Témoignage de :

L’estime de soi n’a pas de prix

7 janvier 2022

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Cher(e)s éveillé(e)s, Je tiens tout d'abord à vous dire que je me sens aujourd'hui éthiquement parlant plus proche de vous que je ne connais pas que de beaucoup de personnes de mon entourage.

Je pense que cette expérience de vie que nous traversons doit permettre d'en tirer des enseignements. Est-ce qu'un collègue, un ami, ou même un proche peut se permettre de nous juger, alors que nous lui avons tant de fois tendu la main pour lui expliquer, lui faire comprendre tout ce qui se cache derrière ces décisions politiques irrationnelles ?

Ne peuvent-ils pas entendre que nous nous battons aussi pour eux, pour leurs enfants, et que leur fainéantise intellectuelle est lâche et que nous la paierons tous bientôt ? J'ai donc décidé depuis quelques temps de m'éloigner de toute personne à jugement hâtif dont les seuls arguments sont "si ils le disent c'est bien que ç'est vrai".

Stop, ça suffit, nos aïeux se sont sortis maintes et maintes fois d'oppressions sans avoir tous les moyens d'informations que nous avons aujourd'hui à portée de main. Je pense que ces personnes ne sont pas des gens de confiance, plutôt des girouettes à qui je n'aurais pas confié mes enfants il y a quelques décennies.

On veut faire de nous des gens sans conviction depuis la naissance ; porter une cause pour le bien commun est aujourd'hui synonyme de tous les maux. Je bosse dans le bâtiment depuis mes 15 ans, j'en ai 34, je suis responsable commercial, et je ne me sens absolument pas un être un marginal aux idées saugrenues qui croit à la terre plate. Juste quelqu'un qui essaie de s'informer librement et correctement.

Celui qui n'est pas informé, ne veut pas s'informer, c'est tout. Je termine par cette phrase qui me donne confiance en l'avenir : Tout vacciné est un futur non vacciné. Ils se rallieront tôt ou tard, gardons confiance.

Nous aurons notre conscience (et notre santé) pour nous, d'avoir gardé nos convictions profondément intactes, en refusant le susucre du resto ou des vacances.

Force à toutes et tous,

Jérémy

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