Témoignage de :

Libres pensées sur l’humanité

3 octobre 2022

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Depuis quelques mois je publie une newsletter intitulée "Libres Feuilles": (4) Libres Feuilles Numéro 6 | LinkedIn

Ce sont mes réflexions sur la situation actuelle de l'humanité.
Je suis pharmacien de formation, mais après une vingtaine d'années d'exercice, mes idées sur la médecine et la santé ont beaucoup évoluées et se sont éloignées du discours officiel.

01/10/2022 - Libre Feuille Numéro 6
SOMMAIRE
1 – Santé : L'origine des maladies
2 – Évolution : Tout repose sur les microbes
3 – Variole : quel virus ?
4 – Poliomyélite : quel virus ?
5 – Alimentation : le microbiote est omnivore !
6 – Société : A quoi peuvent bien servir les politiques ?

Je vous souhaite une bonne lecture. Qu'elle vous ouvre de nouveaux horizons, c'est tout ce que je souhaite.

1 – Santé : L'origine des maladies.

Il y a des fables que l'on se raconte depuis si longtemps qu'elles sont devenues des vérités indiscutables. Elles constituent le socle inconscient de nos pensées et de nos actions.
Par exemple, il y a la fable qui veut que tout problème peut être résolu par une solution technique. Ainsi, le problème de la maladie sera résolu par l'emploi de médicaments, de vaccins et par la chirurgie . J'affirme que cela est une grave erreur qui nous mène tout droit à la catastrophe. La médecine moderne ne s'attaque qu'aux symptômes et néglige complètement les vraies causes de la mauvaise santé, d'où l'augmentation continue des maladies chroniques.

Nous sommes les créateurs de notre état de santé. Notre corps est composé de milliards de bactéries, virus et champignons. Certaines bactéries sont à l'état libre comme dans l'intestin (le microbiote), d'autres sont à l'intérieur de nos cellules comme l'ont démontré Antoine Béchamp et Jules Tissot. Ce sont ces virus et ces bactéries qui font fonctionner notre corps, qui l'entretiennent et le maintiennent en bonne santé. Pour que les bactéries et les virus fassent leur travail correctement, ils ont besoin d'un bon environnement physique et psychique, d'une bonne alimentation. C'est là que notre responsabilité intervient. Une alimentation saine, variée et équilibrée, la pratique d'exercices physiques, savoir gérer son stress, respirer un air pur, sont les éléments de base pour une bonne santé. Si nous laissons entrer dans notre organisme une quantité invraisemblable de substances toxiques ( résidus de produits phytosanitaires toxiques, additifs dans l'alimentation, produits cosmétiques toxiques, médicaments...), nous fabriquons dans notre corps un milieu morbide pour les bactéries qui vont essayer par tous les moyens de se débarrasser des toxines qui les empoisonnent. C'est alors qu'apparaissent tous les symptômes possibles ( fièvre, glaires, toux, pus, inflammation, diarrhée, vomissements, eczéma, boutons, pustules) provoqués par les bactéries pour assainir l'organisme. Ces divers symptômes nous indiquent que le seuil de tolérance toxémique est dépassé. Faire disparaître ces symptômes à l'aide de médicaments est une ineptie, cela va juste encrasser un peu plus votre organisme et empêcher l'élimination des toxines.
Le seuil de tolérance toxémique est dépassé lorsque l'accumulation des toxines dépassent les capacités d'élimination du corps. Une fois ce seuil dépassé, le corps se met à dysfonctionner, il ne sera plus en capacité d'affronter les différentes sources de stress ( les chocs psychologiques comme l'anxiété, les peurs, la solitude, la perte d'un être cher, le chômage), alors vont apparaître diabète, hypertension, arthrose, cancers, maladies dégénératives.

Si vous tombez malade, surtout, ne vous contentez pas de prendre des médicaments, recherchez les véritables causes de la maladie dans votre mode de vie physique et psychologique. Si vous vous contentez de votre médicament, les symptômes vont disparaître, mais ce sera pour réapparaître sous une autre forme.

2 - Evolution : Tout repose sur les microbes !

