Témoignage de :

Lettre ouverte aux syndicats enseignants et aux enseignants

29 avril 2021

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Et si notre responsabilité était engagée ?

lundi 12 avril 2021, par Lionel Labosse

Cette lettre ouverte vise à contester le discours de certains syndicats qui en sont encore à demander toujours plus de mesures de protection et une « vaccination » massive des enseignants, et les encourager à se joindre à d’autres syndicats heureusement plus revendicatifs, pour exiger du gouvernement enfin une véritable politique sanitaire. Une politique sanitaire respectueuse des libertés doit d’une part nous permette de faire face dans les années à venir au vieillissement accéléré de notre population avec la réouverture des lits fermés par les mêmes qui aujourd’hui justifient l’état d’urgence par la saturation des hôpitaux dont ils sont responsables, d’autre part ouvre largement la porte aux divers traitements préventifs et précoces qui existent et ont été expérimentés avec succès en France et dans de nombreux pays proches ou lointains (Algérie, Maroc, Égypte, Inde, Sénégal, Argentine…), tout en permettant à ceux qui le souhaitent, et à ceux-là seulement, sous réserve d’un « consentement libre et éclairé » respectueux de la loi et du code de Nuremberg, de se prêter à une expérimentation de « vaccins ». Je recopie ici le premier des dix articles du code de Nuremberg, car il incombe avant tout aux enseignants & aux syndicats de faire connaître & défendre les droits de l’homme :
« Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée. Ce dernier point demande que, avant d’accepter une décision positive par le sujet d’expérience, il lui soit fait connaître : la nature, la durée, et le but de l’expérience ; les méthodes et moyens par lesquels elle sera conduite ; tous les désagréments et risques qui peuvent être raisonnablement envisagés ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui pourraient possiblement advenir du fait de sa participation à l’expérience. L’obligation et la responsabilité d’apprécier la qualité du consentement incombent à chaque personne qui prend l’initiative de, dirige ou travaille à l’expérience. Il s’agit d’une obligation et d’une responsabilité personnelles qui ne peuvent pas être déléguées impunément ».

À l’instar de nombreux partis politiques, les syndicats semblent s’être pris les pieds dans le tapis de la terreur du 1er confinement. Face à la pénurie de masques organisée par Jérôme Salomon entre autres (qui n’a jamais démissionné suite à ses mensonge & tentatives de dissimulation de preuves devant la commission d’enquête du Sénat), les syndicats des transports par exemple, ont considéré comme une victoire l’obtention de masques pour les agents. Mais un an plus tard, alors qu’aucune étude scientifique n’a prouvé l’intérêt du port de ces masques en population générale, et qu’au contraire c’est leur nocivité qui est démontrée (voir cette recension de plusieurs dizaines d’études scientifiques), il est difficile à ces syndicats de revenir sur une « victoire ». Et l’on continuera à voir longtemps cette aberration de conducteurs de bus ou de métro masqués alors qu’ils sont seuls & isolés dans un habitacle hermétiquement clos. L’argument des sommes délirantes gaspillées pour ces masques, ainsi que pour les tests, n’est même pas utilisé pour remplacer ces mesures liberticides & inefficaces par le financement des lits d’hôpitaux sciemment détruits par Castex et toute l’énarchie au pouvoir depuis des années (au gouvernement ou à tous les étages du millefeuille de la santé).

Il me semble que ce sont les syndicats hospitaliers qui ont entamé les premiers un changement de cap, constatant à quel point ils s’étaient fait berner par le Ségur de la santé. Le 11 mars, 26 organisations & associations appellaient à dissoudre l’Ordre des Médecins qu’elles accusent de protéger des professionnels de santé corrompus & maltraitants. Maintenant, des syndicats enseignants se joignent à leurs revendications, ce dont je me réjouis, car on ne peut faire vivre sous cloche toute une population parce que des politiques & certains mandarins de l’AP-HP ont sciemment organisé une pénurie de moyens dans les hôpitaux. Une manifestation contre la fermeture de l’hôpital Bichat a eu lieu. Un certain nombre d’artistes occupent des théâtres depuis plusieurs semaines, et je n’ai pas encore reçu sauf erreur, un message d’un syndicat enseignant solidaire de ces artistes en lutte pour leur survie, alors que la plupart n’ont pas la même sécurité de l’emploi que nous autres enseignants.

