Témoignage de :

Lettre au Député de l’Orne

15 mars 2021

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Monsieur le Député,

Je vous adresse ce mail pour vous faire part de mon interrogation, voire mon désarroi face à la situation dans laquelle nous sommes depuis plusieurs mois.
Je tiens, tout d'abord, à préciser que je ne suis ni complotiste, ni anti-vax mais juste une citoyenne qui cherche à s'informer, se pose beaucoup de questions et refuse de prendre pour « argent comptant » toutes les informations diffusées par nos médias.
Depuis 1946, l'OMS définit la santé comme étant « un état de complet bien-être PHYSIQUE, MENTAL et SOCIAL et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité ».
Or, depuis mars 2020, nous nous retrouvons à ne pas vivre, par peur de mourir d'une maladie dont la létalité n'est pas significative.

Mon désarroi est grand, mon bon sens, ma cognition et mes connaissances scientifiques se heurtent aux questions suivantes, pourquoi :
- Se confiner pour soulager les services de réanimation alors que notre gouvernement cautionne encore des fermetures de lits et n'entend pas la détresse des soignants qui gronde depuis plusieurs années.
- Refuser de soigner alors que des traitements existent en phase précoce et sont, ailleurs dans le monde, utilisés.
- Bientôt obliger sa population à se vacciner alors même que les protocoles utilisés ne sont qu'en phase 3 (Pfizer : fin des études cliniques mars 2023).
- Envisager de limiter les libertés des français(es) par le biais d'un « passeport vert ».
- Cumuler les décès ad vitam aeternam (morts de et avec la Covid, nuance qui a toute son importance) et ne pas appliquer la même stratégie de comptage pour toute autre mortalité (pour exemple, l'épidémie de grippe est comptée de la semaine 42 à début avril de l'année suivante).
- Plus aucun cas de grippe sur Réseau Sentinelle France.

Nos dirigeants actuels sont contaminés par la folie et la déraison, incapables de mesurer, volontairement ou involontairement, les effets collatéraux de toutes ces mesures.

Pourquoi répandre ce climat anxiogène en permanence alors qu'un gouvernement qui aurait comme objectif le bonheur de son peuple devrait au contraire favoriser son bien-être ?

Pourquoi parler de cas et non de malades et ne pas réaliser que c'est une première d'essayer de cerner le nombre de porteur sain d'un virus (chose folle, nous sommes constamment porteurs sains de mille milliards de virus...) ?

Pourquoi faire des choix d'empêcher les restaurants ou cafés d'ouvrir alors que les restaurants d'entreprises le sont et brassent dans certains cas beaucoup de monde ?

Pourquoi maintenir un couvre-feu, alors que les jours rallongent et que chacun peut commencer à aller marcher, courir, s'aérer, et ainsi soutenir son système immunitaire ?

Pourquoi d'ailleurs ne pas communiquer au niveau de la santé sur l'importance de soutenir son système immunitaire comme certains pays comme l'Inde l'ont fait ?

Pourquoi ne pas baser la politique sanitaire sur des données scientifiques (il y a maintenant une année de recul et plusieurs pôles de santé internationaux en France, au Sénégal, en Inde etc partagent une littérature scientifique fournie) au lieu des modèles prédictifs épidémiologiques qui ont montré leur limite à de maintes reprises.

Enfin pourquoi ne voit-on pas une flambée épidémique dans des pays non soumis au masque ou au confinement ?

Soyons réalistes nous ne sommes pas face une épidémie ayant la létalité de la variole ou d'une fièvre hémorragique comme Ebola. Si c'était le cas nous ne pourrions pas nous entasser dans les transports en commun, toucher les pompes des stations services avec comme seule protection un masque papier dont il est marqué même sur la boite qu'il ne protège pas des infections respiratoires.

En outre, je m'inquiète réellement de l'effet du masque sur les jeunes humains : l'apprentissage de la parole, la reconnaissance psycho relationnelle des émotions (oserais-je rappeler divers travaux bien connus comme ceux entre autres de Tronick, indiquant les réactions de stress chez le nourrisson face à un visage impassible, la difficulté à établir un lien avec un humain adulte et vivre ses émotions, à commencer les babillages préalables au langage...bref une étude parmi tant d'autres sur l'importance du lien émotionnelle par le corps que ce soit en voyant un visage au complet ou par le toucher...).

Enfin, je ne peux que vous inviter à explorer d'autres approches de cette situation, si vous ne l'avez pas encore fait.
http://4j3iuarrdt.preview.infomaniak.website/
https://collectifdesantepediatrique.fr/nos-actions/manifeste/

Monsieur le Député, en vous remerciant de l'attention que vous avez donné à la lecture de cette lettre

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