Témoignage de :

Les moutons grouillent, ça me fiche la trouille ! Résistons!

13 janvier 2021

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Je ne supporte pas et je n'accepte pas toutes ces mesures dictatoriales qui nous privent de tout ce qui ne relève pas du consumérisme primaire. La société est devenue froide, inhumaine, le moindre voisin ou ami est devenu un tueur potentiel asymptomatique qu'il faut fuir.

Je sors dans la rue sans masque (j'habite à Toulouse où il est obligatoire partout) et je croise souvent certains, masqués jusqu'aux yeux, qui me « crient » du regard "assassin", « égoïste» ! Ça fait flipper (comme disent mes enfants !) de voir la peur dans le regard de toutes ces personnes, âgées ou jeunes. Je suis effarée devant la docilité de tous ces gens qui acceptent tout sans broncher, sans montrer le moindre signe de résistance. Comme quoi, le fait d'isoler les gens, de les diviser et de leur faire peur pendant des mois permet de leur faire tout accepter. C'est le principe de la manipulation de masse.

Lors du 2ème confinement, j'étais déjà remontée à bloc devant cette mascarade, je croise un jeune voisin, je lui demande des nouvelles, et je ne peux m'empêcher de râler contre cette dictature sanitaire, déplorant le fait que le pays va à la ruine économique, sociale et sanitaire, pour un virus dont le taux de mortalité demeure faible, et il me répond: « c'est vrai, mais ils n'ont pas trop le choix, ils sont bien obligés de confiner pour stopper l'épidémie, c'est la seule solution et c'est pour notre bien ». Désespérant ! J'ai eu envie de répondre qu'il faudrait peut-être laisser les médecins soigner...mais à quoi bon polémiquer avec des personnes dont on a retourné le cerveau.

Au risque de passer pour une complotiste, je suis persuadée que cette épidémie est un prétexte pour asservir les populations et une aubaine pour engraisser davantage les marchands de vaccins. Nos
gouvernants sont les bons soldats de quelques mondialistes milliardaires qui veulent faire basculer notre civilisation par une suppression de l'enracinement des individus, une dématérialisation de la société et un contrôle total par la numérisation. C'est effrayant. J'ai l'impression depuis plusieurs mois que je vis dans un film de science-fiction et que je vais me réveiller, mais non, tout cela est réel et je pense que c'est irréversible.

À mon petit niveau, j'essaie de faire ouvrir les yeux de quelques personnes endoctrinées ou "covidisées" autour de moi, parfois certaines commencent à avoir des doutes et sont prêtes à discuter et à s'informer, d'autres se referment comme des huîtres et me cataloguent dans les affreux complotistes. Je n'ai jamais été une rebelle, mais je transgresse les règles dès que je peux, j'appelle à la désobéissance qui me paraît être saine dans ce contexte de dictature sanitaire. J'ai du mal à ne pas être en colère en voyant tous ces moutons autour de moi. Même lorsque je reviens dans mon petit village lotois perdu en plein causse et où le nombre de moutons (des vrais cette fois !) dépasse largement celui des habitants, et que je vois la plupart des gens masqués (ce qui n'est pas obligatoire là-bas), je suis consternée. Cependant, il m'arrive de croiser à Toulouse un passant non masqué (un bien-pensant ou un résistant comme je les appelle !), et nous échangeons un sourire entendu voire un bonjour, ça fait plaisir !

J'espère que les gens vont ouvrir les yeux, j'espère que l'on ne nous obligera plus à nous masquer le visage et l'âme, et que l'on pourra à nouveau serrer les mains, faire la bise à nos amis et voir les gens sourire ou faire la tête d'ailleurs, peu importe...Malheureusement, j'ai l'impression que nos dirigeants ont pris goût à ce pouvoir de museler les gens, au pouvoir de régir leur vie quotidienne et je crains que beaucoup de ces contraintes ne deviennent la norme.

Je souhaite une bonne année (ou plutôt bon courage !) à tous les lucides et résistants, ainsi qu'aux moutons qui sont bien à plaindre...

M. B-D., chercheur au CNRS, 51 ans.

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