18 mars 2021
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A chaque fois c'est pareil : lorsque j’essaie d’évoquer l’existence de traitements, de tempérer les impatiences pour les vaccins soi-disant salvateurs, que je parle de manipulation des chiffres, de maltraitance des enfants masqués, d’abandon inhumain de nos aînés, de nos musiciens et artistes, de toutes les contradictions imposées, on me rétorque la même chose : ils savent ce qu’ils font tout de même, ils nous protègent, il faut respecter les règles pour le bien de tous... Famille, amis, collègues, une seule voix uniforme et impérieuse. Les otages vénèrent leurs tortionnaires. Et moi, seule, je pleure.
Sandrine