Témoignage de :

Un peu de courage bon sang !

5 janvier 2022

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Au risque d'en choquer quelques-uns, je vais vous dire ce qu'un gouvernement devrait faire pour mettre fin à cette épidémie.
Tout d'abord, il devrait commencer par fermer des lits d'hospitalisation, et notamment en soins intensifs. Plus vous aurez de lits disponibles et plus les patients se feront le plaisir de tomber malade gravement pour remplir ces lits. C'est comme pour les médecins : moins vous aurez de praticiens, moins vous aurez de patients. Ça fait longtemps qu'on le sait par expérience.
Ensuite il serait bon d'arrêter de prendre en charge les malades dit "à risque". La nature ferait alors son travail d'écrémage et le virus n'aurait rapidement plus de cible à tuer. Ce qui laisserait les hôpitaux disponibles pour les gens qui n'ont pas besoin d'y aller.
Autre mesure importante : trouver un vaccin inefficace sur la transmission, à peine efficace sur les formes graves et seulement 3 mois et l'injecter en masse à toute la population, surtout aux enfants, pour sélectionner de nouveaux variants, qui, tout le monde le sait, sont de moins en moins virulents. Mesure associée : ne pas contrôler les entrées sur le territoire pour laisser ces variants circuler librement.
Le vaccin choisi devra être exclusif et bourré d'effets secondaires, pour que les gens sentent bien qu'on les vaccine. Car l'effet véritable du vaccin serait trop faible pour qu'ils le remarquent.
Autre mesure : ne pas laisser libre parole à ceux qui sèment le doute, même si la réalité nous rattrape. C'est en répétant la même chose qu'on obtiendra des effets différents, disait Einstein (enfin je crois).
Dernière mesure indispensable : s'assurer qu'en cas d'erreur stratégique, aucun reproche ni sanction ne puisse nous être fait. Les effets secondaires doivent être acceptés par avance par les patients, et le moins possible déclarés (il ne faudra surtout pas rendre obligatoire la vaccination du coup).
La meilleure manière de se protéger est d'uniformiser mondialement les discours. Laissons une grande entreprise de communication gérer tout ça.
Quoi qu'il arrive, on pourra toujours dire qu'on ne pouvait faire autrement.

Gardez confiance en l'être humain. Il n'aime pas obéir. Il est lucide. Il n'est pas cupide. Il sait se remettre en question.

Médecin malgré eux
Tchüss

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