19 septembre 2021
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Ma rencontre avec le Sars Cov 2… Jusque-là, le COVID restait pour moi un combat intellectuel et scientifique (recherches de sources fiables, comparaisons des données, décryptage de la propagande gouvernementale, analyse des discours, etc.) mais quelque chose finalement d’assez lointain et puis voilà le 13 août 2021, je suis face à lui.
Ma maman 95 ans porteuse de multi pathologies et non pas comorbidités (je déteste ce mot qui contient en lui-même une sorte d’assignation à mourir) dont insuffisance respiratoire, hypertension… Depuis plus de 18 mois nous prenons les précautions nécessaires pour lui éviter une « vilaine rencontre » elle ne sort que pour ses rendez-vous médicaux et elle a peu d’interactions relationnelles mise à part nous qui vivons dans le logement au-dessus du sien.
Elle ne souhaite pas se faire vacciner car bien que « nourrie » à BFMTV , elle sent bien que quelque chose cloche et « qu’ils ne sont pas d’accord entre eux » elle « attend le vaccin Français » ( elle est habituée aux vaccins de la grippe qu’elle fait consciencieusement chaque année, à celui du pneumocoque tous les 5 ans) donc pas anti vax, mais elle croit en la médecine française « la meilleure du monde » ( même si elle est confrontée en permanence à sa dégradation ).
Je ne suis pas anti-vax moi-même, mon carnet de vaccination est rempli et je suis à jour de tous mes vaccins y compris de celui de l’hépatite B (ancienne infirmière), Mais ce « vaccin à ARN» (même si ça fait 10 ans qu’ils travaillent dessus et qu’il sera peut-être un jour l’avenir), ne me donne pas à ce jour toutes les garanties de sécurité qu’ont les vaccins (atténués ou morts) qui ont fait leurs preuves.
De plus je ne souhaite pas participer à cette expérimentation de phase 3 ni sous la contrainte, ni par extorsion (ce qui est fait actuellement) la vaccination pour moi ne doit relever que d’un choix qui plus est éclairé et c’est loin d’être le cas. Par compte je crois dans le soin et la prise en charge précoce des malades. Aussi quand le verdict est tombé pour ma maman, PCR positive au SAR COV 2 (suite à la rencontre avec un membre de la famille pourtant testé négatif) il a fallu prendre des décisions d’autant que son médecin traitant était en congés et son pneumologue aussi, nous avons opté pour un traitement Ivermectine+ azithromicine + vitamine D pendant 5 jours (mon fils et sa femme ont été traités de la même manière et se sont rétablis en 3/ 4 jours) avec une surveillance des constantes et de la saturation en oxygène.
Nous sommes à J + 18 de sa rencontre avec le virus, certes elle est très fatiguée et nécessite notre aide dans les actes de la vie quotidienne, elle tousse encore beaucoup mais c’était déjà le cas avant. J’espère que mon témoignage servira à faire comprendre qu’on ne meurt pas systématiquement du Covid même si l’on est considéré comme personne à risque. Ce qui fait la différence c’est bien la prise en charge précoce des personnes au lieu de les assigner à résidence avec 2 Doliprane.
Je souhaite que les médecins se sentent assez forts pour oser prescrire et soigner au lieu de se laisser déposséder de leur art au profit de l’hôpital qui lui-même est au plus mal. OUI des traitements existent et plus de 2000 médecins soignent leurs patients presque dans la clandestinité pour ne pas être inquiétés par l’ordre des médecins. Il faut sortir de la peur et aborder la maladie avec sérénité et prudence.