Entendre des collègues se vanter en salles des profs d’avoir infligé une punition à un élève qui portait son masque sous le nez m’a écœuré, et comme la majorité des syndicats demandaient de plus en plus de mesures de pseudo-protection, cela confortait ces collègues, et cette rhinocérite me sidérait. L’attitude du SNES notamment me choque, car il n’arrête pas d’appeler à la « vaccination » des enseignants, comme en témoigne cet article, en ne rappelant aucunement le fait qu’il s’agit d’un essai et non d’un vaccin au sens propre, et que comme tout essai, cela comporte des risques impliquant un « consentement libre et éclairé ». Peut-on encore parler de « consentement libre et éclairé » quand on subit des pressions du matin au soir pour nous pousser dans le même sens ? Le « consentement libre et éclairé » ne suppose-t-il pas l’accès à des informations contradictoires et non censurées, enfin le respect du code de Nuremberg, tout simplement.

Oui, certains syndicats et certains d’entre nous enseignants, trop dociles jusque-là parce qu’on nous a culpabilisés & infantilisés, commençons à comprendre que tout cela n’est qu’une mascarade entretenue par le gouvernement & ses médias publics – ou privés mais grassement subventionnés – qui accusent les médias alternatifs de propager des fake news alors que ce sont eux qui sont les pires menteurs. Oui, il n’y a pas de pandémie, il y a juste concomitance des trois faits suivants : arrivée massive des baby-boomers à l’âge où l’on décède ; baisse du nombre de lits d’hôpitaux décidée dans les 15 dernières années par les Castex, Véran, Hirsch, Salomon et toute cette clique crocodilesque de larmoyeurs, que l’on peut qualifier d’« armes de destruction massive de lits d’hôpitaux » ; interdiction dans tous les pays riches de soigner les malades avec campagnes frauduleuses (« Lancetgate », etc.) de disqualification des traitements proposés et d’intimidation des médecins qui les prescrivent. La prétendue pandémie n’existe donc que dans les pays riches, avec un taux de mortalité marginal si on le compare aux précédentes épidémies du XXe siècle tout en tenant compte du vieillissement accéléré de la population.

Une phrase m’interpelle dans un communiqué syndical (SNFOLC) reçu le 8 avril 2021 : « Au lieu de créer des lits de réanimation, de recruter des personnels soignants, d’équiper les hôpitaux, le gouvernement a continué à supprimer des postes et des lits. Il prévoit même de fermer les hôpitaux Bichat et Beaujon à Paris ! Il est maintenant obligé de reconfiner la population car l’hôpital ne dispose toujours pas de lits de réanimation en nombre suffisant pour accueillir les malades puisque 100 000 lits ont été supprimés en 20 ans. »

Non le gouvernement n’est pas « obligé ». Il le fait pour nous interdire de nous réunir, de relever la tête et de nous révolter. Vous savez bien que dans tous les pays où il n’y a pas de confinement cela fonctionne mieux, et que le plus grand épidémiologiste du monde, John Ioannidis, l’a prouvé par son étude publiée le 5 janvier, aussitôt disqualifiée par les prétendus chasseurs de fake news. Vous savez bien que Delfraissy et ses comparses du conseil scientifique ont choisi le Lancet pour publier en catimini & en anglais une lettre dans laquelle ils reconnaissent que le confinement ne sert à rien. Qui dira si le léger surcroît de morts enregistré en 2020 n’est pas dû moins au virus qu’aux mesures de confinement, à la terreur instillée aux personnes âgées, à la privation de soins & de soutien, jusqu’aux visites de leurs proches ? Le syndrome de glissement est un phénomène connu, auquel il faut ajouter l’interdiction de les soigner par des médicaments anodins, jusqu’à la vitamine C et D et le zinc !

