Témoignage de :

« SALE ANTIVAX COMPLOTISTE » Mais que se passe-t-il dans la tête d’un non vacciné ? (Par un non vacciné)

16 janvier 2022

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Message d’un citoyen Français modéré mais exaspéré, à faire circuler auprès de vos connaissances non-vaccinées et vaccinées.

 

« SALE ANTIVAX COMPLOTISTE »

Mais que se passe-t-il dans la tête d’un non vacciné ? (Par un non vacciné)

 

Le 30/12/2021

 

Ce message s’adresse à mes concitoyens et, dans mes rêves les plus fous, à nos dirigeants français et européens.

 

CELUI QUI S’ADRESSE À VOUS

 

Je suis un homme de 41 ans, marié, père de 2 enfants, cadre dans l’industrie et diplômé d’un 3ème cycle de l’enseignement supérieur (pas tout à fait dans le profil type « antivax » décrit par les médias). Le choix de ne pas révéler mon identité est fondé sur une volonté de rester dans l’anonymat, aucunement par défaut d’assumer mes choix et opinions. Je respecte toutes les règles civiles qui s’imposent à moi, j’admets que la plupart de celles-ci sont nées du bon sens et nécessaires à la vie en communauté. J’ai reçu tous les vaccins obligatoires, mes enfants aussi, et plus encore ; notamment, nous avons été vaccinés contre la grippe chaque année durant plusieurs années, l’un de mes enfants présentant une fragilité particulière durant les premières années de sa vie. Je ne suis donc pas à proprement parler contre les vaccins. Pourtant, depuis quelques mois, je suis rangé de manière raccourcie dans la catégorie des « antivax complotistes » ; en effet, j’ai tout simplement fait le choix de ne pas me faire vacciner contre la Covid-19, pour l’heure et dans l’état actuel des choses.

 

Devenant un choix difficile à assumer, je me risque par ce qui suit à vous le faire comprendre. Je personnifierai mes propos, non par égocentrisme mais pour n’engager que moi.

 

 

LE VACCIN COVID À ARN MESSAGER

 

Evidemment je n’en suis pas un expert, mais ceci n’enlève en rien le droit de se documenter pour se forger un avis, surtout lorsqu’il s’agit de sujets avec un impact potentiel sur son intégrité physique.

 

La définition généralement admise par le grand public (et par les dictionnaires de langue française) pour le terme de vaccin est une substance inoculée incluant un microbe ou un élément de ce microbe rendu inoffensif, qui va entrainer notre système immunitaire à le repérer et à l’éliminer. Dès lors, les vaccins tels qu’à virus inactivé et à protéines recombinantes entrent bien dans cette définition. La technologie de l’ARN messager a cela de particulier qu’elle va faire produire la protéine entourant le virus par nos cellules elles-mêmes, en lui faisant parvenir le « code ». Cette technologie est explorée depuis de nombreuses années, notamment en médecine vétérinaire et en particulier pour les animaux d’élevage, mais son application pour un vaccin à destination de l’humain à (très) grande échelle est inédite. D’autant plus qu’il a très vite supplanté les autres propositions de vaccins en Europe et s’est imposé en France comme le seul choix.

Distribué et administré alors qu’en phase expérimentale, à titre dérogatoire, on ne peut aujourd’hui pas prétendre en connaitre tous les effets à long terme. Il m’est donc très vite apparu comme une alternative acceptable pour les personnes dites « à risque » face au coronavirus, la balance avantages/risques pesant assez naturellement vers la vaccination.

 

 

L’HEURE DU CHOIX

 

De mon point de vue, je le concède naturellement prudent, il m’a semblé que proposer ce nouveau mode de vaccination à toute la population était un choix audacieux. Des candidats vaccins à protéines recombinante (technologie maîtrisée et surtout offrant un certain recul) étant en cours de développement, j’ai alors fait le choix de les attendre. D’autant plus que ma fille atteignant l’âge de 12 ans fin 2021 et devant donc être concernée, je ne pouvais m’empêcher de craindre des effets à très long terme, ceux précisément qui ne peuvent être maîtrisés à l’heure actuelle.