Vous le savez tous, il y a eu le Big Bang, il y a 15 milliards d'années. La terre s'est formée il y a 4,5 milliards d'années.
Ramenons ces 4,5 milliards d'années à une année.La terre s'est donc formée le premier janvier. Il faut attendre jusqu'au 26 février pour voir la vie apparaître. Les premiers êtres vivants étaient très rudimentaires : une enveloppe de protéines renfermant un morceau d'ARN ou d'ADN, comme ce que nous appelons actuellement des virus. Ces petites structures, à la limite du vivant, se sont associées, ont échangé des morceaux de code génétique pour aboutir à l'apparition des bactéries.
Dans le numéro 1227 de la revue Science & vie (décembre 2019) figure un article intitulé « Nos ancêtres les virus » où il est dit que nous devons tout aux virus. Ils auraient joué un rôle clé dans la naissance de nos cellules et de leur noyau. Ils pourraient même être à l'origine de notre ADN. Il est question notamment de virus géants, dont le génome peut atteindre le millier de gènes, qui auraient joué un rôle clé dans notre propre histoire évolutive.
A noter qu'on a longtemps pris ces virus géants pour des bactéries. On peut supposer que les virus ancestraux se sont associés pour former des virus géants, puis des bactéries, Les virus seraient donc à l'origine de la vie. La plupart des virus sont encore inconnus.

Ces bactéries se sont multipliées, ont collaboré, se sont différenciées en espèces innombrables. Elles ont tout inventé et ont pu ainsi coloniser toute la planète. Les bactéries, même de nos jours, constituent la forme de vie dominante et contrairement à ce que l'on pense généralement, c'est largement à notre avantage.
Les bactéries s'associent, coopèrent, s'échangent du code génétique même entre espèces différentes. Un système d'organisation décisif apparaît : la cellule eucaryote = qui possède un noyau renfermant le code génétique, contrairement aux bactéries qui sont des cellules procaryotes = sans noyau. D'où vient la cellule eucaryote ? Elle n'est pas apparue comme ça par magie. En fait ce sont des bactéries créatives, innovantes qui ont mis au point un nouveau système d'organisation : plusieurs bactéries se sont associées, ont mis leur code génétique à l'abri dans une structure que nous appelons noyau. Les mitochondries, les centrales énergétiques de nos cellules, sont des bactéries. Les cellules eucaryotes vont à leur tour coopérer, s'assembler, se différencier, s'échanger du code génétique. Les cellules eucaryotes vont donner les cellules végétales et les cellules animales.
Le 3 avril, une étape décisive a été l'apparition de la photosynthèse, une création bactérienne, qui permet d'utiliser la lumière du soleil pour assembler les briques du vivant à partir d'eau et de gaz carbonique (CO2). Ce processus libère de l'oxygène qui deviendra le comburant de la respiration, ce processus inventé par les bactéries, qui permet de tirer profit de l'énergie solaire stockée dans les végétaux.
Le 24-25 septembre apparaissent les premiers organismes multicellulaires. Le 23 novembre, les premiers végétaux apparaissent et se répandent sur la terre. Début décembre, les premières forêts se constituent. La vie animale peut alors se diversifier : le 6 décembre apparaissent les reptiles, le 14 décembre les premiers mammifères, le 25 décembre les premiers primates et enfin à la toute fin de la journée du 31 décembre l'homme fait son apparition.

Les dernières découvertes en ce qui concerne l'évolution, nous amènent à cette conclusion :
Les microbes sont non seulement les éléments constitutifs de la vie, mais habitent et sont indispensables à tout être vivant actuellement sur notre planète Terre.

Toutes les formes de vie, y compris l'homme, sont des organisations microbiennes en évolution.

Quelques références de livres qui vous feront découvrir le monde bactérien qui n'est pas un monde peuplé d'ennemis, bien au contraire :

« Microcosmos » de Lynn Margulis et Dorion Sagan Editions Wildproject
« Jamais seul » de Marc-André Selosse Editions Actes Sud
« Les gènes voyageurs » Eric Bapteste Editions Belin
« Tous entrelacés » Eric Bapteste Editions Belin.

Les microbes sont nos ancêtres et forment le substrat actuel de l'ensemble des êtres vivants sur notre planète. Ils ont su s'adapter, survivre à toutes les extinctions, renaître sous de nouvelles formes, de nouvelles organisations, de nouvelles espèces. Si l'humanité venait à disparaître, ce qui vu la situation actuelle pourrait bien arriver, les microbes sont prêts à nous remplacer par d'autres formes d'organisation.
Les bactéries ont tout inventé : la photosynthèse, la respiration, la production d'énergie par les mitochondries et même le sexe et la reproduction.