Je vous conseille les excellentes vidéos de Décoder l’éco, basées sur des contre-analyses statistiques, ou bien l’étude sur la mortalité tenant compte des classes d’âges pré-publiée par une équipe dirigée par le Pr Toubiana le 26 mars 2021.

Ce gouvernement maltraite sa population et il faut avoir des capacités de résistance pour garder la tête hors de l’eau. Savez-vous combien cette prétendue pandémie a tué de Terriens en 2020 ? Réponse : 1 806 000, ce qui donne une mortalité de 0,023 %. Cette terrible pandémie a massacré un Terrien sur 4319 ! Empêchez les enfants d’apprendre, empêchez tout le monde de danser, d’aller au cinéma, au restaurant, empêchez les 4318 autres de vivre ! Voici un article sur ces statistiques.

J’ai réalisé un corpus pour une synthèse sur les fake news à destination des étudiants en 1re année de BTS pour le cours de Culture générale et expression, corpus basé sur les complots « fer-à-cheval » en 1999 et « armes de destruction massive de Saddam Hussein » en 2003, auxquels ont prêté main forte des journaux comme Le Monde qui jouent actuellement les redresseurs de torts pour le compte du gouvernement et dénoncent les pailles dans les yeux de leurs concurrents pour mieux cacher les poutres criminelles qui souillent à jamais leurs propres yeux. N’est-ce pas le rôle des enseignants, et des syndicats enseignants, au lieu de distiller la soupe gouvernementale, de former & entretenir l’esprit critique ? Peut-on laisser ce gouvernement nous tyranniser de la sorte alors qu’il est patent qu’à tous les niveaux il utilise comme jamais aucun gouvernement français, les techniques de manipulation les plus viles ? Le Figaro a par exemple expliqué la manipulation de l’opinion par le porte parole du gouvernement qui utilise des « influenceurs » d’ailleurs proches du parti présidentiel, en digne successeur de la menteuse professionnelle revendiquée Sibeth N’Diaye.

Enfin, un média mainstream nous apprend que l’une des nombreuses techniques de manipulation utilisées par le gouvernement s’appelle le « nudge » (coup de pouce). Ah bon, le fil à couper le beurre ? Les temps changent, et de même qu’une ou un prostitué se nomme désormais « escort », la bonne vieille propagande se revêt des habits neufs du « nudge ». Mais ces journalistes se rendent-ils compte que c’est par eux que ça passe ?

C’est aussi par les syndicats que passe ce « nudge », pour être politiquement correct. J’ai déjà contacté individuellement certains syndicats pour protester contre leurs appels à « vacciner » massivement les enseignants, quand il n’est pas assorti d’un rappel à la liberté de NE PAS se faire vacciner. On m’a répondu que cela allait de soi. Ah bon ? Lisez plutôt cet article sur les décisions d’un gouvernement encore plus dictatorial que le nôtre, situé heureusement dans une contrée inhospitalière et lointaine. Comme disait le pasteur Martin Niemöller :
« Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste.
Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester. »