 

On peut me rétorquer que nos dirigeants ont relayé l’avis d’un conseil scientifique trié sur le volet, qu’ils estiment qu’il n’y a pas de risque, cela ne me suffit pas. L’humanité reste fidèle à elle-même et si j’avance le cas de la contamination radioactive en France après l’incident de Tchernobyl en 1986, malgré des discours officiels très rassurants et niant l’évidence, vous savez comme moi que ce n’est pas le seul exemple amenant à rester prudent. Ce raisonnement est lié à une capitalisation de l’expérience, pas à des idées complotistes.

 

Les vaccins « classiques » ont tardé à venir, ils ne sont toujours pas proposés aujourd’hui… Je ne suis toujours pas vacciné.

 

 

UN CHOIX DIFFICILE…

 

Il convient de se rendre compte de ce que ça implique ; refuser le vaccin contre la Covid aujourd’hui revient à accepter d’être relégué au rang de citoyen de seconde zone ; restrictions d’accès aux lieux de rencontre, bars, cafés restaurant, lieux culturels, sports collectifs, certains modes de transport en commun… Expliquer à ses enfants qu’elles ne peuvent plus pratiquer la danse ou que l’on ne peut même plus se rendre à la bibliothèque, lieu qu’elles affectionnent particulièrement, n’est pas chose facile. Ce n’est pas un simple prétendu esprit contestataire qui mène à cela.

 

Sans parler des propos insultants à l’égard de ceux qui ont fait le même choix que moi, qualifiés d’« idiots » ou similaires par les médias et d’« irresponsables » par nos représentants politiques, j’y reviendrai. …

 

 

UN CHOIX QUI SE JUSTIFIE…

 

Tout d’abord, le vaccin n’étant pas obligatoire en France, il est jusqu’à preuve du contraire soumis au choix de chacun. Pour aller plus loin, s’agissant d’un produit médical en phase d’expérimentation, le consentement volontaire prévu par le premier des dix principes du Code de Nuremberg est indiscutable. Je n’entends pas maintenir que j’ai absolument raison de faire preuve de réserve, peut-être que le temps me dira que ce n’était pas nécessaire, mais j’entends que l’on respecte mon choix sur la base de ce fondement. Protéger les autres, en particulier les personnes fragiles, était un argument à la vaccination pour lequel j’étais sensible et qui me rendait impatient d’avoir accès à un vaccin « classique ». Cet argument s’est étiolé avec le temps ; il s’est avéré que, si les vaccins contre la Covid-19 utilisés en France sont bel et bien efficaces contre le développement de formes graves, ils ne le sont pas contre la transmission du virus. Dès lors, le choix de cette vaccination s’impose comme un choix pour se protéger soi-même plutôt que pour protéger les autres : c’est un choix purement personnel.

 

Enfin, sans parler des potentiels effets à long terme, il y a les effets secondaires à court terme dont on entend si peu parler. Je l’ai constaté par mon entourage qui a été concerné, il est difficile de les faire reconnaitre par le corps médical donc peu sont déclarés. Pourtant, on peut constater sur le site VigiAcces.org (site anglophone de recensement des effets secondaires à l’échelle mondiale collaborant avec l’OMS) que plus de 2.8 millions d’effets secondaire ont été recensés sur la seule année 2021 suite aux vaccins contre le Covid 19 (taper Covid-19 vaccine). Pour comparaison, on ne compte que moins de 280 000 effets secondaires après injection du vaccin contre la grippe (taper Influenza vaccine). Vous me rétorquerez que peu de vaccination auront été aussi massives qu’en 2021 pour la Covid 19. Je vous rétorquerai alors que les près de 280 000 effets secondaires du vaccin contre la grippe sont remontés sur 43 ans (depuis 1968), tandis que les plus de 2.8 millions du vaccin Covid-19 sont sur une seule année. Soit un ratio de 1 à 430. Voilà une comparaison qui est venu donner de la substance à mes réserves. Cependant, je l’admets, l’argument de la surpopulation des non-vaccinés parmi les personnes hospitalisées s’est imposé et m’a perturbé, j’y reviendrai. …

