Témoignage de :

Un médecin révolté depuis des mois…

2 mars 2021

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Je me présente,

J'ai 66 ans. Je suis retraité. J'ai exercé la médecine générale en milieu semi-rural pendant 9 années. Je pratiquais la prévention plutôt que le seul volet thérapeutique curatif. Je suis diplômé en homéopathie. Je suis favorable au principe de la vaccination mais contre l'utilisation abusive de vaccins non évalués pour des considérations de pouvoir politique.
J'ai finalement abandonné l'exercice libéral de la médecine pour la direction d'ESMS dont 2 EHPAD.

Je fais part ci-après de mon expérience personnelle de « cas Covid ».

Courant octobre 2020, je développe un épisode grippal (3 jours de fièvre dont 2 à plus de 39°C). Ayant été averti juste avant par l'ARS que j'étais « cas contact », je pratique un test : positif.
Confinement chez moi (masque, lit à part, etc.).
Depuis 2 ans, mon épouse et moi-même prenons des compléments nutritionnels : magnésium, vitamines C et D, zinc et sélénium. Nous nous alimentons sainement (bio avec d'autres règles nutritionnelles évoluées).
Aussi je me décide pour mon propre traitement du « covid » : alimentation renforcée en produits contenant des omega-3, 6, 9 et d'autres nutriments aux vertus naturelles anti-inflammatoires ; j’y ajoute huiles essentielles d'eucalyptus radié, de ravintsara et de tea-tree ; tisanes de thym ; propolis ; grogs « pirate » le soir ; aucun paracétamol ni quoi que ce soit d'autre d'allopathique. Pas d’antibiotiques.
Au bout de 3 jours, résolution du tableau avec fatigue moyenne pendant une semaine (siestes bienvenues).
Dans l'ignorance de l'époque, relative aux causes des conséquences graves de l’infection par le SARS-CoV-2 (détresse cardio-respiratoire), je décide de me protéger par 18 jours d'héparine de bas poids moléculaire. Aucun signe respiratoire gênant, aucune complication.

Ce n'est qu'un exemple, rien d'autre. Sinon que je suis persuadé qu'une complémentation avec des éléments de base (vitamines, sels minéraux, etc.) permet une bonne réponse immunitaire, donc une bonne prévention contre les virus, les bactéries, bref les maladies infectieuses.

J’ajoute que mon propre protocole nutritionnel quotidien et « anti-SARS » est le fruit d’une forte remise en question des enseignements qui m’ont été délivrés lors de mes études médicales, suite à une expérience marquante : j’ai guéri totalement en deux mois un membre de ma famille d’une polyarthrite de type rhumatoïde (classée maladie auto-immune) évolutive depuis plusieurs mois malgré une inflation thérapeutique délivrée par un rhumatologue « borné », traitement allant jusqu’aux opiacés, après AINS, corticoïdes, etc.

Concernant la vaccination, je suis pour le principe de la vaccination, mais très « perplexe » sur son bien-fondé actuel et très en colère contre son usage politico-financier. Je suis révolté contre l'utilisation des Français qui, tranches d'âges par tranches d'âges selon le type de vaccin, servent à mon avis de cobayes gratuits pour les laboratoires, mais oh combien lucratifs. Je serais d’ailleurs très intéressé par une étude sur ce volet « statistico-stratégique ».

Sans oublier que les responsables des laboratoires eux-mêmes ainsi que les hauts « responsables » de l'Union Européenne avouent publiquement encore aujourd’hui qu’aucune étude ne prouve que ces vaccins ont une quelconque efficacité prouvée en matière de transmission du virus... C'est d'ailleurs selon moi le sens donné, mais masqué, aux « essais thérapeutiques » in vivo humanis que je viens d'évoquer. Alors pourquoi ce mensonge d’état voulant nous faire admettre que la vaccination est le seul moyen de retrouver une vie sociale normale (elle ne pourra d’ailleurs pas redevenir « normale », sous-entendu comme avant). Depuis un an, le « COVID » a trouvé une autre définition : COnfiscation de la VIe Démocratique.

Quant aux variants, j'estime qu'il s'agit là d'une nouvelle imposture destinée uniquement à alimenter une peur (ce qui fonctionne, hélas) profitable au pouvoir (pas de mouvements sociaux dans la rue, psychotisation des Français, animosité sociale au sein de la population, etc.). Bref un crime social justifié par une imposture pseudo-médicale.

Tels sont mon sentiment et mon analyse de cette crise au fil des mois depuis un an. D’où ma colère. D’où mon esprit de résistance permanente aux discours propagandistes, au risque de passer pour… complotiste (encore une facilité sémantique pour le pouvoir qui n’admet plus la contradiction). Dans les années quarante, on les appelait « terroristes »…

 

La santé est un bien public : défendons-la avec ardeur comme tous les biens publics, en ce 150éme anniversaire de la Commune de Paris.

Dr Marc A., 27 février 2021

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