Vous connaissez la phrase « ce qui est vrai pour la bactérie est vrai pour l'éléphant ». Cela est vrai au niveau moléculaire et au niveau cellulaire, mais ce qui a de l'intérêt pour l'éléphant se trouve à un niveau d'organisation supérieur que ne connaît pas la bactérie. Mais sans les bactéries, ce niveau supérieur ne peut apparaître puisqu'elles sont les bases qui permettent l'apparition de nouveaux modes d'organisation qui génère la diversité des espèces qui peuplent la Terre. Tout être vivant, quand il meurt, retourne à l'état microbien.

Les microbes sont la source de toute vie. Quand vous prenez un antibiotique, vous détruisez la vie, vous détruisez une partie de vous-même. Antibiotique veut dire contre la vie. L'usage inconsidéré d'antiseptiques, de désinfectants, de détergents, d'antibiotiques tous toxiques et polluants, est une hérésie.
Bien sûr, un minimum d'hygiène est nécessaire, mais ça ne doit pas devenir une obsession, une phobie des microbes. Tous les produits qui éliminent 99,9% des bactéries me font horreur car ils sont des destructeurs de vie.

3 - Variole : quel virus ?

Nous allons parler de variole puisque l'OMS a cru bon de nous alerter sur un risque potentiel de pandémie, risque totalement inexistant. Nous parlerons aussi de la poliomyélite puisqu'un cas est apparu aux États-Unis. Il n'y a pas de raison d'avoir peur.

Dans le précédent numéro de la newsletter, je vous ai démontré que l'épidémie de grippe espagnole s'expliquait très bien sans l'intervention de virus. Voyons ce qu'il en est de la variole.

La variole est une maladie infectieuse aiguë provoquant une forte fièvre et des éruptions qui laissent des cicatrices sur la peau. La variole est causée par un poxvirus.

La variole a été déclarée éradiquée en 1980 grâce à une campagne de l'OMS combinant des campagnes de vaccination massive, dès 1958, avec une stratégie de surveillance et d'endiguement mise en œuvre à partir de 1967.
Cela, c'est ce qu'affirme l'establishment médical. Cela va vous paraître incroyable, mais il y a d'autres versions concernant la variole.

La survenue de maladies comme la variole résulte de plusieurs facteurs tels que des conditions de vie misérables, l'empoisonnement par des substances toxiques ainsi que le stress.

Il faut savoir qu'aux 18 et 19ème siècles,voire au début du 20ème, on utilisait toute une variété de substances toxiques pour soigner les malades. Citons, notamment, l'arsenic, le mercure et l'antimoine. Il est certain que ce type de médications ne pouvaient que conduire à l'exacerbation de la maladie, voire au décès du patient.
Les conditions de vie étaient terribles aux 18 et 19ème siècles. Les installations sanitaires étaient totalement inexistantes. Les habitants tiraient leur eau de puits et de conduites voisines des toilettes. Les conditions de travail étaient exécrables et il n'existait aucune protection concernant l'utilisation de produits toxiques. La variole était particulièrement répandue dans les grandes villes.
Les curés invoquaient le châtiment de Dieu pour expliquer la survenue des épidémies, répandant ainsi la terreur, engendrant un stress mortifère, comme l'ont fait les grands médias pendant la pseudo-épidémie de covid.

La variole, comme toutes les maladies affectant la peau, est une tentative de l'organisme pour se débarrasser des substances toxiques qui l'empêche de fonctionner normalement. Le virus est en fait un éboueur. Malheureusement, beaucoup de personnes présentaient de nombreuses comorbidités ( malnutrition, manque d'hygiène, peur...) et n'avaient plus l'énergie pour s'en sortir.

Un certain nombre de médecins de cette époque étaient conscients du fait que les conditions de vie misérables, le manque d'installations sanitaires et de systèmes d'égouts étaient des facteurs importants à l'apparition de la variole.

