Témoignage de :

Torture mentale et physique

21 janvier 2022

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Le vendredi 6 août vers 15h00, j'ai reçu la première injection Pfizer à la suite de ça j'ai ressenti une forte douleur dans mon bras gauche qui depuis (soit 3 mois plus tard) à une boule au niveau de l'injection.

Le lendemain 7 août, je me lève avec une fatigue inhabituelle,

N'y prêtant pas d'attention je prends la route avec ma famille pour aller dans les monts du Lyonnais. Sur la route vers 10h je commence à ressentir une forte fatigue, vers 11h30 je ressens une exténuation, de gros vertiges, des tremblements dans mes jambes, plus aucune force, j'ai dû faire une pause à 3km de mon arrivé car j'ai failli perdre le contrôle de mon véhicule avec mes 3 enfants et ma femme qui ne conduit pas les voitures à boîte de vitesse.

J'ai passé l'après-midi couché, j'ai pu rentrer sur Valence le soir très péniblement, le lendemain matin, je me suis réveillé en pleine forme en dehors des douleurs au bras gauche.

 

Le vendredi 3 septembre vers 9 h, j'ai la deuxième injection du Pfizer, j'ai ressenti petit à petit une douleur aigüe au bras gauche, vers 15h je commence à ressentir de la fatigue, vers 16h30 la fatigue devient très importante je file chercher en urgence mes enfants à l'école puis je m'écroule au lit ivre de fatigue et de vertige extrêmement important.

Je ne peux plus me lever, mon poids m'écrase sur moi-même. Je n'ai plus aucune énergie, mon bras gauche se raidi de douleur, se fige, j'arrive à le sauver via de cataplasme d'argile.

Je n'ai plus aucun appétit, les maux de tête, les vertiges, l'écrasement, les jambes qui pédalent, fourmis dans les membres, sont une véritable torture.

Comme Prométhée, je me consume perpétuellement, ma tête me semble rongée dans les ténèbres, me vint des idées noires seules échappatoires pour sortir de cette situation.

Je téléphone pour la première fois de ma vie pour ma santé au 15 durant la nuit peut être vers 3h du matin.

La réponse étant si pas de douleur thoracique il n'y a rien à faire, je peux rappeler plus tard si j'ai des pbs respiratoires.

 

Je passe ainsi 2 jours dans une sorte d'agonie, de combat contre les ténèbres, rampant hors du lit pour me faire des automédications afin de me soulager aussi bien que possible, Je ne pouvais plus lever la tête ou me lever tant les maux de têtes mais surtout les vertiges, tremblements des membres étaient intenses, avec le syndrome des jambes qui pédalent en ayant plus aucune énergie complétement HS.

Le dimanche soir je parviens à me relever, ayant pour sentiments que mes automédications m’ont vraiment sauvés la vie.

Je prends RDV avec mon médecin traitant au plus tôt donc le 17 septembre, je suis extrêmement fatigué, avec la tête dans le coltar, mon médecin remarque une hypersensibilité, lui racontant une partie de ce qui m’est arrivé, j’ai pour mission de faire une IRM au plus vite soit le 30 septembre via une clinique privée en créneau d’urgence car tout était plein partout ailleurs.

Ma situation s’améliore vers le 24 septembre où la fatigue devient plus supportable me permettant de retrouver quelques activités. J’ai toujours des maux de tête, sensible aux fourmis et troubles de la mémoire, je retrouve l’appétit.

 

Le 30 septembre on me découvre à l’IRM « une asymétrie constitutionnelle des ventricules latéraux avec ventricule droit un peu plus volumineux qu’à gauche » mais surtout « un méningiome de 14 mm de diamètre de l’apophyse crista galli ».

Il est bon de rappeler que depuis 2007 je n’ai eu qu’une angine vers 2017, je ne suis jamais malade, sans allergie, sans antécédent médicaux, sans mal de tête chronique.

 

Début novembre je peux de nouveau profiter de mes soirées (ne pas se coucher directement après le dîner) suite à un traitement d’une herboriste.

Sur le mois d’octobre et le mois de novembre, je remarque du sang dans mes selles par 4-5 reprises sans douleurs que je stoppe avec de l’argile jaune.

Je ne ressens plus de fatigue inhabituelle d’une manière stable.

Le 1er novembre j’ai une déchirure musculaire sur le devant de la cuisse sans avoir fait d’effort, les douleurs / gênes partent au bout de 3 semaines.

 

Le 03/12/2021 je vois le neurochirurgien Doc. Dupond, qui ne regarde que le compte rendu de la seconde IRM, sans regarder les images de l’IRM informatique. Depuis la première dose du mois d’août, j’ai toujours une boule dans le bras gauche sans douleur.

 

Depuis la deuxième injection, je continue à avoir des maux de têtes chroniques légers qui peuvent s’intensifier ponctuellement sur la partie droite de la tête.

 

Si je bois plus de deux verres d’alcool, je suis malade, ballonné et encore la plupart du temps ma tête flotte trop pour prendre un verre.

 

Merci pour votre attention,

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