Témoignage de :

Lettre à ma députée

20 juillet 2021

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Madame la Députée,

c'est la première fois que j'écris à un Parlementaire de la République, aussi je vous prie de bien vouloir excuser par avance les éventuelles maladresses que je pourrais commettre bien malgré moi.

Si je me permets ce message, c'est parce que j'estime aujourd'hui que mes enfants sont en danger.
En effet, M. Macron veut faire injecter à tous les adolescents et jeunes adultes sains un procédé génétique expérimental, dont l'efficacité a été remise en cause par le ministre de la santé lui-même dans le mémoire qu'il a présenté au Conseil d'État au printemps, et pour lequel nous n'avons par ailleurs aucune idée des effets à long terme. En particulier aucune certitude sur le pouvoir mutagène et génotoxique de l'injection de matériel génétique viral codant dans le corps humain (et de ses conséquences sur la survenue de cancers ou de troubles de la fécondité). Souvenons-nous du distilbène, dont la toxicité a été découverte près de 20 ans après son administration, quand les enfants des femmes traitées ont rencontré des difficultés à concevoir.

Ce n'est pas un procédé vaccinal traditionnel, c'est bel et bien un procédé génétique en expérimentation, et les quelques mois de recul que nous avons ne nous garantissent pas l'innocuité de la méthode à long terme.

Ne reproduisons pas les erreurs du passé, sachons plutôt en tirer les enseignements: le recul que nous avons n'est pas suffisant pour garantir la sécurité de ce procédé expérimental.
Au nom du principe de précaution, pour la sécurité de nos enfants, je vous demande, Madame la Députée, de ne pas voter en faveur de la vaccination obligatoire pour tous, ni pour le pass sanitaire. De ne pas valider cette idée folle que la seule solution pour sortir de cette "crise" serait d'hypothéquer sous la contrainte la santé des générations à venir en autorisant le pass sanitaire.

Je vous remercie, Madame la Députée, de l'attention que vous porterez à ma requête et je vous prie d'agréer, mes salutations distinguées.

K.

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