 

 

MAIS UN CHOIX PEU RESPECTÉ

 

Malgré cela, ce choix personnel n’est pas respecté car, selon le code de Nuremberg, la personne participant à une expérimentation (c’est le cas lorsque l’on se fait injecter une substance en phase expérimentale) doit être libre de décider, entre autres, sans contrainte ni coercition. Or priver d’accès une personne qui refuse l’injection à un ensemble de services et de composantes de la vie sociale ouverts aux autres, n’est-ce pas au bas mot une contrainte ?

 

La population de notre pays est influencée par des médias qui tiennent des propos inacceptables en nous faisant passer sciemment pour des idiots sous-produits de la société. Parmi les propos entendus ; il faudrait nous injecter les vaccins de force, le non-accès aux soins des personnes non-vaccinées pourrait être une sélection naturelle par l’élimination des idiots, etc. Tout simplement grave et inacceptable.

 

 

LE CHOIX DU PLUS GRAND NOMBRE

 

Je suis loin d’être le seul à ne pas avoir une confiance absolue dans les vaccins à ARN messager. Il fut même question d’une réticence assez massive à l’annonce de leur arrivée, mais de nombreuses personnes ont cédé très rapidement pour pouvoir reprendre au plus vite une vie normale après de multiples confinements et couvre-feu. D’autres ont dû subir le coup de pression magistralement bien placé du 12 juillet 2021 et ont réagi au plus vite pour éviter à tout prix que leurs vacances ne soient perturbées par une absence de passe sanitaire, lorsque c’était encore possible. Bref, un certain nombre de personnes se sont vaccinées plutôt par contrainte que par intérêt médical ou conviction citoyenne. J’ai été jusqu’à entendre des parents dire qu’ils vaccineraient leur enfant de plus de 12 ans à contre-cœur, pour éviter qu’ils ne soient perturbés dans leurs activités de loisirs ; je dois avouer m’être interrogé quant à la hiérarchisation des priorités.

 

Mais je ne porte pas de jugement sur ces choix, tout comme j’attends qu’on n’en porte pas sur les miens. D’ailleurs un ami proche, vacciné Covid, avec qui nous pouvons avoir des discussions ouvertes sur le sujet, m’a dit mal accepter que certains non vaccinés comparent son choix à un acte moutonnier. Je lui ai répondu que je le comprenais, je pense que chacun a fait un choix en connaissance de cause en fonction de son mode de pensée, de ses convictions et de ses priorités.

 

 

LA FORCE DES MÉDIAS

 

Ou la force néfaste de certains médias. Monocordes et dans un discours martelé, ne laissant aucune place aux idées divergentes d’une pensée devenue unique, donc aucune place à la liberté d’expression. Sur les grandes chaines d’information sur lesquels les sujets autour du Covid tournent en boucle depuis bientôt deux ans, qu’en est-il de « talks » avec 5 personnes partageant toutes les mêmes idées, et surtout toujours ces mêmes idées, ceci durant plusieurs heures ? Reconnaissons à ces médias la décence de ne pas appeler ça un débat ! Qu’en est-il de l’affolement puis du maintien de la peur vis-à-vis de ce virus dont elles ont été les artisans, toujours par la technique de la mise en boucle et du sensationnalisme ? Qu’en est-il de la participation au clivage de deux franges de la société, bien que l’une soit largement minoritaire ? J’ai assisté à des propos qui seraient qualifiables d’incitation à la haine envers une minorité, vous aussi sans doute.

 

De quoi convertir aux idées qui y sont véhiculées ceux qui y restent accrochés, et les rendre totalement incapables de s’opposer. Qui ose s’opposer à la majorité ? Très peu de personnes.