Le pouvoir de corruption systémique des laboratoires pharmaceutiques désormais alliés aux entreprises de l’informatique & de l’information a atteint un niveau tel qu’un retour en arrière semble impossible. Mais ne peut-on prêter juste une oreille aux nombreux lanceurs d’alertes sur cette question de la "vaccination" ? Voici par exemple le dernier rapport bimensuel du Général Dominique Delawarde sur Breizh infos. Son analyse critique de la situation des 3 pays les plus « vaccinés » (Israël, Émirats, Chili) vaut le détour, le Chili notamment en plein boom épidémique malgré le « vaccin »… Quand on sait le rôle hautement nuisible pour notre santé du directeur de l’AP-HP Martin Hirsch dans la destruction massive des lits d’hôpitaux, et qu’il a puni un lanceur d’alerte, le Pr Christian Perronne en le privant de sa chefferie de service, on s’étonne que des syndicats censés défendre les droits des professeurs ne se soient pas massivement manifestés pour soutenir ce professeur de médecine sanctionné par un des fossoyeurs de l’hôpital public. Le syndicats ont-ils pour mission de défendre nos droits, ou de filer un coup de main aux gouvernements à nous imposer des obligations contraires aux droits de l’homme ?

Comment se fait-il qu’un principe de précaution a poussé les gouvernants des pays riches à empêcher ou dissuader les médecins de prescrire des médicaments dont les effets secondaires sont connus depuis des dizaines d’années, alors que de nombreux décès de personnes jeunes suite aux injections de « vaccins » expérimentaux ne posent aucun problème aux mêmes gouvernants, et ne les incitent qu’à la fuite en avant vers toujours plus de « vaccination » à toute vitesse, y compris en croisant des injections entre deux « vaccins » expérimentaux différents depuis que les dangers du « vaccin » AstraZeneca ont fini par être avoués par les autorités ? Des enseignants dignes de ce nom peuvent-ils balayer les doutes légitimes de nombreux scientifiques sans liens d’intérêt avec les labos pharmaceutiques au nom de la nouvelle fatwa du « complotisme » ? La science et le débat sont remplacés par une religion stalinienne, y compris dans certaines salles des profs. Comment des gens qui s’érigent en défenseurs des droits peuvent-ils ne pas protester hautement quand les GAFAM censurent à tire-larigot tout lanceur d’alerte qui ne relaie pas la doxa de l’OMS et des autorités de santé ? N’y a-t-il eu aucun scandale de santé publique dans les vingt dernières années, ayant abouti à la condamnation des mêmes laboratoires promoteurs de ces « vaccins » expérimentaux ? Quand un repris de justice lourdement condamné pour extorsion de fonds rouvre un cabinet d’assurance à sa sortie de prison, est-ce que l’on censurerait une personne qui rappellerait sa précédente condamnation ? Pfizer est un multirécidiviste de la fraude en matière de santé, mais c’est Perronne que l’on doit censurer d’urgence, et tous les lanceurs d’alerte ? Et c’est dans la gueule de ce loup que les syndicats veulent nous pousser sans la moindre réticence ? Et si l’on émet un doute on est immédiatement taxé de la fatwa « complotiste » ? La France est-elle vraiment le « pays des droits de l’homme », ou cette réputation est-elle la plus grande fake news de l’histoire de l’humanité ?

Est-ce que vraiment les syndicats enseignants ne pourraient pas, au lieu de relayer la propagande (« nudge » si vous préférez) visant à nous obliger à subir cette « vaccination » dont on n’aura les résultats définitifs que dans deux ou trois ans, plutôt pousser gouvernants & médecins de plateaux télé qui oublient de déclarer leurs liens d’intérêts avec Pfizer, Moderna et consorts, à donner leur chance à l’ivermectine, qui au mieux est inutile mais bien moins dangereuse que le paracétamol ? C’est ce qu’explique le Dr Gérard Maudrux dans un article qui devrait ravir des enseignants : « L’Ivermectine victime des sophismes ». Quand on sait que nos dirigeants ont accordé l’impunité aux laboratoires pharmaceutiques et dégagé la responsabilité des médecins qui injectent des produits sans avoir obtenu le consentement éclairé de leurs patients, y compris à des centenaires dans des Ehpad dont certains sont morts quelques jours après avoir été piqués, qui peut prévoir où cette histoire se finira ? Ne va-t-il pas de soi qu’une fois que les enseignants (volontaires seulement espérons-le) auront été « vaccinés » grâce à l’aide de certains syndicats, l’étape suivante consistera en la « vaccination » des jeunes et des enfants, sans aucune considération des risques potentiels à long terme, avec toujours la pression des mêmes syndicats. Le Conseil d’État et les juridictions nationales semblent hors-jeu, jusqu’à la CEDH dont les liens d’intérêt de plusieurs de ses juges avec des ONG, notamment avec l’Open Society financée par George Soros ont été dénoncés, alors ne restera sans doute que l’imputation de crime contre l’humanité pour tout ce que nous subissons – ou avons fait subir – sans raison en violation flagrante du code de Nuremberg. Qui sait alors si la responsabilité des journalistes, des syndicats & des médecins de plateaux-télé qui ont prêté la main à ce « nudge » sans le moindre nuage de doute, et jusqu’à celle des enseignants qui ont participé avec plus ou moins d’allant à la maltraitance des enfants, ne sera pas pointée par ces tribunaux ?

