Témoignage de :

Nouvelles du Nord de l’Inde

23 juillet 2022

Partager cet article

Share on facebook
Share on linkedin
Share on twitter
Share on email

Je m'appelle Michel T., j’ai 65 ans, je suis ex chef de cuisine (gastronomie), français expatrié en Himalaya depuis 1997 dans le département Himachal Pradesh en Inde du Nord, marié à une himachali avec qui je dirige une ferme.

Si nous disposons de tout le confort via des technologies de pointe, nous ne nous informons pas via les médias mainstream indiens, français, anglais... et n'avons jamais adhéré à aucun réseau social.

Par contre, j'utilise mes compétences informatiques pour découvrir avant que quiconque n'en parle des événements tus par les gouvernements, les médias internationaux, etc.

C'est ainsi que novembre 2019, un message d'un lanceur d'alerte indonésien a attiré mon attention, il disait ceci : " -_Attention à celles et ceux qui prendront connaissance de cet avertissement, Les étrangers fortunés installés dans les plus belles propriétés de nos îles ont vidé leurs comptes en banque locaux, ont rendu les clés des propriétés qu'ils louaient et ont licencié tous les personnels locaux qu'ils employaient. La dernière fois que nous avons perçu ces mouvements de capitaux et de milliardaires précédait une crise financière internationale. Il semblerait que la chose puisse se répéter incessamment sous peu ; nous ne saurions que trop conseiller de créer des stocks de nourriture et d'argent en espèces à toute personne qui prendra mon message au sérieux."_

J'ai prévenu ma mère (âgée de 84 ans) qui réside en France de suivre ces instructions sans poser de questions. Par chance, elle m'a écouté ; quand la crise a débarqué sur son écran de télévision, elle m'a aussitôt téléphoné afin de demander comment j'avais pu savoir avant tout le monde que le corona allait débarquer et que la population au complet serait confinée.

En fait de crise financière, quelle ne fut point ma surprise d'entendre quelques jours plus tard qu'une pandémie de covid était en train de se répandre planétairement. Vu la violence de la transmission, j'étais très inquiet pour l'Inde dont le ratio lit d'hôpital/population est de 1 lit pour 70 000 personnes.

D'autant que télévisions et radios de tous les pays du monde envahissaient les ondes de nouvelles affolantes concernant un virus tueur ; paradoxalement, politiques et scientifiques n'offraient que dialogues incohérents.

 -o-

Je réside dans une vallée parallèle à la vallée KULLU-MANALI qui fait partie des principaux lieux touristiques de l'Inde ; l'équivalent du circuit touristique du Mont Blanc en France. Juste avant que les autorités indiennes ne se résignent à confiner le pays, 6 à 7000 véhicules débarquaient quotidiennement pour déverser des flots de touristes. À elle seule, la station balnéaire de Manali comporte plus de 5000 hôtels, guest house, home résidences et seulement deux petits hôpitaux continuellement bondés.
Je m'attendais à la catastrophe du siècle au vu de ce qui était relaté sur les chaînes d'information. Hé bien pas du tout. Les tests étaient pratiqués à outrance sur la population locale, pratiquement tout le  monde était positif et même si je n'ai pas rencontré de gros malades du Covid, la population s'est laissée confiner sans broncher. Écoles, commerces, banques, hôtels restaurants, bref, tout le monde s'est vu bloqué devant son téléphone portable à attendre des nouvelles plus engageantes.
Malheureusement, les étudiants se virent privés de se rendre en classe pendant onze mois. La majorité le vécurent très mal. Le gouvernement profita de la situation pour injecter double dose d'un produit dont personne ne sut la composition jusqu'à ce jour à toute personne au-dessus de 15 ans.

-o-

Je pourrais remplir un livre de tout ce qui m'a paru louche durant cette crise, mais je préfère ne relater que le plus scandaleux à mes yeux : Parmi mes relations, il est un chirurgien indien qui fut employé par le gouvernement pour pratiquer les tests PCR ; je tiens de cet homme qu'il lui fut imposé d'employer des lots qui ne révélaient que des cas positifs, puis de cesser afin d'user de lots de tests qui ne révélaient que des cas négatifs.
Devant une telle aberration, il va de soi que j'ai mené une enquête auprès des personnels soignants qui furent contraints d'utiliser ces tests. Confirmation dans toutes les villes et les villages de la vallée y compris auprès de personnels qui pratiquèrent ces tests au sein d'établissements scolaires.

-o-

Ma femme, mes enfants et moi-même sommes les seules personnes de la vallée à ne pas être vaccinés. Des représentants politiques locaux ont téléphoné à ma femme pour l'inciter à se rendre dans un centre de vaccination, puis ces gens ont débarqué chez nous avec quelques responsables sanitaires afin de nous inciter à nous faire vacciner. Je leur répondis la vérité, à savoir que j'avais attrapé le Covid lors d'un déplacement sur NewDelhi pour me rendre à l'ambassade de France afin de renouveler mon passeport français sur le point d'expirer.

Pour répondre à leurs questions, je narrais les dates de la contraction, les symptômes, et le traitement administré à la famille au complet (Ivermectine + Azytromicine + Zinc + Vit D). Si ce traitement dura 8 jours, la maladie fut totalement vaincue en 48 heures. Il me fut demandé de rédiger cette déclaration sur papier daté et signé. Je le fis et tout ce beau monde reparti sans plus jamais donner signe de vie jusqu'à ce jour.

Je parcours avec intérêt les nouvelles de Réinfocovid, et c'est pour remercier votre engagement que je témoigne avoir toujours refusé le moindre test PCR ou la moindre injection. Malgré mon âge, je m'en porte mieux que les amis qui ont accepté de se faire double/triple injecter.

Je pourrais allonger la liste de choses impensables dont je fus pourtant témoin. J'arrête là car le peu de personnes à qui je me confis restent incrédules quant à mes propos ; celles et ceux qui me croient sont comme nous : non vaccinés, voire non testés.

Si vous pensez que ce témoignage peut apporter une pierre à l'édifice (anti)complotiste vous avez mon consentement pour le publier partiellement ou dans son intégralité.
Du reste je me tiens à votre entière disposition pour répondre aux questions concernant des points pas très clairs.
Amicalement,
ATTCHIBHATT

Défilement vers le haut