Témoignage de :

On ne peut pas sauver tout le monde

3 juin 2022

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Je fais partie des personnes qui dès le début n'ont pas accepté le discours de propagande sur ce virus.
J'ai toujours refusé d'avoir peur de vivre. Je fais donc partie des résistants qui refusent d'écouter les merdias, Je n'ai plus de télévision depuis 20 ans et depuis 2 ans, je n'écoute plus la radio afin de ne pas être pollué par leurs mensonges. La première année, j'ai regardé le comportement des gens qui
m'entouraient : famille, amis, collègues, les personnes dans les magasins et ce que j'ai vu était désespérant. Je pensais que la population française était plus maligne, plus astucieuse, plus libre, plus gauloise, mais non. Je suis passée par plusieurs phases, tenter de discuter et de comprendre pourquoi
ils gobaient les mensonges et ne se confrontaient pas à la réalité : pas de mort en masse ! J'ai tenté d'apporter ma vision de la réalité et là, par chance, 2 de mes proches ont entendu et ont vu les mensonges. Mais tous les autres ont suivi la masse et ont pris le pik-pik car aujourd'hui nous sommes
entrés dans un monde où nous ne pouvons plus parler sinon on est censuré. Alors, j'étais fâché contre mes proches qui ont cédé à la manipulation, à la pression médiatique, qui ont refusé de résister sous prétexte de pouvoir vivre "normalement" : voyager, aller au resto, au cinéma. J'ai même un ami qui me plaint de ne pas avoir cette liberté, il ne comprend pas que ma liberté ce n'est pas "ça", consommer !
Ma liberté, c'est de pouvoir dire des mots comme injections expérimentales, effets secondaires, virus non mortel pour les jeunes sans être censuré ou accusé de complotisme. Ma liberté, c'est de pouvoir embrasser les proches, ne pas être bâillonné, ne pas être injecté. Alors, après tout ce temps, je ne lutte plus, j'ai entendu quelqu'un dire que si le chemin est trop difficile, c'est peut-être que ce n'est pas le bon chemin. J'ai aussi un proche qui aime dire "laisse faire Darwin", sous entendu "laisse la nature faire les choses sans résistance". Et pour être franc, je crois qu'il faut reconnaitre quand on est impuissant, et là, je suis impuissant, je ne peux pas forcer les gens à ouvrir les yeux, à entendre, à choisir la voie qui me semble être la bonne. Alors oui, je vais laisser les gens choisir. Et depuis que j'ai accepté cette vérité : on ne peut pas sauver tout le monde, je me sens en paix avec moi-même, je ne culpabilise pas de voir des proches qui se sont fait injecter et qui risquent maintenant de souffrir d'effets secondaires. Par le passé, je n'étais pas concerné si quelqu'un prenait le vaccin contre la grippe, ou autre traitement et en fait rien à changer, je n'ai pas à m'impliquer sur cet aspect. Ce qui a changé, c'est que le gouvernement veut obliger toute la population à se faire injecter et c'est ça, le seul point grave, Nous n'avons bientôt plus le contrôle de notre santé. Alors j'ai envie de dire sauve qui peut, que chacun se prenne en charge et trouve des solutions pour échapper au pire.

Anne

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