Voici un extrait du discours d’Aldous Huxley prononcé en 1961 à la California Medical School de San Francisco : « Il y aura dès la prochaine génération une méthode pharmaceutique pour faire aimer aux gens leur propre servitude, et créer une dictature sans larmes, pour ainsi dire en réalisant des camps de concentration sans douleur pour des sociétés entières, de sorte que les gens se verront privés de leurs libertés, mais en ressentiront plutôt du plaisir ». Tandis que je me faisais traiter de « négationniste » par un de mes collègues à qui je tenais les propos du début de cette lettre sur la réalité de cette « pandémie », c’est un de mes étudiants de BTS 1re année qui a conclu sa fiche de lecture sur Le Meilleur des mondes par cette citation.
Quand je pense que la majorité des intellectuels qui ont lu Le Meilleur des mondes, 1984 et Rhinocéros depuis des lustres, sont incapables de comprendre ce qui se passe… alors que le chauffeur de taxi interrogé au début du film Hold-Up utilisait, peut-être sans connaître son nom, le dilemme du tramway pour qualifier la stratégie du gouvernement, je m’interroge sur la qualité de notre « meilleur système éducatif au monde », frère jumeau du « meilleur système de santé au monde », ectoplasmes sans doute aussi crédibles que le ci-devant « pays des droits de l’homme », désormais dictature à la chinoise.
Après Aldous Huxley, revenons à Ionesco : « Hélas, jamais je ne deviendrai rhinocéros, jamais, jamais ! Je ne peux plus changer. Je voudrais bien, je voudrais tellement, mais je ne peux pas. Je ne peux plus me voir. J’ai trop honte ! (Il tourne le dos à la glace.) Comme je suis laid ! Malheur à celui qui veut conserver son originalité ! (Il a un brusque sursaut.) Eh bien tant pis ! Je me défendrai contre tout le monde ! Ma carabine, ma carabine ! (Il se retourne face au mur du fond où sont fixées les têtes des rhinocéros, tout en criant) Contre tout le monde, je me défendrai ! Je suis le dernier homme, je le resterai jusqu’au bout ! Je ne capitule pas ! »

Mais pour ne pas clore cette trop longue lettre sur cette impasse, chers camarades syndicalistes, je préfère conclure en musique sur ce flash mob du 8 avril à la Gare de l’Est à Paris, qui montre que – indépendamment de tout syndicat et de tout parti politique – il reste encore un peuple en France. Pour combien de temps ?

Lionel Labosse, professeur de lettres

- Si vous êtes enseignant et d’accord avec cette lettre, vous pouvez la reprendre et l’envoyer à vos syndicats ou collègues. Si vous êtes parent d’élève, à votre fédération de parents d’élèves ; si vous êtes lycéen ou étudiant, aux syndicats lycéens ou étudiants…

 

Lettre ouverte aux syndicats enseignants et aux enseignants - altersexualite.com

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