Témoignage de :

La vie sera toujours la plus forte

9 février 2021

Partager cet article

Share on facebook
Share on linkedin
Share on twitter
Share on email

J'ai 68 ans et je suis retraité d'une grande entreprise nationalisée qui risque bientôt de ne plus l'être. Dès le début de cette affaire de virus, j'ai senti qu'on allait se retrouver bientôt dans un merdier inextricable. Le nombre des décès était important mais quelque chose sonnait faux dans les infos mainstream dont la télé nous abreuvait. Les avis définitifs des intervenants dits "scientifiques", sur la maladie et sur l'impossibilité de la soigner autrement que par doliprane et en attendant chez soi de perdre le souffle, à d'autres !... Il se trouve que je suis moi-même un grand consommateur de soins médicaux, un bon client des CHU et des cliniques spécialisées, en somme.

Pour faire bref, j'ai été opéré à cœur ouvert d'un rétrécissement aortique en 2010 dans un CHU du Grand Est. On m'a posé une valve d'aorte artificielle. Nous sommes en 2021, mon cœur bat toujours comme une horloge.

Ce n'est pas tout. Fin 2018, on m'a diagnostiqué un cancer du poumon. Une sommité médicale, opérant en clinique, m'a lui aussi sauvé la vie en extirpant à temps le secteur du poumon atteint. Une chimiothérapie a suivi. Deux années ont passé depuis, le seuil critique de la récidive est franchi. À chaque inspiration, il me vient moins d'oxygène qu'auparavant, mais je respire, c'est ce qui compte. Cela me permet de marcher une heure par jour dans la forêt toute proche et ainsi d'entretenir ma forme.

À cela s'ajoute encore une épilepsie temporale qui m'a été diagnostiquée il y a cinq ans de cela dans un centre de traitement neurologique, dépendant du même CHU. Grâce au traitement approprié que l'on m'a prescrit sans attendre, je vis à présent normalement, malgré ce trouble du fonctionnement cérébral (dont souffrait par ailleurs le célèbre pharaon Ramsès II). Les crises d'avant la pose du diagnostic, très nombreuses et occasionnant des "absences" de durées diverses, dont j'émergeais sans plus savoir ni où j'étais, ni qui j'étais, ne se produisent plus depuis ce temps.

Sur ce, le fameux Covid nous tombe dessus. Panique à bord ! Mais, pas chez moi. Au regard de tous les mauvais pas desquels la médecine m'a tiré ces quinze dernières années, ma confiance en l'art de soigner est totale. Pour moi, à chaque problème de santé correspond un traitement approprié. A minima, si tout cela est nouveau, comme dans le cas de ce virus, des essais doivent être tentés afin de soigner les malades, et si la maladie n'est pas encore à un stade très avancé, on en guérit. Qui mieux que des médecins peuvent agir en ce sens ? Mais, on le leur a.... interdit !

À l'immense incompréhension que ce non-sens a provoqué chez moi, a bientôt succédé une colère froide face à ce micmac une nouvelle fois perpétré par les puissances pharmaceutiques. D'autres scandales me sont revenus en tête, sang contaminé, médiator, etc.... Pour avoir connu autrefois les "enfants de la thalidomide", un autre médicament toxique qui faisait naître les pauvres gamins sans bras, et avoir trouvé cela totalement criminel, je pensais naïvement que tout cela était terminé. Et... non !

Un certain fatalisme s'en est suivi. Mais, résolu à ne pas me laisser atteindre, je continue à vivre ma vie sans rien changer, comme je le fais depuis que toutes ces tuiles de santé décrites plus haut, me sont tombées dessus. Pour autant je ne me voile pas la face. Les temps sont durs, très durs, mais j'ai foi en la médecine. C'est grâce à la médecine que l'on s'en sort, par des soins appropriés, pas avec des décrets gouvernementaux. Nous allons nous sortir de ce mauvais pas. C'est une question de temps et d'opiniâtreté.

 

En l'occurrence, bravo à RéinfoCovid, qui fait bouger les choses !

La vie va redevenir belle. J'en suis persuadé.

Courage à tous !

 

Jean-François

Défilement vers le haut