Témoignage de :

Lettre à M. JL. Mélenchon, député des Bouches-du-Rhône

8 août 2021

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Marseille, le 13 juillet 2021

Monsieur le Député,

En cette triste veille du 14 juillet, je viens vous faire part de l’état de sidération, de colère et de tristesse infinie dans lesquelles je me trouve à la suite de l’allocution d’hier soir.
Professeur de Lettres depuis peu à la retraite, j’ai passé quarante années de ma vie à transmettre à mes élèves les idées des Lumières, le respect de la liberté, le danger de
toute dictature, quelle qu’elle soit et le sens de la responsabilité individuelle, avant tout le respect de la Vie, cette grâce qui nous est donnée et qu’il faut protéger comme un bien sacré.
Ces mesures liberticides ne peuvent que me révolter en tant que citoyenne et en tant qu’être humain.
Tout d’abord, nous sommes nombreux à savoir ce qu’il en est de ce « vaccin » qui n’est qu’une thérapie génique encore au stade expérimental, en phase 3, n’en déplaise aux
dires mensongers de certains « responsables ». La plupart des grands généticiens nous ont avertis sur le fait que les effets secondaires pouvaient être redoutables et ils le sont. Si cette thérapie était réellement un vaccin capable d’éradiquer cette maladie comme le vaccin contre la variole, aucun citoyen de ce pays ne refuserait ces injections. Or ce n’est pas le cas. Ce médicament ne protège aucunement contre l’infection et la contamination, il pourrait « atténuer » les effets du virus, selon certains. Peut-être, mais pas absolument sûr. Beaucoup de « double vaccinés » se retrouvent aux urgences, ce qui n’est pas relayé par les médias de la propagande. Les myocardites «fleurissent » chez les sujets jeunes. Il y a aussi des morts, nul ne peut l’ignorer. Le génome humain est également en passe d’être modifié, ce qui laisse augurer des maladies nouvelles beaucoup plus graves que ce virus.
Vouloir « vacciner » des enfants qui ne présentent aucun risque quant à la maladie et ne sont pas contaminants me paraît une aberration et un sacrilège. Loin d’être « irresponsable », comme d’aucuns se permettent de me le dire, je souhaiterais de toutes mes forces protéger les jeunes et les enfants de ces effets secondaires bien réels qu’ils connaîtront, eux, à court, moyen et long terme. Et voilà encore un effet délétère de la violence instillée par ce gouvernement atteint de folie : la fracture sociale programmée de longtemps et qui atteint à présent des sommets de délire. Consternant ! Notre peuple est en train de céder à une hystérie collective, infantilisme (parce que l’on nous traite comme des enfants) et paranoïa aiguë.
Je suis consternée devant l’aveuglement de certains de mes concitoyens. Je respecte complètement le fait de vouloir se faire vacciner, même si cela m’inquiète pour la santé
publique. En revanche, forcer tout un peuple à se plier à cette thérapie dont les laboratoires refusent d’assumer les conséquences avec l’aval du gouvernement, c’est à
mes yeux commettre un crime contre l’humanité et la démocratie. Nous sommes le seul pays dit « civilisé » à imposer cette « vaccination » sous peine de restrictions
innommables pour les « insoumis ».
Monsieur le Député, qu’en est-il de notre « LIBERTÉ » ? Qu’en est-il de « l’ÉGALITÉ » ?
Qu’en est-il de la « FRATERNITÉ », dans un pays où une partie de la population crache sa haine sur ceux que l’on nomme déjà des parias, des sous-citoyens, des personnes à enfermer, à abattre ?
Quelle société voulons-nous transmettre à nos enfants : une prison où « l’hygiénisme sécuritaire » règnera en maître, muselant la parole libre, l’envie de vivre, l’espoir au profit d’une surprotection utopique qui transforme l’être humain en esclave sans âme ?
De tout mon cœur j’espère, Monsieur le Député, que vous saurez être notre porte-parole pour dire que le bon sens, la raison doivent prévaloir enfin (ils ont été bien malmenés depuis près de deux années), que la lucidité, le sens de la réflexion sont les seuls remèdes Ô combien pacifiques et efficients dont nous avons besoin pour retrouver le sens de la paix sociale, de l’union et du partage.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Député, l’expression de ma haute considération.

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