Témoignage de :

Jour J

4 mars 2021

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Le cri de la baleine

Lorsque nous nous posons des questions, nous apprivoisons la réalité tout en respectant notre cheminement, le refus de comprendre et la lenteur parfois. Alors, nous sommes prêts à accepter la vérité qui nous était insupportable.

Ce vendredi 26 février 2021, j’écoute la radio : décision prise par l’exécutif de valider un passeport sanitaire. Un cap est franchi ! Depuis des mois, les décisions girouettes me font perdre la tête. S’exprimer devient vital.

Je suis consternée par ces débats contradictoires et les enjeux pécuniaires qui mènent dans une direction unique : c’est la thérapie génique ou un avenir identique à la caste des intouchables !

La démocratie en santé est-elle devenue « un vilain mot » ?

« Quel que soit l’être de chair et de sang qui vient à la vie, s’il a figure d’homme, il porte en lui le droit humain.» Jean Jaurès

Je reprends La Directive Européenne de 1985 sur le droit à la consommation : « un produit est reconnu défectueux dès le moment où il n’offre pas la sécurité à laquelle chacun est légitimement en droit de s’attendre ». Si cette thérapie venait à s’avérer défectueuse, pourrons-nous poursuivre pour faute grave, voire empoisonnement volontaire, les personnes qui auront consciemment et délibérément vendu ce produit ?

J’apprends que des lieux de soins envoient les soignants testés positifs ou refusant de se faire vacciner soigner des patients COVID ? Dans quel but ? Cela signifie-t-il qu’une personne testée positive n’est pas systématiquement un malade contagieux ?

Les virus et les bactéries environnent notre vie et habitent nos corps. Lorsqu’un organisme vivant mute, n’est-ce pas parce qu’il s’adapte ?

En France, au mois de novembre 2020, 50237 personnes sont décédées du COVID, la moyenne d’âge était de 81 ans, pour une espérance de vie de 82 ans. 2% avaient moins de 60 ans et étaient sans comorbidités.

Ce qui fait un grand nombre de personnes qui ont survécu et dont les organismes se sont adaptés au virus !

En 2018, Santé Publique France, fait état de 18 millions de nouveaux cas de cancers dans le monde, dont 9.6 millions de décès. En France, à la même époque, on comptait 382 000 nouveaux cas de cancers dont 157 000 décès. 58 000 étaient des nouveaux cas de cancer du sein dont 12000 décès.

Mon espérance de vie sera-t-elle de 81 ans ? Les probabilités sont faibles, puisque la génétique opère un rôle majeur dans la transmission du cancer. Dois-je alors tenir pour responsables les générations qui m’ont précédée ?

Combien de morts de trop (propos repris de journalistes) depuis que ce cancer existe ? Pourquoi la molécule RU58668 n’a jamais été mise sur le marché du médicament ?

Dans un avenir proche, les femmes devront-elles présenter un passeport génétique pour avoir le droit d’enfanter ?

Jusqu’où ira la science ? Pourrais-je choisir mon traitement et la façon dont je souhaite quitter ce monde, ou une dose létale me sera-t-elle administrée sans mon consentement ?

En 2019, nous prenions le risque de vivre. Aujourd’hui, nous renonçons même à respirer de peur de mourir. N’est-ce pas antinomique ?

Pouvons-nous encore croire que la vie reprendra son cours lorsque nous aurons accepté la thérapie génique ?

Les agriculteurs qui sèment des cultures OGM, utilisent toujours plus de pesticides pour lutter contre les effets dévastateurs de ce mode d’agriculture.

Sommes-nous si différents des plantes ?

Nos croyances sont mises à mal parce qu’elles reposent sur des fondements biaisés. Nous avons oublié que nous sommes des êtres vivants en lien avec la nature. Notre parole résonne par-delà celui qui la reçoit. Sinon, pourquoi nous museler ? Pourquoi diffuser une même information en continu ? Pourquoi utiliser des ondes hertziennes comme influenceurs ?

A force d’avoir peur de perdre ce qui peut être bâti à nouveau, nous risquons de perdre l’essentiel de ce qui fait nos vies.

Les décisions sanitaires seraient prises pour notre bien. Vraiment ?

Depuis bientôt un an, nous sacrifions la jeune génération pour sauver les plus fragiles d’entre nous. Pourtant, ces personnes ont-elles été épargnées, ont-elles eu la possibilité de choisir un traitement pour se soigner ?

Que laissons-nous à la jeunesse : un mal être, une économie en berne et une dette abyssale, un environnement pollué par une activité effrénée et délétère. Des traumatismes qui seront inscrits dans leurs gènes sur plusieurs générations.

C’est dans nos cœurs que se trouve la vérité. Nous connaissons et reconnaissons les êtres bienveillants qui nous entourent. Ne nous trompons pas d’ennemis.

« Que l’on ait 20 ans, 40 ans ou 80 ans, que le temps qu’il nous reste à vivre sur cette terre se chiffre en décennies, en années ou en mois, chacun a encore la possibilité d’écrire son lendemain ». Alain Orsot

Angélique

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