une pseudo science.

Elise

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