En voici deux exemples, extraits du livre « Qu'est-ce qui nous rend réellement malades ? » de Dawn Lester et David Parker :

« Le premier exemple fait référence à la situation de Cleveland dans l'Ohio telle que l'explique le Dr John Hodge qui écrivit en 1902 que :
« C'est au Dr Friedrich en charge du conseil de Santé de Cleveland dans l'Ohio qu'il faut reconnaître le mérite d'avoir donné au monde civilisé l'exemple d'une grande agglomération totalement débarrassée de la variole, et il serait bon de noter que l'un des premiers moyens qu'il a adopté pour produire ce résultat fut l'abolition absolue de la vaccination. »
Le second exemple se rapporte à la ville anglaise de Leicester, lequel est expliqué par Lily Loat, la secrétaire de la National Anti-vaccination League of Great Britain, dans son livre de 1951, intitulé The truth about vaccination and immunisation,
« La ville de Leicester rejeta la vaccination au profit d'installations sanitaires. Son expérience de ces cinquante dernières années rend absurdes les affirmations des pro-vaccinistes. Au moment où la population était on ne peut plus vaccinée, elle souffrait gravement de la variole. A partir du moment où la vaccination se réduisit à un pour cent des enfants qui naissaient, la variole disparut complètement. »

Tous ces faits mettent à mal l'affirmation des autorités médicales qui voudrait que la vaccination soit à l'origine de la disparition de la variole.
Dans toutes les parties du monde où la variole est apparue, on observait des carences nutritionnelles , hygiéniques, sanitaires, des conditions de vie générant un état de stress important. Les mêmes causes donnent les mêmes effets, en tous les endroits, cela donne l'impression d'une épidémie. Partout où ces conditions ont été améliorées, la variole a disparue. Le vaccin n'a été d'aucune utilité. Un vaccin ne peut pas empêcher l'apparition de la maladie puisqu'elle n'est pas due au virus.

Pour en terminer avec la variole, intéressons-nous à la croyance populaire qui veut que les maladies infectieuses aient été responsables d'une quantité considérable de décès parmi les populations autochtones d'Amérique, ces maladies ayant été apportées par les européens.

Voici une description des conditions de vie des autochtones, avant l'arrivée des européens, description due au Pr Stannard dans son livre « Américan Holocaust:The Conquest of the New World » :
« Et tandis que les villes européennes d'alors, et pour des siècles encore, puisaient l'eau qu'elles buvaient dans les rivières fétides et polluées des alentours, l'eau potable de Tenochtitlan provenait de sources situées loin à l'intérieur des terres et était canalisée jusqu'à la ville à travers un immense système d'aqueducs qui stupéfia Cortès et ses hommes – tout autant qu'ils étaient étonnés par la propreté et l'hygiène de la population vêtue de manière colorée et par son extravagante (pour les espagnols) utilisation de savons, déodorants et purificateurs d'haleine. »
Il semble bien que les autochtones étaient en parfaite santé. Ce qui les a tués, ce ne sont pas les germes pathogènes ; ce qui les a tués, ce sont les colons européens. Ces gens, dits civilisés, se sont comportés comme des sauvages : ils ont torturés les natifs pour les obliger à révéler où se trouvait l'or, ils sont responsables de viols et de tueries. Ils ont obligés les peuples indigènes à travailler dans les mines ou dans les plantations dans des conditions inhumaines. Ceux qui refusaient de travailler étaient tués. Ce fut un génocide, voilà la vérité. Les maladies infectieuses n'ont rien à voir dans ce massacre.

4 - Poliomyélite : quel virus ?

La poliomyélite est décrite comme une maladie virale infectieuse qui affecte le système nerveux central, pouvant entraîner une paralysie.
Voici comment, au début du XXème siècle, a été fournie la preuve que la polio est infectieuse.
Les Dr Flexner et Paul Lewis ont utilisé de la moelle épinière broyée d'une victime de la polio. Ils l'ont injecté dans le cerveau d'un singe vivant. Pour prouver que la polio est contagieuse, ils ont prélevé une partie du fluide neuronal du singe, puis l'ont injecté dans le cerveau d'un autre singe. L'opération a été renouvelée sur plusieurs singes. Le fait que chacun des singes développa une paralysie à la suite de l'injection a été proclamé comme la preuve de la nature infectieuse de la polio. On se moque du monde !

