Témoignage de :

Premiers Symptômes

5 juillet 2021

Partager cet article

Share on facebook
Share on linkedin
Share on twitter
Share on email

Ça y est. Les premiers signes d’une maladie induite par la pandémie et les campagnes de terreur qui l’accompagnent commencent à se faire sentir. Cette maladie, hautement contagieuse, s’appelle DICA 21 (discrimination insidieuse citoyenne aigüe). Il n’est pas ici question du pass sanitaire, mais de son corolaire populaire aussi grave, voire plus. Depuis quelques semaines, dans notre entourage sportif, amical, parmi nos proches : il ne fait pas bon être non vacciné ! Nous ne jugeons pas, nous ne détenons aucune vérité. Nous agissons et pensons juste différemment avec respect et lucidité. Crime suprême … Regards réprobateurs et remarques assassines, distance physique ostensiblement exagérée, insinuations, reproches et leçons de morale agressives, refus du dialogue, jugements définitifs, invectives, rejet. Jusqu’à émettre des remarques sur notre odeur !

Pendant que des gens (y compris dans notre entourage) meurent des suites des vaccins dans l’indifférence totale et le silence le plus assourdissant. II ne faudrait pas troubler le légendaire « Pas de vague » de nos dirigeants et la très lucrative campagne des grands labos, n’est-ce pas ? Après avoir subi comme tout le monde les affres des confinements et leur cohorte de questions, de mensonges et de solitude, voici venir la double peine, la pression du sujet unique, l’inquisition permanente du « t’es vacciné, toi ? ». Sujet omniprésent, réponse positive obligatoire …

Pour nous, les non vaccinés, le monde tourne au vinaigre. Répudiés, nos qualités et nos défauts, tout ce qui faisait de nous des amis appréciés. Oubliés, notre présence et notre soutien, tous les partages de la vie. Balayées d’un revers de main nos Libertés fondamentales, bases des Droits de l’Homme et de la vie en Société, piliers de notre belle Démocratie : Liberté d’expression et d’opinion, liberté de disposer de soi et son corps, secret médical. Fi des lois qui garantissent ces libertés.

Pour beaucoup trop de ceux qui, nous le croyions encore il y a quelques semaines, étaient des amis et des proches, nous ne sommes plus rien d’autre que des choses dangereuses, de "mauvais citoyens irresponsables" (je cite), des criminels à fuir, responsables de la pandémie et de l’hypothétique future quatrième vague. Si elle a lieu, nous devrons nous attendre au pire … Nous qui ne sommes ni porteurs ni malades, devons maintenant subir une ostracisation assumée et décomplexée … Les masques tombent, dans tous les sens du terme. Ce ne sont pas des dirigeants qui agissent de la sorte, mais de bons Français ordinaires et bien pensants.

Et maintenant ? Serons-nous vaccinés de force (purifiés ?), sous la menace d’hommes en armes, parce que le quidam et le politique ne sont pas vaccinés contre la lâcheté? Devrons-nous nous résoudre, comme l’a suggéré un député français, à coudre par obligation sur notre poitrine un signe distinctif afin que les honnêtes citoyens vaccinés puissent nous éviter, et pourquoi pas nous agresser dans la rue (à bonne distance, bien sûr, au fusil à lunette peut-être) ? A en croire ce que nous entendons, beaucoup de « bons citoyens » accepteraient de bon gré cette ignominie, vestige d’une époque encore proche où une partie de la population allemande et européenne avait été déclarée nuisible à l’intérêt commun par une bande de dégénérés, avec l’assentiment de presque tout un peuple, et les suites abominables que l’on connaît …

La France des Collabos est de retour ? Devons nous nous préparer à être exclus du monde professionnel, sportif, culturel, bref à être mis au banc de la société et isolés de force ? Devons nous déjà boucler nos valises, en vue de notre prochain départ vers des camps, dont la mise en œuvre avait germé dans l’esprit d’un politicien canadien l’année dernière ?... Et ensuite ? … Aurez-vous assez de combustible ? … Où va notre Pays, notre Démocratie, notre Civilisation, si des gens ordinaires adoptent de tels comportements, alors que la solidarité devrait être notre force face à ceux qui effacent peu à peu nos libertés et nos vies ? Car c’est comme cela que tout commence … Un mot après l’autre, un silence complice, un dos tourné, jusqu’au chaos.

Ceci est un cri ... De colère, de si profonde tristesse, d’alerte … Mais nous ne cèderons ni à la pression, ni aux menaces, ni à la peur. Que ceux qui veulent nous rayer de la liste de leurs amis le fassent maintenant, puisque ce mot a, tout comme nous semble t’il, perdu pour eux tout son sens et toute sa valeur. Vous êtes prévenus : ce sera irréversible. Criminels, nuisibles, pas vaccinés, mais pas cons ! Mes mots sont durs, mais ouvrez les yeux, rendez-vous compte de ce qui est en train de se passer … Il n’est pas encore tout à fait trop tard …

Défilement vers le haut