Témoignage de :

Si j’avais d’autres soucis, j’aurais le temps d’avoir peur… de rien

13 janvier 2021

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Tout d'abord je viens ici témoigner en soutien au Dr Fouché pour son courage, sa bienveillance, son humour et son esprit admirable qui sont autant de qualités qui nous font espérer que l'intelligence humaine n'est pas tout à fait éteinte dans cette sombre période dont Shakespeare aurait dit : "et soudain, la lumière s'enténébra"...

Nous sommes tombés dans l'amour de l’obscurantisme, comme si l'obscurantisme ne suffisait pas, hélas.

Je viens témoigner moi qui suis une survivaliste par nécessité. Je suis confinée depuis plus de deux ans, je suis EHS-MCS extrême. La chimie et les ondes ont eu ma peau. Mon cerveau est cuit. Je ne peux même plus avoir accès aux soins, je survis, c'est tout. De multiples dangers détruisent chaque jour notre santé, la pollution est telle que personne n'en sortira indemne, et on nous joue une mauvaise pièce de théâtre de la PEUR.

Alors nous, les virus, on s'en fout. Le truc on l'a déjà eu, et moi qui ne sors JAMAIS, j'ai été malade avant mon mari qui lui mène une vie sociale. J'en déduis donc que le virus est manu-porté, car je ne reçois aucune visite non plus... Nous n'avons acheté AUCUN gel désinfectant, nous ne portons pas de masque et nous sommes toujours là. Pourtant je fais partie des personnes sensibles étant donné que j'ai subi une splénectomie il y a plus de 40 ans. Avant j'ai eu le Chikungunya, le cytomégalovirus, un staphylocoque doré à la hanche et bien d'autres choses, et je suis toujours là...A 57 ans, après une vie mouvementée.

Je voulais assurer que le danger ne vient jamais là où on l'attend.

Il FAUT VIVRE. Et vivre, c'est prendre des risques. Vivre, c'est accepter l'idée qu'un jour, la vie prend fin, et donc en profiter.

Là, la France a fabriqué un pays de morts-vivants de la peur irraisonnée, c'est très grave.

Nous vivons dans le plus grand mensonge de l'humanité, il faut en sortir. VITE.

Isabelle Géli

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