 

 

LES ARTISANS DU CLIVAGE

 

Ce sont d’abord nos représentants politiques, par la teneur de leur discours ; quand notre président de la République, Emmanuel MACRON, dans son discours du 12 juillet, évoque le civisme des personnes vaccinées, opposant ainsi le manque de civisme des non vaccinés, il s’agit d’une déclaration lourde de sens. La pression que j’évoquai précédemment dans le cadre du Code de Nuremberg, vous la percevez ? Sans parler des nombreux propos plus rabaissants que moralisateurs du Premier Ministre, Jean CASTEX, et du ministre des Solidarités et de la Santé, Olivier VERAN.

 

Je ne me réappesantirai pas sur les médias qui ont ainsi carte blanche et bénédiction de nos gouvernants pour tenir les propos évoqués précédemment.

 

 

ANALOGIES À L’HISTOIRE

 

Il est arrivé que « nous » nous risquions à des analogies à l’histoire sur la stigmatisation et la mise à l’écart d’une partie d’un peuple. Tout dessin serait superflu. Vous pouvez juger cela, ça fait partie de la liberté d’expression et du droit à réprouver que je m’attache à défendre. En revanche, dites-vous que cette analogie est un recours, une façon (peut-être raccourcie) de lancer un cri d’alarme. Chacun se doit de l’entendre.

 

A propos de ces analogies, elles sont décriées, parfois par les mêmes personnes qui tiennent les propos offusquants, déplacés et sans fondement à l’égard des non vaccinés (évoqué précédemment). Certaines personnalités politiques sont allées jusqu’à menacer de porter plainte. Soit. Si je rentrai dans ce jeu, j’inviterai les personnes qui ont fait le même choix que moi à porter plainte devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme pour incitation à la haine, pressions sur le consentement à l’injection d’une substance expérimentale, ségrégation et discriminations… Mais je ne suis pas comme ça… LA

 

 

SURCHARGE HOSPITALIÈRE

 

Je l’ai écrit précédemment en évoquant mes choix, la surcharge des hôpitaux par les patients Covid non vaccinés évoqués par les pouvoir publics est sans doute le point qui m’a le plus perturbé et mis à mal mes convictions. Cependant, je ne pense pas être dans une population à risque par mon âge et ma forme physique, mais j’avoue pouvoir me tromper sur ce point. En revanche ceci devient une certitude dans le cas de mes enfants pour lesquels la balance bénéfice/risque plaide sans conteste pour une abstention à recourir aux vaccins actuellement proposés contre la Covid-19.

 

Autre point ayant emporté ma décision : les réductions budgétaires et les nombreuses fermetures de lits au sein des hôpitaux publics, sans inversion de la tendance durant ces deux dernières années de Covid. La situation de tension hospitalière est bien le fait de décisions étatiques. Mais ne cherche-t-on pas à faire porter le chapeau à la population non vaccinée, ainsi utilisée comme bouc émissaire ?

 

Qui met le système hospitalier à genou quand on décide de suspendre des contrats de travail de personnels soignants ? Ces mêmes personnels soignants qu’il fallait applaudir aux balcons quelques mois auparavant. A ce propos dois-je à nouveau insister sur le vice de consentement en lien avec le Code de Nuremberg tel qu’évoqué précédemment ?

 

Enfin, il ne me semble pas que ce soient des gens comme moi qui aient fait le choix de ne pas soigner précocement les malades atteints de la Covid-19, avant qu’ils ne puissent basculer dans une forme grave nécessitant une hospitalisation. Sur ce sujet, je pense qu’en écartant systématiquement des hypothèses de traitement médicamenteux émises par des scientifiques hautement qualifiés, nos autorités n’ont pas fait preuve d’une grande volonté de soigner la maladie. Des médicaments largement diffusés sont d’ailleurs subitement devenus très dangereux et inaccessibles, sans que l’on puisse avoir l’impression que les pistes évoquées concernant leur utilisation soient réellement explorées. Bien que non compétent pour avoir un quelconque avis sur des décisions de santé publique, il ne m’en est pas moins autorisé de me forger une opinion en la matière, en tout état de cause pas moins que des médias qui ont largement contribué au travail de sape d’hypothèses, de recherches et de scientifiques qui les ont portées.

