Je suis médecin généraliste dans une zone peu sinistrée par l'épidémie d'ébola.
Depuis le début, je regarde attentivement toutes les interventions dissidentes, notamment celles de l'IHU, car en dehors de son traitement qui nous est inaccessible en ville, les paroles du Pr Raoult ont fait raisonner en moi les causes profondes de mon engagement dans la médecine.

Face aux malades, il me paraît indispensable, presque viscéralement, d'agir par les mots et les traitements. Depuis 1 mois j'ai décidé d'appliquer mon protocole, bien sûr adapté au cas par cas, basé sur l'ivermectine, donnée au plus tôt et aussi en prévention pour les cas contacts. Récemment sur le site de la FLCCC j'ai découvert de nombreuses données en faveur de ce protocole et cela m'a rendu bêtement fier.

J'écris aujourd'hui après en avoir fait part à un confrère que je savais adepte du protocole doliprane-dodo, car je dois extérioriser ma colère. Dès que je lui ai posé la question de savoir ce qu'il prescrivait lui, il m'a aussitôt répondu que ce protocole n'était pas validé par les autorités, qu'il nous était impossible de valider les études en tant que généraliste, que je croyais en un complot mondial contre les thérapies...

J'ai vite compris que ma question l'avait déstabilisé et sorti de son rôle attitré de médecin qui suit les recommandations, tellement sa réponse avait été violente. Il aurait tout simplement pu, par curiosité, regarder ces études ou écouter le Dr Kory et se faire sa propre opinion sans me croire sur parole.

Nous faisons face à des êtres bien qu'aussi intelligents que nous, qui restent totalement bloqués dans leur conformité et qui n'hésiteront pas à user de leur pouvoir pour discréditer les médecins qui ont osé s'indigner.

Groupons-nous pour faire force et espérons qu'un jour justice soit faite.

Je vous serre dans mes bras, sans masque et sans chichi.

Chers futurs déconfinés, recevez l'assurance de ma considération la plus immense.

S.