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Inquisition, intrusion, stigmatisation, discrimination : les non-vaccinés sont non seulement montrés du doigt, mais jugés

13 juillet 2021

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D’abord quelques définitions pour illustrer mes propos et qui, selon moi, résument assez bien la vie des non-vaccinés aujourd’hui.

Inquisition : c’est une enquête indiscrète considérée comme arbitraire et vexatoire Intrusion : c’est le fait de s'introduire de façon inopportune dans un groupe, un milieu, sans y être invité

Stigmatisation : en psychologie, c’est la mise à l’écart d’une personne pour ses différences qui sont considérées comme contraire aux normes de la société

Discrimination : c’est le fait de distinguer et de traiter différemment (le plus souvent plus mal) une personne ou un groupe par rapport à une autre personne ou par rapport au reste de la collectivité.

Voici donc, ci-dessous, l’illustration de mes propos.

Après si longtemps, on se rencontre enfin en famille ou entre amis. D’habitude, nous nous demandions tous comment nous allions, avec le sourire et souvent en nous prenant dans les bras. Et bien ça, c’était avant ! Avant quoi ? Le Covid ! Encore lui.

Votre cousine, qui ne vous a pas vue depuis presque 2 ans, vous accueille en criant, « tu n’es pas vaccinée ? alors je ne t’embrasse pas ! »

Votre ami de 25 ans qui ne vous a pas vue non plus depuis plus d'une année, et que vous accueillez chez vous pour des retrouvailles autour d’un déjeuner, vous dit bonjour de loin et vous demande « tu es vaccinée ? » Non. « Tu es une criminelle et tu ne penses pas aux autres ! »

Une autre amie que vous venez visiter, car elle s’est cassée la jambe. Vous vous approchez d’elle pour l’embrasser ; elle recule et vous dit « non je ne t’embrasse pas, car tu n’es pas vaccinée » ! vous restez interloquée et vous lui demandez pourquoi ? Elle vous répond « parce que je viens de me faire vacciner et je dois attendre un peu pour être totalement immunisée ». « Peut- être que je pourrais t’embrasser dans une quinzaine de jours ! ».

Enfin, vous travaillez bénévolement depuis presque 5 ans dans une association avec 7 autres personnes et vous partagez, pour des retrouvailles post-covid, un excellent dîner au restaurant en extérieur. Tout se passe joyeusement et agréablement. Puis au moment du dessert, une des bénévoles pose la question à la cantonade « vous êtes tous vaccinés ? »

Et bien non, nous sommes deux à ne pas l’être. Et là, nous avons eu droit à une déferlante de questions et d’affirmations, voire de jugements : « Pourquoi tu n’es pas vaccinée ? Tu sais que tu devras montrer un « pass sanitaire » pour te rendre dans différentes manifestations, d’ailleurs l’Europe vient de le rendre obligatoire ; tu ne pourras plus voyager. Pense aux autres ! »

Nous essayons, en vain, de rappeler que la vaccination n’est pas obligatoire, que c’est le choix de chacun de la faire ou non, et que donc ça nous regarde à titre personnel.

Et bien non, on ne passe pas. C’est nous les vilains petits canards qui n’avons pas obéi aux instructions du gouvernement et des médecins du Conseil Scientifique. Nous sommes montrés du doigt, et non respectés dans nos choix. Elle est où notre Liberté ?

Nous soigner, jusqu’à présent était un sujet très privé, voir confidentiel. Nous n’avons, jusque-là, pas été obligés de montrer patte blanche pour circuler, pour voir notre famille et nos amis, que nous ayons une quelconque pathologie, ou que nous ayons ou non été vaccinés de la grippe ou d’autres maladies. Mais, ça c’était avant !

La propagande gouvernementale et la gestion de la crise par la peur a été, on le constate chaque jour, extrêmement efficace. On écoute tous les jours les médias qui répètent en boucle ce qu’on leur a donné comme consignes de dire. Oui, appuyer sur les peurs est efficace, l’Histoire nous l’a démontré, car la peur a toujours été un levier efficace pour obtenir le pouvoir et le garder.

Comment retrouver notre liberté et notre libre arbitre en évitant les fourches caudines des "biens pensants" du gouvernement qui prétendent tout faire pour notre bien : il est vraiment temps de nous poser la question. Plus nous serons nombreux à nous opposer à ces injonctions, plus nous aurons des chances de revivre « normalement », c’est-à-dire LIBRES sans être pris à partie et/ou mis à l’écart, parce que nous ne sommes pas vaccinés.

C’est pourquoi, je remercie ici tous les acteurs/animateurs/participants à ReinfoCovid que je soutiens inconditionnellement dans la recherche de la vérité, tant scientifique que sociétale et la défense de nos libertés de nous soigner comme nous l'entendons.

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