Non la polio n'est pas une maladie infectieuse. Elle est causée par diverses substances toxiques. Nous avons vu, plus haut, que le mercure et l'arsenic étaient utilisés comme médication aux 18 et 19ème siècle. Il a été démontré scientifiquement que ces substances peuvent provoquer des paralysies. A cette époque, il était courant que des docteurs, des chimistes, des mineurs... devenaient paralytiques après avoir été exposés à des vapeurs de mercure. D'autres substances comme le plomb, le phosphore, le cyanure et le monoxyde de carbone peuvent produire des paralysies.
Au début du XXème siècle, on constata que des vagues de poliomyélites apparaissaient après la consommation de fruits frais et particulièrement peu de temps après la récolte. Ce sont les pesticides toxiques, comme le DDT, employés pour la culture des fruits qui sont responsables des ces vagues de polio. Le DDT, qui est un organochloré, a été interdit en 1972. Malheureusement, il a été remplacé par des organophosphorés, comme le parathion, qui sont également toxiques pour le système nerveux.

Il faut noter par ailleurs, qu'il a été observé de nombreux cas de paralysie suite à l'injection de vaccins contre la diphtérie et la coqueluche.

Comme pour la grippe espagnole, les épidémies de variole et de poliomyélite peuvent très bien s'expliquer sans l'intervention de virus soi-disant pathogènes.

La présence de virus et de bactéries dans notre corps est tout à fait normale et ne signifie pas qu'ils sont responsables de maladies.

5 - Alimentation : le microbiote est omnivore !

L'être humain est omnivore : il a besoin d'une nourriture variée, animale et végétale. Désolé pour nos amis végétariens mais les végétaux ne sont pas suffisants pour être en bonne santé. C'est notre microbiote intestinal composé de 50 000 milliards de bactéries, virus et champignons, qui nous le dit.
Muriel Derrien, microbiologiste à la Danone Nutricia Research de l'université Paris-Sarclay, co-auteur d'une étude sur l'impact de notre alimentation sur le microbiote :
« Nous avons été surpris ! Alors que la plupart des bactéries se nourrissent des fibres provenant des fruits et légumes, les végétariens affichent en moyenne un microbiote moins diversifié. »
Cette étude a montré que le régime flexitarien est le plus favorable au microbiote intestinal en favorisant une grande quantité et une grande diversité microbiennes.
Le régime végétal favorise une grande quantité de bactéries mais elles sont moins diversifiées.
Le régime occidental, pauvre en fruits et légumes mais riche en produits animaux, est très néfaste au microbiote.
Plusieurs études ont montré le rôle essentiel de la flore intestinale dans notre vie. Elle facilite la digestion, aide à la maturation du système immunitaire, communique avec le cerveau. Un microbiote déséquilibré augmente le risque de développer plusieurs maladies ; obésité, inflammation chronique de l'intestin, diabète de type 2, maladies cardio-vasculaires, dépression.

Le régime flexitarien serait le plus adapté pour la santé du microbiote intestinal, ce qui ne devrait pas nous surprendre puisque l'être humain est omnivore. Les végétaux, riches en fibres alimentaires, sont très favorables au microbiote. La viande, en quantité raisonnable (500 à 700 grammes par semaine) participe à la diversité du microbiote. Par contre, la viande en excès, favorise une flore bactérienne de putréfaction néfaste pour la paroi intestinale.

Trop de viande et pas assez de végétaux est néfaste pour la flore intestinale.
Des végétaux et pas de viande est néfaste à la flore intestinale.

Une étude britannique, publiée dans la revue BMC. Médecine, montre que les femmes ayant une alimentation végétarienne ont un risque de fracture de la hanche 33% plus élevé que celles qui consomment régulièrement de la viande. Ceci serait du à un apport insuffisant de calcium et de protéines.

Pour un bon microbiote et donc pour votre santé, il faut une nourriture variée et équilibrée, avec des fruits et légumes issus de l'agriculture bio et de la viande de qualité (éviter tout ce qui provient de l'élevage intensif qui devrait être interdit).

Enfin, des études ont montré que les aliments ultra-transformés sont absolument à proscrire, ce sont des poisons pour notre microbiote. Ils sont trop gras ou trop sucrés ou trop salés et surtout ils sont bourrés d'additifs nocifs.

