Mon mari est aujourd'hui à l'hôpital dans un état critique. Il a été vacciné, largement contre son gré, par un praticien peu communicatif lui intimant de recevoir la première injection en juin. Il a reçu la deuxième dose vers la mi-août. Il s'avère aujourd'hui qu'il a fait toute une série de petits AVC et un beaucoup plus important le 24 octobre qui lui aurait été fatal si je n'avais été là dans la maison pour appeler les secours.

J'atteste que l'ensemble des accidents vasculaires cérébraux s'est déroulé dans une période de graves manquements en therme d'écoute, de suivi des traitements de base et de qualité de soins du médecin traitant. Un manque de médication adaptée (concomitamment, mon mari a aussi développé un érésipèle sur les deux jambes qui aurait nécessité des antibiotiques et des anti-douleurs dès fin juillet ). Se
sont installés peu à peu une douleur chronique, un état de confusion et des soucis de déglutition, ce à l 'intérieur d'un malaise global que des excès de boisson et un état psychologique, ne manquait pas d'inquiéter tout l'entourage ; cela a laissé pourtant le corps médical libéral (médecin généraliste et psychiatre alerté aussi) assez indifférent.

Malgré des courriers de ma part puis de son frère et enfin des communications régulières- avec envoi de photos des jambes surinfectées- des infirmières libérales, enfin diligentées un mois après le début des écoulements de lymphe (apparus sur les deux jambes des suites de son érésipèle pas traité) aucun suivi sérieux.
Uniquement, le 7 SEPT à ma demande, une nouvelle prescription de ses traitements habituels (zappés) et de nouvelles analyses sanguines qui révélaient pourtant des taux dangereux. Les praticiens n'ont pas réagi...
Premier séjour en néphrologie après un malaise du 25 septembre au 4 octobre, en fin d'après-midi en présence de l'infirmière venue faire les pansements. Symptômes toujours présents pendant et après le séjour sans que l'on ne rétablisse autre chose que les taux de sodium et potassium. Puis retour à la maison sans aucun appel, sans aucune visite du médecin... Jusqu'au malaise du 26 octobre au matin où il est tombé inconscient dans sa chambre. Les pompiers ont tout de suite demandé : " A-t- il eu sa troisième dose ?". Evidemment, le lien pour eux était clair...

Mon mari lutte pour survivre et s'il retrouve les grandes capacités notamment intellectuelles ( il lisait quatre heures par jour, avait une immense mémoire, avait appris 7 LANGUES) ce sera un miracle.
Il a la foi et j'ai demandé pour lui la visite d'un prêtre ami pour le sacrement des malades; depuis l'élan vital et la confiance reviennent mais cela ne fait que deux jours....
Je reste dans l' Espérance et mènerai jusqu'au bout un combat pour que toute la vérité sur ces injections irresponsables que je dénonce comme étant au mieux inutiles au pire malfaisantes ou mortelles soit faite.

H.C