Témoignage de :

Réponse à ma Députée LREM

6 août 2021

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Chère Madame la Députée,

Je vous remercie d’avoir pris le temps de me répondre.

Malheureusement, je suis en total désaccord avec vos propos, dont le plus dangereux, inadmissible et dévoyé me semble être celui-ci : “L’obligation vaccinale pour une catégorie de la population, ou bien pour l’ensemble des Français d'ailleurs, me semble compatible avec l’article 4 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789 qui stipule que : « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui. Ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi ».”

Je suis désolé pour vous, mais la mise en exergue de ce principe constitutif de notre rapport démocratique et républicain à la liberté dans le cas de l’obligation d’un acte d’injection de produit pharmacologique industriel produit par des organismes commerciaux anonymes et privés à but lucratif et, qui plus est à ce jour, d’intérêts étrangers, dans le cadre ici et maintenant de cette épidémie sur laquelle l’histoire n’a pas de recul, sinon celui journalistique des médias, me consterne.

Le Conseil constitutionnel vous l’expliquera en droit.

Sinon, je le crains, ce sera un nouveau souffle de 1789 qui, tel une piqûre de rappel, soulèvera le Peuple afin de bien faire comprendre à notre Président que la liberté de ses concitoyens est guidée par d’autres principes et nourrie par d’autres aspirations.

A en juger par ce mouvement croissant, massif et inédit (au cœur de l’été!..) ainsi que par la confirmation journalière de la réalité contestable voire délétère de cette proposition thérapeutique (injection Arn messager), tant par son efficacité que par ses effets secondaires allant jusqu’à la mort de personnes qui n’auraient jamais été inquiétées par la maladie dont elle est censée prémunir, et après ce que l’on nous a déjà fait subir depuis 1 an 1/2, l’avenir ne saurait être à la montée en grade de la coercition.

Le roi est nu.

Et s’il s’illusionne, avec tout le respect que je vous dois, je ne revoterai ni pour lui, ni pour vous.

Veuillez recevoir, Madame la Députée, l’expression de mes graves et sincères salutations.

S.d.B.

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