18 février 2021
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Alors qu’en Deux-Sèvres l’on applique les « gestes barrière » sur le moindre chemin de campagne de crainte que le nuage de Wuhan franchisse les frontières du département ou qu’un corbeau nous postillonne à la face, un Airvaudais se questionne depuis le premier jour et s’informe de façon exhaustive sur l’hystérie qui semble vouloir (ré)écrire l’histoire moderne et formater chaque aspect de la Vie selon un code inédit.
Il n’aura pas échappé aux téléspectateurs que depuis des mois l’information qui tourne en boucle ne concerne plus qu’un seul sujet, narré par une parole unique ; la croyance en ce dogme médiatique ayant engendré une masse presque homogène d’adeptes pour qui l’éventualité qu’il puisse exister une autre voie n’est plus concevable. Face au discours médical à sens interdit qu’on nous rabâche, il est important de préciser qu’un des principes de la recherche scientifique et médicale est le débat contradictoire, car sans elle il suffirait au premier médicastre d’affirmer que son traitement est le seul valable pour que cela en devienne une vérité absolue. La situation est donc la suivante : une énoncée médica-menteuse uniforme validée par un pouvoir omnipotent et approuvé par des médias dominants. Ce triptyque balaye d’un revers autoritaire toute proposition, accuse de charlatanisme le discours de scientifiques à la renommée mondiale et criminalise à outrance le sceptique quels que soient ses arguments.
Un masque camouflant l’existence d’une foule de médecins et de chercheurs ayant voué leur carrière à la santé de leurs concitoyens tentent de démontrer, s’appuyant sur des années de recherches et de nombreuses publications, qu’il est possible de soigner. Oui, soigner, vous avez bien lu. Des protocoles afin de gérer et contenir efficacement les épidémies existent mais ont été écartés, le règlement sanitaire international n’a jamais été mentionné, des traitements médicaux fiables sont interdits et les principes de base du renforcement des défenses immunitaires n’ont jamais été abordés.
Le temps est donc venu de prendre de la distance face à cette problématique, car pendant que l’OMS fait la girouette et que l’autorité de la maladie avance des arguments plus fallacieux les uns que les autres afin d’arracher notre consentement à nous faire piquer, que des actes d’une barbarie rarement observée sont commis par des forces de l’ordre, que des mesures liberticides sont ordonnées détruisant tout sur leur passage, du lien social indispensable à l’humanité en passant par la destruction d’une partie de l’économie en faveur de quelques «élites», la grande manipulation avance confortablement ses pions vers un dessein qui est loin de souligner les nuances de la santé et du bien-être. L’information est bâillonnée pendant que les chiffres sont contestés par des médecins, sermonnés par un «Ordre» qui dépasse ses prérogatives. L’exécutif affichant des positions néo-dictatoriales, il semble légitime d’envisager des pistes alternatives à cette partition car la musique sonne faux et sa tonalité en est désagréable.
Personne ne niera que la dominante de cette crise est la peur et que la façon la plus aisée de manipuler et diriger un peuple vers un but précis se résume à cultiver cette psychose d’une manière exacerbée. Cet état dans lequel nous sommes installés permet donc de poser un filtre opaque devant une intention qui semble si irréelle qu’elle en devient incohérente : le contrôle total de nos vies et de nos besoins fondamentaux, nous rendre dépendants d’un système et esclaves de maîtres qui s’arrogent le pouvoir de penser pour nous. Les termes Great Reset, Build Back Better ou Politique Quantique sonnent de manière assez inhabituelle à nos oreilles et les sermons des G. Sorros, C. Schwab ou B. Gates ont rarement croisé notre appareil auditif car traitant de transhumanisme collaborant à la technocratie, d’eugénisme, d’implants de nanoparticules ou de vaccination planétaire. Cette volonté absolue de connexion et de traçage afin qu’un contrôle global nous dirige vers une servitude dictée par l’intelligence «artificielle» dont les algorithmes seraient programmés en opposition aux préceptes inhérents à un cadre social bienfaiteur, à une liberté d’errer, de respirer, de sourire ou de s’embrasser, conduirait donc le monde vers cette dystopie évolutive pour nous et nos enfants, eux qui poseront cette question dans quelques années : mais, pourquoi avez-vous laissé faire cela ?
Dans les mois à venir, nos choix auront un impact prédominant sur le cours des événements et la direction à leur faire prendre. Je vous en conjure, ne manquons pas l’occasion qu’il nous sera donné de décider de l’avenir et non de le laisser à une poignée de ridicules petits dictateurs.
Mathieu Dufourcq