Témoignage de :

Ras la seringue

23 septembre 2021

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Un grand merci à Louis Fouché qui est notre lumière à tous dans la nuit, notre espoir d'une vie meilleure.

Je suis infirmière libérale (20 ans à l'hôpital ) depuis 10 ans et je ne peux plus exercer car je refuse l'injection.

Hier applaudie, aujourd'hui bannie.

J'ai quitté mes patients en larmes car j'ai tissé de très beaux liens avec eux et je leur suis très attachée. Pour moi, ce qui fait la beauté de mon métier c'est l'humanité qu'on y met au delà de la technicité des soins que je leur prodigue.

J'ai beaucoup souffert d'avoir à porter le masque car je les privais de mon sourire et je connais son importance, car ces personnes vivent seules le plus souvent.

Beaucoup d'infirmières ont accepté l'injection pour pouvoir continuer à travailler, d'autres par idéologie.

Mais personnellement, je ne peux me résoudre à cette injonction car je la trouve non fondée.

 

J'ai respecté les gestes barrières et le port du masque et je n'ai mis aucun de mes patients en danger. Chacun doit avoir le choix de décider de ce qui est bon ou pas pour lui en toute connaissance de cause.

 

Dans cette société où l'individualisme règne, nous n'avons pas su nous unir pour nous opposer à cette "vaccination obligatoire". Aujourd'hui nous sommes une minorité à résister mais je suis heureuse d'en faire partie. Le système veut faire des infirmières comme des médecins des robots qui appliquent des protocoles sans réfléchir ! C'est déjà le cas depuis de nombreuses années dans les hôpitaux, d'où les burn out et les suicides.

 

C'est la déshumanisation des soins, les labos règnent en maitres, l'argent est roi : c'est la nouvelle médecine. J'ai eu la chance d'exercer en libéral au plus près des patients pendant 10 belles années qui m'ont beaucoup apportées humainement.

J'aimerais que la médecine (art de soigner) de demain soit celle de la prévention des maladies mais aussi celle de l'écoute, d'une relation VRAIE entre soignant et soigné.

 

J'ai cet espoir dans mon cœur.

 

Caroline

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