Robert Masson dans son livre « Plus jamais d'enfants malades » nous dit ceci :
« Les protéines contenues dans les céréales sont toutes incomplètes ; elles sont incluses dans un contexte de fibres très difficilement extractibles pour l'être humain : le coefficient d'extraction des acides aminés végétaux est extrêmement faible chez l'être humain. D'autre part, il n'existe pas de protéines complètes dans les céréales. Seules les protéines de provenance animale se révèlent adaptées à l'être humain : elles sont complètes et aisément extractibles. »

Tous les gouvernants irresponsables, qu'ils soient de droite ou de gauche, ont laissé se développer l'usage criminel des substances chimiques et médicamenteuses dans les techniques d'élevage et d'agriculture. C'est l'État qui, par son incapacité à établir des règles simples d'une production naturelle et de les faire respecter, a laissé se dégrader la qualité de nos productions animales et végétales.

Le passage progressif à 100% d'agriculture bio est une obligation,non seulement pour la qualité des aliments, mais aussi pour diminuer le CO2 dans l'air.
L'interdiction absolue de l'élevage intensif est une priorité.
L'interdiction des aliments ultra-transformés et de l'utilisation des additifs toxiques obligera l'industrie agro-alimentaire à produire des aliments plus sains.
Aurons-nous un jour, un gouvernement qui aura le courage de proposer ces trois mesures ?

6 - Société : à quoi peuvent bien servir les politiques ?

Dimanche 04/09/2022 : Je regarde une émission où l'invité est le leader d'un parti politique. Cet homme, comme tous les autres hommes ou femmes politiques, pense qu'il peut changer le monde avec ses idées partisanes. Ils sont pathétiques. Le monde de demain, ce n'est pas eux qui le font. Non, ce sont les dirigeants des multinationales.
Il y a belle lurette que les partis politiques n'ont plus aucune utilité. Leurs positions partisanes les aveuglent. Ils sont des parasites de la société, ils ne créent rien, ils vivent aux dépens des citoyens.Le plus grave est qu'ils incitent les individus à se classer dans des catégories : droite, gauche ou les extrêmes. Rien n'est plus dangereux qu'une telle simplification, qui aboutit à des oppositions de type guerres de religion avec leurs anathèmes et leurs excommunications. Les étiquettes ne servent à rien.

Les multinationales mettent sur le marché les innovations technologiques, bonnes ou mauvaises, du moment que ça remplit les caisses. Dans notre monde technologique qui est en train de perdre toute trace de spiritualité, les dirigeants des multinationales sont aux commandes de la planète.Ne voit-on pas un Bill Gates décider de la politique de santé mondiale, un Elon Musk prendre en main la conquête spatiale, les multinationales informatiques nous imposer leur monde numérique. Leur force de frappe est démesurée, la manne financière qu'ils engrangent leur permet tout. Ils s'approprient la plupart des grands médias, leur lobbying impose les décisions politiques, leur propagande, souvent mensongère, est partout.

Il faut bien comprendre que nous sommes arrivés à cette situation ubuesque où quelques milliers de personnes décident de la vie de milliards d'êtres humains.

La bataille politique n'est plus qu'une bataille d'ego. L'homme politique qui arrive au pouvoir, conscient ou inconscient de son impuissance à changer l'avenir de l'humanité, en est réduit, pour se donner l'illusion d'une puissance, à réduire le plus possible la liberté des citoyens, Tous les échelons sont possibles, de la pseudo-démocratie à la tyrannie en passant par tous les autoritarismes possibles. Si cette illusion de puissance ne lui suffit pas, il s'attaquera au pays voisin en lui déclarant la guerre. Ce qu'ont oublié les gouvernants, est que la puissance n'est pas le pouvoir qu'on exerce sur les autres ; la véritable puissance est la puissance créatrice utile pour soi et pour les autres.

Pendant la pseudo-épidémie de covid, les gouvernants ont inventé un nouveau moyen de contrôle des populations : le pass sanitaire rapidement transformé en pass vaccinal. Combien de citoyens ont protesté contre ces pass liberticides ?
Vu le succès de ce nouveau moyen de contrôle, pensez-vous que nos dirigeants vont s'arrêter là. On commence à évoquer un pass énergétique. En Chine, il existe un pass social. Bientôt, il y aura le PASS unique à présenter systématiquement pour pouvoir faire la moindre activité. Est-ce ce monde que nous voulons ?
Il est urgent d'inventer de nouveaux systèmes de gouvernance qui respectent la liberté de tous les citoyens.

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