Croyons en notre force, en notre faculté de résilience, en la sagesse de la Vie. Abandonnons notre croyance en la peur, en la faiblesse du corps. Cessons de nous poser, dans notre inconscient, comme des proies faciles et prêtes au sacrifice.

Croyons en l’Amour, à son expression dans la joie de vivre, les contacts humains, la convivialité, les retrouvailles au restaurant ou en famille, entre amis. Cessons de croire que la séparation et l’isolement nous protégeront.

Ma petite nièce de 4 ans pense qu’après la vie, il y a l’Amour. Croyons que quand nous mourons, nous entrons dans l’Amour Infini ! Qui peut nous prouver que nous nous trompons ? Personne.

Et si on nous accuse d’être inconscients, de nier la vérité ; si on sous-entend que nous avons de gros problèmes psychologiques ; si on nous condamne et si on tente de nous faire passer à nos propres yeux pour un monstre, laissons parler. Approuvons. Et ancrons-nous en nous-mêmes, dans ce lieu de paix et d’Amour inébranlable qui est notre fondement ! Et, car c’est sous le poids des jugements (juge qui ment, en langage des oiseaux) que nous devenons entièrement, viscéralement libres ! Libres de choisir les énergies que nous voulons voir circuler entre nous. Libres de choisir notre croyance dans le monde. Et si on nous brandit les chiffres, les chiffres, les chiffres pour nous faire culpabiliser, regardons au-delà. Au-delà des apparences. Regardons le nombre de vivants et de guéris. Regardons le nombre de décisions de changer qui ont été prises par tous les initiés de la Covid. Regardons tous les changements que cette crise va ouvrir.

Et si on nous rabaisse en nous disant que nous vivons dans l’imaginaire, bénissons, remercions. Car c’est l’imaginaire que nous concrétisons dans notre Vie !

Choisissons de concrétiser l’Amour et la chaleur humaine au lieu de la séparation, du froid, de l’isolement !

Le monde est empli d’énergies auxquelles nous accordons ou pas notre conviction. Et par notre conviction, nous leur donnons la possibilité de se manifester !

Yolaine