Témoignage de :

Se réinformer c’est douloureux

30 avril 2021

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La semaine dernière j’ai participé à une manifestation organisée par les gilets jaunes auxquels s’est greffé un petit groupe de Reinfocovid dont je fais partie. Hélas une manif assez triste où on pouvait compter autant de flics et de RG que de manifestants (moins d’une cinquantaine).
On a fait le tour de la ville, distribué quelques tracts, discuté vaccin et dictature avec quelques rares passants déconfinés et c’était l’heure de prendre un verre au bar avant de rentrer à la maison (c’est évidemment une fine plaisanterie, les bars sont fermés depuis 6 mois, un an, 10 ans ? je ne me rappelle plus bien…)
Pour être honnête, je n’étais pas très à l’aise avec l’attitude de certains manifestants qui haranguaient les passants en les traitant de moutons parce qu’ils ne réagissaient pas, je pense que c’est un peu contre productif, cependant comment leur en vouloir ? Les « Réveillez vous ! » « révoltez vous ! », « Rejoignez nous ! » scandés par quelques manifestants illustrent bien la frustration face à une majorité de citoyens paralysés, hypnotisés, abattus mais surtout résignés devant le rouleau compresseur gouvernementale et médiatique du vaccin/ masque/ restriction de libertés etc…
Car le plus dur dans la ré information au quotidien sur la propagande vaccinale, l’absence de justification des confinements ou le scandale des traitements interdits, ça n’est pas le désintérêt des gens pour ces sujets ou même le niveau d’études. Le plus dur, c’est la peur de regarder en face une réalité insupportable.

Des preuves il y en a, beaucoup, trop, qui n’en finissent plus de tomber pour nous alerter sur le fait que nous sommes rentrés dans une authentique dictature dont le prétexte opportuniste est sanitaire. Trop de vidéos et articles censurés par les GAFAM, les journaux (le monde Libé), trop de désinformation des médias des fact checkers qui ne font plus que défendre un système qui les alimente, trop de preuves de la corruption systémique de la médecine et de la science à tous les niveaux (A voir absolument la dernière intervention brillantissime de clarté de Jean Dominique Michel sur la corruption en médecine dans le dernier comité scientifique indépendant du 15 avril), trop de restrictions de liberté injustifiées, trop de maltraitances institutionnelles sur les enfants et les adultes, les obligeant au port du masque partout dehors tout le temps, les obligeant à se justifier publiquement sur ce qui était avant considéré comme un secret médical (notre état de santé, les tests, la vaccination…)

Trop de preuves (mais il faut quand même se donner la peine de chercher) que la vaccination n’est pas justifiée, qu’elle est potentiellement dangereuse et qu’elle est un nouvel organe de contrôle des masses et donc de dictature nouvelle génération : la science et l’ultra technologie au service du totalitarisme. Une démocrature à la Chinoise si vous préférez !

Alors qu’est ce qui nous empêche d’ouvrir les yeux et de regarder en face l’insupportable ?? Et bien le déni justement, qui est une des phases du deuil, le deuil que nous refusons de faire du monde d’avant, du monde que nous attendons patiemment de retrouver. Comme un petit chien que l’on aurait perdu et que l’on attend avec le secret espoir qu’il revienne et que tout redevienne comme avant
Sauf qu’au fond de nous on se doute qu’il y a bien peu de chance qu’il revienne ou alors dans un état déplorable, blessé, meurtri, enragé ? On ne veut pas voir parce que notre inconscient le refuse, parce que casser nos barrières psychiques serait trop insupportables, parce qu’on aurait peur de s’écrouler face à la cruelle vérité… Et pourtant, c’est une phase qu’il faut dépasser. Comme dans tout deuil, pas besoin d’être psychologue pour conseiller : « Ne restez pas seul ! ».

Merci Réinfo!

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