Témoignage de :

La malchance d’être dans un pays riche

26 mars 2021

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Pour commencer, j’ai le plaisir de vous raconter un peu ma vie : je suis marié à ma jeune et charmante épouse depuis une quinzaine d’années qui a eu le hasard de naitre en Bolivie. Nous y avons vécu quelques années et notre fille y est même née. Cette situation me permet d’avoir un regard un peu « étranger » sur notre situation politico liberticido covidienne et également d’observer d’autres absurdités qui existent loin de chez nous.

C’est rassurant de voir que nous n’avons pas le monopole de la bêtise : elle est bien universelle, avec un taux de transmission bien supérieur à n’importe quel virus.

Par exemple, en Bolivie, pays qui n’est pas connu pour son amour des règles d’hygiène, on a vu apparaitre des sas de désinfection à l’entrée des supermarchés où on avait l’obligation de prendre des douches de gel hydroalcoolique intégrales mais habillé.
Les Boliviens aiment prendre soins de leur voiture et ont donc inventé une autre machine pour désinfecter l’extérieur des voitures, roues y comprises avec un liquide non identifié.
Le dogme hygiéniste n’as pas de limite !!
Mais la Bolivie est aussi connue pour une certaine nonchalance dans le respect des règles ce qui fait que ce qui est imposé ici, en France, avec force (le port du masque par exemple) est appliqué là bas avec moins d’intransigeance.

Cependant, même si une partie de ma belle-famille serait prête à faire de longues heures de queue pour se faire vacciner par le premier vaccin non identifié, elle n’en reste pas moins pragmatique et se tient informée car « mieux vaut prévenir que guérir » , surtout si c’est pour se faire hospitaliser dans un service et en ressortir avec une facture de 8000 dollars.

Là bas, la prévention n’est pas un vain mot et tous les moyens sont bons pour éviter de passer par la case hôpital, c’est pourquoi il y a bien longtemps que les mots Ivermectine, hydroxychloroquine et autres zinc, vitamine C et D sont connus et recherchés par le grand public.
Les Boliviens n’ont pas attendu l’excellent protocole alternatif de « la coordination santé libre » pour l’appliquer.
En France le rouleau compresseur médiatique a largement œuvré pour désinformer le public et les médecins sur les traitements puisque notre organisation des soins est entièrement basé sur les urgences.
On a fait croire à la population entière et même aux médecins qu’aucun traitement ne devait être pris avant d’arriver en détresse respiratoire aux urgences, pour finir en réa, intubé/ventilé.
Une folie !

Notre malchance de vivre dans un pays solvable, c’est qu’on interdit des traitements efficaces pour privilégier des traitements chers, toxiques et traumatisants (remdesivir, intubation, réa…)
Notre malchance d’être dans un pays solvable, c’est que les lobbys pharmaceutiques usent de leur pouvoir pour corrompre les médias, politiques, médecins, et autres sociétés scientifiques pour arriver à persuader tout le monde que hors vaccination, point de salut, que la seule prévention qui vaille rime avec vaccination, vaccination, vaccination…

C’est notre privilège d’être dans un pays riche que d’être autant désinformé, conditionné, aliéné par un système qui ne nous permet que de travailler et aller au supermarché puis ensuite oublier son impuissance avec des drogues télévisuelles ou bien réelles. Bon, rassurez-vous, les choses changent très vite en ce moment. Qui a parlé d’effondrement ?

HUGO

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