26 septembre 2021
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Ce qui est très douloureux aujourd'hui, c'est l'illusion de bonheur retrouvé dans laquelle vivent tant de mes proches. Les reproches que je ressens à mon égard, celle qui ne veut participer à cette fête du monde d'avant.
Ou les inquiétudes concernant mon état d'épuisement qui m'amène à ne plus pouvoir travailler depuis le 15 septembre.
Et comme je vous aime, mes enfants, mes parents, mes amis, je fais mon mea culpa, je vous explique que je sature, que je vais en tirer les bonnes conclusions. Je vais changer ma façon de travailler, je vais reprendre mon métier avec la distance juste et nécessaire. Me protéger, prendre du recul. Moins écouter, moins observer.
Ne plus entendre, ne pas voir. Oui, après un peu de repos, je vais y arriver.
Transformer Hippocrate en Happycrate.
Je suis en arrêt maladie pour vous rassurer.
Pour que vous puissiez continuer à croire que je fais partie d'une poignée d'originaux qui trouvent enfin un sens à leur existence en se positionnant comme résistants. Ils s'épuisent, disparaissent et bientôt tout rentrera dans l'ordre.
Elle a toujours été un peu en dehors des clous, un peu fragile, mais là c'est pire, depuis dix-huit mois elle ne parle que de ça ! Elle nous a bassiné avec le confinement, les masques. Elle critique tout. Elle est contre tout. Elle s'y complaît.
Elle ne sait pas profiter de la vie !
Scannez, entrez, profitez !
Au restaurant, à la bibliothèque, à l'hôpital...même combat. Contre qui ?
Scanner pour profiter.
Tu vois, la solution est pourtant simple. Pour profiter, 2 injections, c'est simple.
Mais pourquoi elle ne le fait pas. Elle se fait vacciner et on n'en parle plus !
Alors pourquoi ?
Ca me rend dingue de devoir me justifier, et la réponse n'est peut-être pas celle que vous attendez.
Je ne crains pas l'injection. C'est tout ce qu'elle contient que je refuse. L'inacceptable.
En voici la composition réelle, j'ai constaté ces faits dans ma pratique entre le 16 mars 2020 et le 15 septembre 2021, la liste n'est pas exhaustive.
Laura 17 ans se suicide le lendemain de l 'annonce de prolongation du premier confinement. Hervé,52, ans se pend dans son atelier, Françoise, Simone, Franck, Rose-Anne, Jean-François, Hélène, Déborah, Guy, ...ne sont pas passés à l'acte, mais y songent chaque jour. Et tous ceux que je n'ai plus jamais revus ni entendus depuis le 16 mars, où sont-ils ?
Brigitte, 60 ans, décédée seule à domicile d'une méningite, elle n'avait pas de difficultés respiratoires, n'a pas appelé, ne voulait pas déranger, elle est restée chez elle.
Jeanne 6ans, étiquetée hystérique manipulatrice par un bon psychiatre car elle ne peut supporter le masque sur son visage.
Les râles de désespoir et de solitude de nos ancêtres emprisonnés dans des mouroirs. Léna,31 ans, traumatisée de la souffrance qu'elle a vu sur son lieu de travail en maison de retraite.
Angèle, 12 ans, hospitalisée pour anorexie, maltraitée par le médecin responsable du service. Édouard, 34 ans, en situation de handicap, refuse l'injection et devient interdit de toutes ses activités extérieures.
Laurent, 40 ans, sans aucun facteur de risque fait un AVC ischémique massif après sa deuxième injection.
Les regards terrifiés derrière les masques, les milliardaires qui se frottent la panse.
Le confinement des personnes sans domicile fixe. Le silence. L'absurdité.
Les protocoles que l'on suit, quand on n'est plus.
Les litres de gel hydroalcoolique déversés sur des caddies.
Marc n'ose pas entrer dans mon cabinet, car il vient d'avoir l'appel d'une amie dont la fille a fait du baby-sitting chez des gens dont la belle-soeur a un test PCR positif.
André, 65 ans, décède d'une leucémie foudroyante 3 mois après l'essai Pfizer auquel il a accepté de participer, l'imputabilité de l'injection n'est pas retenue par le laboratoire.
Les chantages, les cris, les coups dans les familles collées devant des écrans qui vomissent des flots de mensonges.
Les « oh moi je l'ai fait pour me sentir libre », « oh non, je ne me sens pas obligée, c'est pour les vacances ».
Sarah, 25ans, morte à domicile d'une grossesse extra-utérine après des heures d'agonie, le SAMU a refusé de se déplacer malgré les appels désespérés de son compagnon.
Titouan, 9ans, qui ne peut plus retirer son masque de peur de tuer ses parents, ses enseignants ou ses grands-parents.
Didier, Louis, Christian, Jean-Dominique, Laurent et tant d'autres, censurés, calomniés et éjectés du système pour avoir osé dire qu'il est possible et utile de soigner les personnes malades.
Les étudiants sacrifiés et qui ne mangent pas à leur faim.
Mon médecin triplement vacciné derrière son masque qui m'assure qu'après un mois de repos je pourrai revenir à la raison, sortir de mon déni de la réalité...Ce qui pour moi est synonyme de devenir sourde, aveugle et amnésique.
Alors, muette, je tends la main et accepte l'arrêt pour maladie « souffrance morale ». Je souffre, c'est vrai, mais parfois je me demande qui est malade.
J'aimerais tant que vous ayez conscience des rouages infâmes de cette machine à broyer l'humain.
Que vous entendiez que l'injection est la complice de ce désastre, la plus perverse car déguisée en grande salvatrice.
Je crois que beaucoup d'entre vous ont vu certains des mécanismes pervers qui nous ont amenés au tout vaccinal et ont choisi de faire comme tout le monde...pour être tranquille...pour ne plus en parler...ne plus y penser. Quel soulagement !
Permettez-moi de vous annoncer qu'il sera de courte durée.