 

 

A PROPOS DU COMPLOTISME

 

Le complotisme dans ce qu’il a de plus extrême existe bien, il n’est pas question que je le nie. Des théories parfois très élaborées, jusqu’au loufoque sont imaginées et partagées. En revanche, en quoi ce phénomène semble si intimement lié actuellement avec le simple fait de refuser un vaccin particulier ? Je crois que la dérive actuelle consiste à catégoriser comme complotiste toute personne qui émet une idée divergente de la majorité et/ou des autorités, voire qui ne fait que soulever des questions simples ou qui peuvent s’avérer gênantes.

 

Si le complotisme et les fake news peuvent s’avérer être des dangers pour les démocraties, la qualification de complotisme par raccourci l’est tout autant car c’est un pas de géant vers la pensée unique.

 

 

DES QUESTIONS, RIEN QUE DES QUESTIONS

 

Sur la vaccination contre la Covid 19 :

  • Pourquoi avoir fait le choix de la vaccination de masse plutôt qu’une stratégie de vaccination ciblée vers les personnes à risques évidents de formes graves ?
  • La stratégie de vaccination, manifestement insuffisante, sera-t-elle doublée d’une stratégie de soin ? Va-t-on enfin sérieusement explorer les pistes émises pour soigner précocement la maladie ? -
  • Est-ce que nos dirigeants ont fait un choix délibéré du tout ARN messager au détriment des vaccins à protéines recombinantes et à virus inactivé ? Si oui, pour quelles raisons ?
  • Actuellement une 3ème dose, on parle déjà d’une 4ème dose possible dans les 3 mois qui suivent. Est-ce normal pour un vaccin ? Pourquoi accepter autant de doses d’un vaccin dont les essais cliniques de phase 3 ne sont pas aboutis ? -
  • Pourquoi parle-t-on si peu des effets secondaires ? -
  • Pourquoi une telle hypocrisie sur le caractère non obligatoire du vaccin ? Un vaccin non obligatoire, mais pour lequel on veut obtenir une couverture de près de 100% de la population par la contrainte, reste-t-il un vaccin facultatif ? -
  • Avec une couverture vaccinale si importante, un variant Omicron qui s’annonce a priori plus contagieux mais moins virulent ; peut-on espérer une immunité collective et stopper la pression, pour ne pas dire le harcèlement, sur les non vaccinés ?

 

Sur le passe sanitaire / passe vaccinal :

- Passe sanitaire puis passe vaccinal : ces dispositifs disparaitront-ils bien à la fin de la pandémie ?

- Dans la négative, veut-on vraiment d’une société ultrasécuritaire et ultra contrôlée?

- N’avons-nous pas déjà fait sauter des verrous éthiques ? Ne devons-nous pas agir dans le sens de la réversibilité afin de ne pas accepter ce qui nous semblait, il y a peu, inacceptable ? Ce ne sont rien que des questions. Si le seul fait de questionner me range dans la case complotiste, alors la démocratie est foutue.

 

Le 5/01/2022

 

UN ÉLÉMENT DE RÉPONSE

 

Un élément de réponse nous a été apporté par Monsieur le Président de la République Française, Emmanuel MACRON, qui a déclaré : « les non vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Donc on va continuer à le faire ». Par ailleurs, en qualifiant les non vaccinés d’irresponsables, il a également déclaré « un irresponsable n’est plus un citoyen ». C’est une réponse qui ne peut pas me réjouir mais qui a le mérite de fixer les choses. Elle vient confirmer la violation du Code de Nuremberg, la volonté de destruction de l’unité nationale, la pression sur une minorité par principe et, malheureusement, les analogies à l’histoire tant décriées.

EN CONCLUSION

 

Si ces quelques pages vous ont permis d’avoir une once d’empathie envers les personnes non vaccinées contre la Covid-19 qui, comme moi, sont victimes d’une stigmatisation dégradante, j’aurai atteint mon objectif. Si en plus, après cette lecture, vous vous dites que les questions soulevées ne sont peut-être pas complètement idiotes, alors c’est la cerise sur le gâteau !

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